u souris, tu mens au monde entier et surtout a toi, juste assez pour arriver a croire a tes putains de mensonges le temps d'une soirée. Lorsqu'il te dit ça tu viens l'embrasser doucement, tu prend ton temps, t'es surement fou de tenir a lui comme ça mais, bordel t'y peux rien alors t'es bien obligé de t'y faire, tu ne contrôles pas ce que tu ressens et tu ne pourras surement jamais le faire. Alors t'avances, tu fait avec, en te disant qu'il est le bon choix a faire meme si c'est terrifiant.
_ je sais bébé et ... et puis de toute façon si quelqu'un de touche et que t'en a pas envie j'lenvoi au Pérou s'fait sodomiser par des dizaines de chèvres naines ... pire que la mort, les chèvres c'est l'mal ! Et ok, change pas d'bouille n'amour mais, fait gaffe, j'vais t'prendre sur l'bars devant tout l'monde moi du coup ! .. tu pourra pas dire que je t'es pas prévenu !
Cinquième verre. Ok la t'est bien bourré, de loin t'as l'air de normal mais, vue les conneries que tu sort a la seconde sa se voit bien rapidement que t'es loin d’être sobre. Sauf que tu t'en fou, c'est ton but après tout, t'es venu la pour ça. Oublier. Oublier l'inoubliable certes mais, tu tentes au moins de le faire un minimum. Même si c'est douloureux , meme si t'es toujours aussi perdu, dans les bras de Nils t'es bien, et c'est ça qui compte, envers et contre tout. Tu ne veux pas le lâcher. Ni demain, ni dans dix ans. Tu veux etre a lui autant qu'il est a toi le plus longtemps possible.
_ Non j'suis pas narcissique, j'ai juste confiance en moi ! NUANCE ! Et toi c'est pas pareil bébé, j'aime ta bite mais, j'sais pas pourquoi .. c'est juste comme ça ! J'sais toujours pas pourquoi tu m'attire autant en fait bébé , j'sais juste que c'est le cas, que les autres mecs j'en est rien a foutre , enfin les filles aussi mais, elle m'attire quand meme un peu .. enfin ... J'ai pas envie de comprendre en fait j'crois, juste de vivre ce que j'ai a vivre avec toi , sans me demander si j'suis hétéro, bi ou gay .. j'taimes et c'est ça qui compte ... non ?
Sa y est t'es lancé, partit dans ton délire un peu niais sur les bords mais, plus que sincère, t'en sais toujours rien de pourquoi t'es avec Nils, pourquoi tu le désire comme t'as jamais désirer personne alors que les autres mecs t'en a rien a foutre. Tu commences a t'y faire, a t'habitué au fait que t'aimes Nils bien plus que comme un simple pote. C'est un amour douloureux mais, vital, un truc qui rend fou autant qu'il fait du bien, alors meme si tu te sens mal comme jamais t'es pas prêt d'y renoncer meme si t'es submergé par des centaines de questions face a tout ça.
_ Je ... ouais ... j'avoue il a rien pour lui , c'est qu'un pauvre con mais, c'est juste que je supporte pas ce ...
mais tu te coupe, parce que t'allez tout simplement dire que tu ne supportes pas ce genre de mec, alors que t'en a était la copie conforme pendant pas mal d'année et tu l'es encore par moments ce connard de Jonas.
_ Enfin .. j'vais pas allez m'occuper de lui ce soir, j'ai bien mieux a faire !
Tu souris, d'un air un peu perdu, t'es la sans etre la, perdu entre deux mondes, tu rêves, tu t'endort et puis d'un coup tu te réveille comme quand ce mec a ouvert sa gueule tout a l'heure. Tu pose ta tête sur l’épaule de Nils, tu fermes les yeux quelques instants, avant de poser quelques baisers dans son cou, l'air toujours aussi paumé, bien accentuer par le sixième verre que le barman viens de te servir.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Lun 13 Oct - 12:43
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Si il y a bien un truc que tu as retenu depuis que tu es un âge de penser par toi-même. C'est que le mensonge est sûrement le seul point que tous les êtres humains de cette foutu planète ont en communs. T'es persuadé que sans ça, rien ne tiens. Tu sais qu'il est impossible d'être honnête tout le temps. Les gens sont des menteurs, ils mentent tous les jours. En famille, au travail. Pas pour faire du mal, plutôt pour faire du bien. Parce qu'on ne peut pas être honnête tout le temps. On ferait bien plus de mal que de bien. Et tu le sais ça. C'est la seule pensée qui te traverse l'esprit quand tu mens. Quand tu mens à tes parents pour leur bien, quand tu leur fais croire que tu penses les mêmes conneries qu'eux juste pour éviter de les voir s'inquiéter. Quand tu mens à Jonas aussi tu penses à ça. A te dire que ça lui fera plus de bien que de mal de ne pas savoir la vérité. Et tu sais que c'est vrai. Tu le sais très bien. Qu'il vaut mieux que tu lui dises que tu vas bien, même lorsque ce n'est pas le cas, juste pour qu'il n'est pas à partager tes peines. Tu restes aussi persuadé que tu as bien fais de ne pas lui dire que tu l'aimais, pendant des années. Au début tu pensais te protéger toi. Maintenant tu sais que tu as bien fais, juste pour qu'il n'ait pas à subir ce que tu subis depuis des années. Tu regrettes en rien ce que tu vis avec lui, au contraire, aussi destructeur que soit la chose, c'est peut être ce que tu as vécu de plus beau. Mais tu sais ce que tu aurais pu continuer de lui épargner.
« Bébé... Je crois qu'il va falloir que tu ralentisses sur l'alcool là... ça commence à te monter à la tête. C'est pas que ça me plaît pas de savoir que tu serais prêt à me défendre si on me touchait contre mon gré, mais quand tu commences à parler de chèvres, c'est que ton cerveau commence à partir en vacances... Et merde, comment est-il possible que tu puisses me donner limite envie de me faire prendre sur ce bar ? »
La fin de ta phrase, tu la dis en t'approchant de lui et en murmurant. T'as moyennent envie de partager ce qui pourrait ressembler à un fantasme avec le reste des clients présents autour de vous. Tu le regardes dans les yeux et tu lui adresses juste un grand et magnifique sourire, juste pour le faire encore un peu plus chier. Tu le gardes dans tes bras et puis tu ris. En faite, ça te plaît de constater que tu tiens mieux l'alcool que lui, alors que tu bois moins souvent que lui. Enfin tu sais aussi que t'as moins bu que lui pour le moment, mais tu n'as pas trop d'effet secondaires. A part peut être le fait que tu pourrais l'allumer comme un rien et sans gêne devant tout les clients. Tu te sens bien et puis tu arrives encore à te contrôler ! Même si tu te retiens de lui balancer que toi ta queue elle le déteste parce qu'elle n'a jamais été autant torturé que ses derniers jours.
« Tellement confiance en toi qu'un jour tu ne passeras plus les portes... Mais bon t'es tellement beau à en crever que se serait triste si c'était l'inverse ! C'est ce qui compte ouais... ça et le fait que j'adore que tu me le dises aussi, parce que ça me rends complètement fou... Je crois que tu pourrais me faire faire n'importe quoi rien qu'en me disant ça... »
Tu bois encore quelques gorgées de ton verre. Et tu sais qu'il est temps que tu t'arrêtes là, que tu commences à plus te tenir. Surtout quand tu t'entends parler. T'es amoureux de lui, tu le sais et il le sait aussi. Mais tu devrais peut-être te calmer sur le fait de le trouver aussi beau ton mec, de ne lui trouver aucun défauts physique et d'être littéralement incapable de le lâcher des yeux. Mais t'en es incapable. Tu fonds comme une merde quand il te parle, tu pourrais lui sauter au cou comme une gamine de treize ans et lui rouler la pelle du siècle. T'arrive encore à te retenir heureusement, mais tu te rappelles maintenant pourquoi tu ne bois quasiment jamais et avec modération. Tu sais pas te tenir quand tu le fais...
« Il n'a rien pour lui effectivement... Il devrait même nous remercier, parce qu'on lui laisse juste une chance de plus de se taper une meuf un jour... »
Tu parles un peu plus fort que tu l'aurais voulu et tu vois le mec se retourner vers toi. Tu lèves la tête et tu lui adresses un grand sourire pour lui indiquer que c'est bien de lui que tu parlais, avant de te concentrer sur Jonas.
« Ouais, t'as beaucoup mieux à faire... Genre, t'occuper de moi par exemple ! »
Tu lui lances un grand sourire, d'un air totalement innocent, avant de te mettre à rire et de le serrer un peu plus fort contre toi. T'as encore les idées claires, heureusement pour toi, mais ses baisers dans ton cou te font frisonner et rire même un peu nerveusement. Tu sais que vous devez avoir l'air beaux tout les deux complètement éméchés et collé l'un à l'autre.
'est rien de le dire que ton cerveau se fait la malle, tu ne sais meme plus a combien de verre tu en est et ça c'est encore plus mauvais signe que le fait que tu parle de chèvre parce que t'adore compter pour toujours savoir ou tu en est. Tu ne sais pas depuis combien de temps tu a pris cette habitude un peu conne, tu sais juste que tu le fais, souvent pour t’arrêter avant de fini complètement défaits, meme si t'aimes bien faire une connerie et avoir la fausse excuse qui est que t'était bourré. sauf que la, tu t'en fou un peu, finir bourré c'est ce que tu veux, un verre de plus ou de moins, tu ne vois plus la différence. Mais, ton corps si par contre.
_ non jamais ! j'suis la pour rentrer chez moi en rampant alors je compte bien ramper ! Et puis d'abord qu'est ce que t'as contre les chèvres ? Ça c'est d'la punition d'vie qui en jette, l'mec y pourra plus JAMAIS ! Ho grand jamais s’assoier ! Et déconne pas bébé, moi j'en meurt d'envie de te prendre devant tout l'monde !
tu ris de plus belle, tu ressembles a un gamin, enfin c'est un bien grand mot parce qu'un enfant ne sortirai jamais des trucs pareil. Tu parles fort, juste pour faire chiez le mec de tout a l'heure, qui d'ailleurs commence a en avoir plus que marre de vous deux, il s’éloigne et le sourire provocateur de Nils a raison de lui apparemment, vue qu'il s'en va a l'autre bout du bars.
_ En meme temps comment tu veux que je ne soit pas narcissique si tu me sort tout l'temps que j'suis beau comme un Dieu ! Ben ouais bébé, c'est ta faute si j'le suis mais ... continue hein, sa me dérange absolument pas ! Bon ben si c'est ce qui compte tout va bien, et j'compte bien te le dire souvent, j'aime bien quand t'es fou moi, et ... fait gaffe mon cœur, j'serait capable de te faire faire une connerie si comme tu le dis tu serais prêt a faire n'importe quoi !
Tu parles vite, fort, tu t'marres toute les trente secondes. Bon ok, la tu devrais arrêter de boire, c'est plus que sur meme mais, t'y peux pas grand chose, tu veux finir dans cet état, et que Nils le fasse aussi meme si c'est con de le penser. Face a ça remarque c'est simple, t'es pris d'un horrible fou rire. Vous devais avoir l'air bien cons tout les deux a sortir des centaines de connerie a la seconde, l'air ailleurs, a vous marrer pour un rien comme deux gamins. Oui mais, au moins la tout de suite, vous êtes heureux et c'est ça le plus important, peu importe le mec de tout a l'heure , peu importe demain et tes parents, si tu peux continuer de vivre comme ça avec lui, t'es prêt a plus d'un sacrifice , meme le plus douloureux possible. T'es pas un cadeau, t'es pas simple a supporter et t'en a conscience - de ça au moins - mais, tu te promet que tu fera tout pour te rattraper quand tu fera une connerie, que meme si t'es bien loin d’être le petit ami parfait, tu l'aime plus que tout et ça, tu comptes bien lui prouver.
_ Ho t'en fais pas n'amour, j'vais bien m'occuper de toi !
Tu te colles contre lui. posant ton bras autours de sa taille, ta tête quand elle se pose sur son épaule. sauf que tu ne résisté pas bien longtemps, tu te redresse un peu pour venir l'embrasser, d'abord sur les joue, puis tu l'obliges a tourner la tête pour coller tes lèvres contre les siennes.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mar 14 Oct - 6:27
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Tu savais comment ça allait finir quand tu as demandés à Jonas de te rejoindre dans ce bar. Tu le connais assez pour ça. Généralement t'aimes pas quand il finit dans cet état. C'est d'ailleurs la première fois que c'est toi qui lui propose ce genre de sortie. D'habitude, c'est lui qui t'y entraînes et toi tu le suis parce que... parce que t'es presque sûr que tu pourrais le suivre dans n'importe quoi les yeux fermer. Ouais t'es assez pathétique pour ça. Mais là tu t'en fous, en faite c'était même le but recherché. Le voir saoule ce coup-ci ça te dérange pas, parce qu'il reste adorable avec toi malgré tout. Son cerveau part en vacances, mais il reste le Jonas que t'aimes, pas le con qu'il peut être avec toi quand il est bourré. Alors ce soir t'as juste envie d'en profiter toi aussi. Et puis tu te dis que vous l'avez bien mérité, que vous le méritez, d'oublier, l'espace d'une soirée.
« En rampant... Merde je crois que je donnerais cher pour voir ça ! Et j'ai rien contre elles, je trouve juste que tu es très porté sur les animaux... Est ce que c'est un de tes fantasmes cachés ? Et... Je dois bien admettre que la proposition est plutôt intéressante... »
Tu ris comme un idiot, ouais t'es sûr d'apprécier de le voir ramper parce qu'il n'est plus capable de marcher. D'ailleurs à ce moment, tu penses à ta voiture, avec laquelle tu es venu et que tu vas être obligé de laisser ici, parce que tu ne peux définitivement pas repartir avec vu ton état. Tu le taquines sur les chèvres alors qu'il continu de se taper un délire dessus. Tu lui tires la langue et tu continus à rire. Vous êtes vraiment deux gamins, deux gamins bien loin d'être innocents, mais c'est pourtant le cas. Tu bois une nouvelle fois quelques gorgées de ton verre et lui adresse un clin d'oeil après tes propos assez déplacé.
« C'est ma faute, t'es sérieux là ! Ok tu l'auras voulu... Rêves plus jamais je te ferais le moindre compliments, je tiens pas à être tenu pour responsable quand tu passeras plus les portes... Le plus triste dans l'histoire... C'est que tu n'as même pas besoin de parler pour me rendre fou... Et non ! T'en serais pas capable quand même... »
Si t'es sûr qu'il en serait capable et t'es même sûr que tu serais capable de faire ce qu'il te dit juste pour déconner, pour le provoquer. T'es sûr que tu serais capable de tout ce soir, parce que l'alcool à toi, elle t'enlèves toutes les barrières que ta timidité et tout le reste peuvent te mettre, ce qui n'est pas forcément une bonne chose... Tu fais semblant d'être outré quand il te dit que c'est ta faute, mais ça t'amuses plus qu'autres choses. T'essayeras de tenir bon, de ne plus lui faire aucun compliments, même si t'es persuadé que tu tiendras pas bien longtemps, que déjà la prochaine fois qu'il te fera l'amour, tu pourras pas t'empêcher de lui dire à quel point il est beau et à quel point il est bon surtout. Mais pour le moment tu te dis que tu tiendras bon. T'es heureux de voir que le mec finit par en avoir marre et se barrer, tu le prends comme une victoire qu'il vous foute la paix. Parce que t'as pas envie qu'il vienne te gâcher le moment de répis que t'as avec Jonas, alors que vous êtes juste bien. T'as juste envie de profiter.
« Hmm... Je préfère nettement ça ! »
Tu lui souris et tu le laisses se coller à toi, tu passes tes bras autour de son cou quand il passe les siens autour de ta taille et tu ris quand il t'embrasse sur la joue. Tu résistes quelques secondes quand il cherche à te faire tourner la tête pour venir t'embrasser sur la bouche, mais tu cèdes bien vite et tu poses tes lèvres sur les siennes, parce qu'à ça, tu y es juste accroc.
onnement tu a envie d’être demain, tu ne sais pas si c'est le bien trop grand nombre de bière que t'as avaler ou simplement parce que quand Nils est la t'as des ailes dans l'dos mais, t'en a envie, vraiment. De dire a tes parents et aux siens que tu tiens a lui comme t'as jamais tenu a personne et si ils ne peuvent pas le comprendre il sont juste les pires merdes que ce monde est porter. tu penses a ça, et tu souris, te rendant compte au passage que t'es bien déchirer mais, que ce ne'est toujours pas assez a ton gout. Il t'en faut bien plus pour finir a terre meme si tu ne tiens pas franchement bien l'alcool. En temps normal t'aurai jouer au con mais, la tu redeviens juste le gamin que t'était, un peu idiot, insouciant au possible, tu gardes ton humour de merdes qui fait rire malgré tout. T'es pas violent quand tu bois, au contraire, tu deviens plus patient, tu te radouci, c'est fumer qui t'fais un peu péter les plombs meme si c'est rarement méchamment.
_ ben tu va pas tarder a m'voir comme ça bébé, sa va etre marrant j'pense ! Apres .. hum ... comment dire ... serait tu entrain d'insinuer que j'serait zoophile mon cœur ? parce que si c'est ça .. t'as TOUT FAIT RAISON ! .. non je déconne , c'est dégueulasse les chèvres, sa pue et sa chie partout, y a pas plus mal élève mais, pour caser ce mec j'pense qu'une d'entre elle fera l'affaire ! Et juste comme ça ... me tentes pas bébé ... parce que niveau fantasme caché j'ai toujours rêver d'prendre quelqu'un dans un lieu public et j'pense pas que t'aimerai que je le réalise ce fantasme la !
Tu lui tires la langue avant de venir l'embrasser une nouvelle fois. Tu part loin, très loin dans tes délires, tes conneries mais, t'aimes cette situation, t'aimes etre la sans etre la, sentir que ton cerveau se fait la malle le temps d'une soirée. Apres tout demain tu va morfler, alors meme si te saouler ne changera strictement rien, sa t'amuse, sa t'fais ire tout ça et de ça t'en a plus que besoin. Tu profites. Tu joues avec le feu, et t'en a conscience mais, putain t'a spas envie de renoncer a ça.
_ Oui ta faute mais, p'tain j'ten supplie n'amour t’arrête pas, j'adore quand tu m'dit ce genre de chose moi ! Et puis si sa peu te rassurer c'est réciproque bébé,je connais pas de mec plus beau que toi, sérieux Johnny Depp il peux allez s'faire enculé face a toi, tout les plus beau types et meme les nana de cette terre t'arrives meme pas a la chevilles !
t'es émécher, ailleurs mais, n’empêche que tout ça tu le pense vraiment, ce n'est pas un mensonges, des phrases pour faire jolie, oui a tes yeux personne ne le vaux, absolument personne. Tu ne l'idéalise pas, tu a conscience de tes défauts comme de ses qualité, et c'est peu etre ça qui te fait autant tenir a lui, parce que vous n'avais aucune secret l'un pour l'autre.
_ hé ... bébé .. ben tu sais quoi ? Ben j'suis content d’être pédé la tout d'suite !
Tu souris et l'embrasses a nouveau, en fait t'es pas gay, bi au pire. C'est juste pour déconner et parce que ce n'est pas si faux que ça, que t'aimes bien etre avec lui , peux importe si c'est un mec, sa ne t’empêchera pas d'avoir peur des avis des gens a certains moments, peur de demain et de tout perdre mais, en meme temps tu restes heureux d'avoir Nils. Que se soit ton meilleur ou ton petit ami, tu est juste bien quand tu est avec lui.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Jeu 16 Oct - 5:03
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Tu as la vue qui se brouille gentiment mais doucement, signe que l'alcool commence sérieusement à atteindre ton cerveau. Tu ris comme un idiot depuis tout à l'heure, tu tangues à certains moment, t'as chaud, même si ça t'es pas sûr que se soit totalement à cause de l'alcool... Et pour finir tu n'arrêtes pas de dire des conneries. En bref, tu commences à être bien fait. Tu vas pas tarder à être dans l'état où tu n'as plus peur de rien, où rien ne te gênes et où t'as plus honte. T'as été comme ça qu'une seule fois, tu t'en souviens et t'as eut du mal à te retenir de te jeter sur Jonas... Alors depuis t'as arrêté de boire. Maintenant que tu sais que c'est plus vraiment un problème, t'en profite. Mais t'as pas l'habitude, de boire autant, heureusement, tu connais tes limites, tu sais à quel moment tu dois t'arrêter avant d'être malade où complètement inconscient. C'est pas encore là, alors tu profites juste de ce que vous faites.
"Oh je pense aussi... Je crois que je devrais filmer ça pour le bien de la communauté... En temps de crise, rire un peu ça fait de mal à personne ! Je me souviens clairement que tu m'as parlé de lapin aussi... Excuse moi de me méfier sur tes penchants un peu étrange ! Tu penses que je n'aimerai pas ? Oh Jonas, t'es bien loin de t'imaginer quels genre de fantasme me passent par la tête !"
La fin de ta phrase, tu lui as murmuré à l'oreille, le plus sensuellement possible, avant de le fixer et de lui faire ton sourire le plus adorable. Tu le chauffes clairement, tu prends un malin plaisir à le provoquer de toutes les manières possible. T'en as envie de le rendre fou, même de le frustrer un peu, qu'il t'en veuille de le mettre dans un état pas possible. ça t'amuses, il aime jouer avec toi et t'es pas en reste non plus et l'alcool aidant, t'es vraiment prêts à tout pour l'emmerder ! Et puis tu le connais par coeur et il est une proie facile quand il est dans cet état. T'en profite, après tout pour lui, toi t'es toujours une proie facile, il arrive toujours à t'avoir.
"Qu'est ce que tu ne serais pas prêt à faire pour que je continus à valoriser ton ego... La supplication et les compliments, vraiment tu aurais pu trouver mieux... Et puis tu le sais que t'es canon, t'as pas besoin que je te le rappelle... Même là complètement dépouillé et bourré tu l'es bébé"
Et ça c'est vrai et ça te ferais presque chier de voir qu'il l'est même dans cet état... Mais le pire, le moment où c'est un calvaire pour toi de le regarder tant tu le trouves beau, c'est au réveil. Ouais parce que t'as déjà eu l'occasion à maintes reprise de le voir au réveil et même quand t'essayé de refréner tes sentiments pour lui, tu pouvais pas t'empêcher de limite l'admirer quand tu le voyais au réveil. Et là t'as juste envie de te coller des claques de penser à ça.
"Putain Jonas... Arrête de boire là sérieux, tu deviens grave..."
Il a faillit te faire recracher ton verre cet andouille à sortir de pareil conneries. Tu tousses pour faire passé la gorgée que t'as avalé de travers, mais tu ris de sa connerie. Tu vois pas ce que tu pourrais faire d'autre. Là Jonas est un vrai numéro à lui tout seul.
u ne le lâcheras jamais. Jamais. Et ce mot te fais peur autant qu'il te rassure a certains moment. Tu ris. Tu mens. Un mensonge vital dont vous avais tout les deux besoin la tout de suite, un sourire qui fais mal mais, qui reste sincère envers et contre tout. ne penses pas a demain Jonas. Sa ne sert plus a rien. t'as hurler, t'as pleurer, maintenant pète toi les cordes vocale mais pour quelque chose qui fais du bien. Ne réfléchis plus. Dis a ton cerveau de s'faire la malle, vraiment, qu'il prenne des vacances mais, pour la bonne cause cette fois.
_ ha non bébé tu filme pas sinon moi je ... je .. j'te film la prochaine fois que tu m'suce !
Le cerveau en vrac tu lâche une connerie mais, a ce stade la une de plus ou de moins , sa ne fait plus vraiment de différence. Tu boit une gorgée de ta bière, encore, mais, peu importe, tu t'en fou, finir dans un sale état ce soir c'est ton but après tout. Tu lui lance un regard amusé, tu repense a la dernière fois qu'il ta fais ça, et bordel t'aimerai pas que se soit le cas mais, rien que la vision de l'avoir a genoux devant toi te fou des frissons.
_ Ha bon ? j'me souviens plus mais, c'est bien aussi les lapins, meme si c'est beaucoup trop mignons pour ce mec ! Et juste comme ça bébé, fait gaffe a ce que tu dis, me chauffe pas, j'suis capable d'le faire, quand j'suis bourré je ... je ...
Tu plonges ton regard dans le siens, et tu te perd dans ses yeux, tu t'y perd et tu te sens con de le faire mais, comment faire autrement en réalité ? Tu l'aimes. Un amour qui fais mal, qui donnes des ailes, deux phénix qui renaisse de leurs cendre, c'est a la fois beau et douloureux. Tu analyse tes mots en vitesse, et bordel t'en crèves d'envie, alors il ferais mieux de fermer sa gueule avant que tu ne le fasse vraiment parce que ça, connement, t'en est capable. Tu te tournes vers lui, et tes lèvres viennes se coller contre les siennes, ce mec t'attires comme un aimant, t'es attacher a lui depuis qu'il est venu vers toi il y a dix ans. Ta main se glisse doucement sur son entrejambes et toi , tu t'marres, tu souris comme un gamin qui fait une connerie et qui en est fier.
_ Désolé mais, j'sais pas ce qui t'faut de mieux que des compliments et l'fait que te supplie n'amour ! Et j'suis content d'savoir que meme déchirer j'suis beau Nils, vraiment j'en suis heureux !
Tu lui murmures ça, désormais coller contre lui, tu continue de le tripoter, tu joue avec le feu comme a ton habitude et sa t'amuse, un rien t'fais rire en fait. Tu lui murmures un "non" lorsqu'il te dit que tu fera mieux d’arrêter de boire. t'aimes lâcher des conneries pareil, t'aimes arrêter de penser meme si a cause de ça tu peux passer pour le mec le plus con au monde.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Ven 17 Oct - 14:49
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
T'es plutôt quelqu'un de raisonnable habituellement, tu réfléchis toujours à ce que tu fais. Enfin, tu y réfléchissais, tu dois bien l'admettre tout ce que t'es en train de vivre avec Jonas, tu n'y réfléchis pas vraiment. C'est plus puissant que toi alors tu te laisses juste porté par ce qui vous arrives et t'arrête de réfléchir. Si tu le faisais, tu serais certainement encore en train de flipper. Et ce soir aussi t'arrêtes de réfléchir, tu te laisses aller, tu profites juste. Tu n'es plus raisonnable du tout, tu bois, tu commences à dire n'importe quoi, à faire n'importe quoi. Mais tu t'en fous. T'aimes juste voir le sourire de Jonas qui te donne juste envie de fondre et t'arrives pas à enlever le tient de tes lèvres. C'est ça que tu voulais, juste oublier le temps d'une soirée et voilà, tu l'as enfin et t'es juste heureux.
« Ce qui pourrait arrivé plus vite que prévu... Et bébé, si tu me filmais en train de te sucer, se serait juste pour pouvoir regarder la vidéo et te branler dessus... »
Tu lui adresses un grand sourire complètement innocent contrastant horriblement avec les propos que tu tiens et lui adresse ensuite un clin d'oeil. Ton cerveau et ta raison sont partis en vacances ensemble ce soir, parce que tu sors des horreurs sans même être le moins du monde gêné, plus amusé qu'autre chose et tu penses même pas à t'en vouloir ou à être honteux de ce que tu dis. T'aimes juste beaucoup trop envie de le provoquer pour penser à autre chose que de le faire peut importe les propos que tu sors.
« C'est définitivement beaucoup trop mignon pour lui... Mais peut-être que je n'attends que ça... De voir si tu en est capable. »
Tu souris contre ses lèvres et tu l'embrasses en lui mordillant doucement la lèvre. Il pose sa main sur ton entre-jambe et plutôt que de le repousser ou de lui râler de ne pas faire ça, tu gémis lamentablement contre sa bouche. T'avais pas vraiment l'intention d'aller aussi loin, mais putain, il te dit de ne pas le chauffer et il n'est pas mieux que toi. Ok, il veut jouer, tu vas jouer ! Hors de question que tu t'arrêtes maintenant, t'es pas prêt d'arrêter de le chauffer, de le rendre fou s'il continu à te tripoter et à te provoquer comme il le fait.
« Je sais pas... Mais j'aime beaucoup t'entendre supplier... »
Tu ris et tu l'attires un peu plus vers toi, pour l'avoir entre tes jambes alors que t'es toujours assit sur ton tabouret. Tu le serres contre toi et juste pour le faire un peu plus chier, tu l'embrasses dans le cou, tu ris de plus belle quand tu l'entends te dire non et tu décides de pousser le jeu juste un peu plus.
« Si tu gères assez pour ne pas finir à ne plus pouvoir marcher... Je promets de t'emmener dans ma bagnole et de te sucer... »
Tu devrais vraiment avoir honte là ! Parler comme ça et surtout utiliser le sexe pour arriver à tes fins !! C'est moche. Mais t'essaies de te trouver une bonne excuse en te disant que c'est pour son bien que tu fais ça, pour qu'il ne soit pas malade...
l te fais rire ce con, rire au éclat et putain qu'est ce que sa fait du bien, de ne plus penser, et pour la bonne cause surtout, juste oublier, avancer aussi d'une certaine manière, grandir dans la connerie. Tu ne sais meme plus quoi lui lâcher a certains moments parce qu'il commence a sortir des trucs que tu aurais cru impossible de sa part, et meme si tu ne va pas t'en plaindre, sa te fige, l'monde s’arrête et peut etre qu'aussi tu prend conscience de ce que tu vie avec lui. de l’ampleur que sa prend. Que vous aller tout détruire sur votre passage et que vous ne pourrais plus compter que sur vous meme, d'envier vous allez devenir paria. tu penses a ça, tu secoue la tête comme pour ordonner a ton cerveau de ne plus penser, et tu souris une nouvelle fois, tu te trouves con, con de ne pas arriver a totalement faire le vide au final.
_ bébé ... t'as conscience que j'vais te forcer a revenir dans les chiottes si t’arrêtes pas tes conneries ?! Et bien sur que j'me branlerai dessus, comment faire autrement après tout, j'te jure cette vision de t'avoir a genoux devant moi, j'crois que je m'en lasserai jamais !
Tu t'empares de ses lèvres alors que tu fini a peine ta phrase, il t'excite, et surement un peu trop d'ailleurs, tu va finir par avoir une érection ici avec ses conneries, et rien qu'en y pensant t'es prit d'un nouveau fou rire. L'alcool a quand meme bien raison de toi. Tu t'en fou de faire une connerie, tu t'en fou des gens et de ce qu'ils peuvent penser en vous regardant, t'as juste envie d’être heureux , d’être avec lui , de continuer a jouer avec le feu mais, peu etre aussi parce que tu sais que lorsque tu te brûles les ailes il sais toujours comme arrêter le feu que tu a provoquer.
_ P'tain Nils ta gueule, tu va m'rendre fou ! ... Je ... j'peu pas faire ça la je ... enfin quoi que ...
Et va y que tu bégaye comme un enfant maintenant t'agis comme si c'était la premier fois qu'on te chauffer, qu'on voulais avoir raison de toi et de ton pauvre cerveau déjà bien en vrac. Tu ne sais plus quoi faire, a part sourire comme un con lorsqu'il se met a gémir quand tu le touche, ce qui arrête de te faire douter, encore et encore, que tu ne peux pas lui faire l'amour ici.
_ C'est une proposition qui ne se refuse pas ça mon cœur !
Tu n'arrive meme plus a parler correctement, mettant deux heures pour aligner des mots cohérent ,t'es plus que déchirer la, t'es carrément méconnaissable. Tu continue de le tripoter et puis tu craques. Tu viens jouer avec sa ceinture, alors que tu l'embrasse une nouvelle fois, tu la défait et déboutonne son jeans en a peine quelques secondes. Tu veux jouer, lui aussi, et sa risque de laisser place a une grosse connerie mais, le pire dans tout ça c'est que tu n'en a plus rien a foutre, tu vie comme si tu allez mourir demain , et des regrets tu ne veux plus jamais en avoir.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Sam 18 Oct - 5:53
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Vous agissez comme des gamins, du moins dans vos actes. Vous devriez grandir, mesurer l'importance de vos actes et être plus réfléchis et mature qu'avant. Mais vous êtes pire. Et pour la première fois de ta vie, tu t'en fous de ça. En faite tu te dis que t'as bien trop longtemps réfléchis à la conséquences de tes actes, que t'as jamais réellement lâché prise et fait ce qui te passes par la tête, même si c'est complètement débile. T'as jamais pensé qu'à toi, t'as toujours pensé uniquement aux autres, à tes parents à ce qu'ils pouvaient penser, à Jonas... Là t'as juste envie de penser à toi, même si ça veut dire continuer de penser à Jonas parce qu'il fait parti de toi et ça tu pourras pas le changer. Mais t'as envie d'oublier les règles et juste faire le con pour une fois. Tu prendras consciences de ce que tu as fais plus tard.
« Bébé … T'es conscients que tu n'aurais aucunement besoin de me forcer pour que je te suces, dans ces foutus chiotte ou ailleurs... Tu crois pas que se serait mieux que je te le fasses vraiment, plutôt que de te faire une vidéo ? C'est quand même plus agréable non ? »
Tu ris comme un con quand il t'embrasse et tu prolonges le baiser en passant tes mains dans ses cheveux. Tu le connais assez pour savoir que tu y arrives plutôt bien à l'exciter et tu peux pas mentir, t'es plutôt fière de toi. De le provoquer autant et d'arriver à le rendre fou à ce point, de faire en sorte qu'il ne soit même plus foutu d'aligner deux mots sans bafouiller. Tu pourrais même exagérer jusqu'à ce qu'il ne soit plus capable de parler et de se souvenir de son prénom. Le seul petit problème, c'est que toi, tu n'es pas vraiment dans un meilleur état que lui.
« Te rendre fou est bien la seule chose que je veux ce soir... Compte pas sur moi pour m'arrêter ! Alors... Je croyais que tu en étais capable... »
Tu sais que tu devrais mieux lui obéir et vraiment fermer ta gueule. Parce que tu le sais qu'il ne faut pas le provoquer Jonas Moriarty et tu sais aussi que te rendre complètement cinglé, il sait aussi bien le faire que toi. Et t'as beau le chercher, t'es pas vraiment sûr d'oser aller jusqu'au bout. Mais tu t'en fous, tu sais que tu vas te perdre aussi, mais t'as juste envie de le faire chier, de le rendre fou et pourquoi pas... Une fois que tu auras réussi à faire tout ça, lui faire ce que tu as promis de faire pour te faire pardonner et comme il vient de te le dire, tu sais que c'est une proposition qu'il ne pourra pas refuser.
« Putain Jo... »
Tu peux pas empêcher les mots de sortir quand tu le sens déboutonner ton pantalon, mais tu t'arrêtes en pleins milieu de ta phrase, parce qu'après tout, tu l'as bien cherché là ! Et puis hors de question que tu t'arrêtes le premier, il va te faire chier jusqu'à la fin de ta vie sinon, que tu l'es autant chauffé pour te dégonfler. Et puis en plus t'es pas sûr d'avoir envie qu'il s'arrête. Alors tu le laisses juste faire en t'accrochant un peu plus à lui et en l'embrassant avec encore plus de violence avant de passer ta main le long de son torse pour venir toucher à ton tour son entre-jambe que tu presses et caresses contre son jean.
u joues avec le feu. tu te brûles et au final t'aimes ça, et pas qu'un peu, le plus important c'est qu'il soit la, le reste t'en a rien a foutre, quand t'y penses, vraiment, tu te dis qu'il est le seul en ce moment qui peux te faire sourire et te faire chialer comme un con. En une fraction de seconde vous pouvais vous bousiller, tout faire voler en éclats, votre raison, votre conscience, ensemble vous êtes encore plus fou que vous ne l’êtes déjà. Ensemble vous avais des ailes sauf que vous ne savais pas en faire quelque chose de raisonnable. Deux idiots. deux cons qui s'aiment envers et contre tout. Qui envoie leurs monde, leurs vie valser parce que sa fait milles fois moins mal que d’être enfermer dans un monde dont tu ne veux pas, tu a l'impression de l'emmener dans un chemin couvert d’épines, ou vous allez forcement vous écorcher, vous faire du mal mais, tu prierai presque pour que ce ne soit pas que ça, pour qu'au final un rayon de soleil vienne éclairer vos pas comme pour vous dire de vous accrocher, encore un peu, juste assez pour emprunter un sentier , l'un de ceux dont tu rêve depuis que t'es gamin. Tu penses a tout ça, alors qu'en réalité, la tout de suite tu ne veux plus qu'un chose, et c'est lui faire l'amour toute la nuit, jusqu'a ce qu'il ne puisse pas marcher, jusqu'a ce que tu n'est plus de force, tu veux juste ça maintenant, et tu comptes bien arriver a tes fin.
_ je sais bébé, après tout comme tu le dit si bien je suis irrésistible ! Et ... bien sur que ça l'es d'ailleurs tu me donne un peu trop envie la !
Pas qu'un peu en réalité. Bien trop pour que sa ne commence pas se ressentir. ce mec va te rendre fou , a moins que ça, sa ne soit déjà fait, et depuis déjà bien longtemps, c'est juste que tu commences vraiment a t'en rendre comte et sa t’amuse autant que sa te fou la trouille.
_ J'aime bien quand tu me provoques mon cœur mais, tu sais bien qu'a ce jeu la je gagne toujours !
Tu sais que tu meurt d'envie de faire une connerie, et que plus le temps passe plus t'es a deux doigts de la faire. tu souris quand tu l’entend jurer alors que tu défait sa ceinture. provocation sur provocation s’enchaîne t'es pas vraiment prêt a mettre un terme a tout ça désormais.
_ T'as pas intérêt a te dégonfler maintenant bébé, t'as voulu que j'te prenne ici, j'vais l'faire en doute pas une seconde !
Et le pire c'est que tu est sérieux, tu peu le sauter devant tout le monde sans en avoir rien a foutre, tu joue avec ta vie, le feu, demain et lui aussi. Tu fait comme si plus rien n'avais d'importance maintenant. Tu le sens alors t'attirer vers lui, tu répond a son baiser, et souris comme un con lorsqu'il viens toucher ton entrejambe, assez fier de le foutre dans un état pareil tu ne peux pas t’empêcher de continuer de sourire. Sauf qu'a ce genre de jeu, tu n'as aucune limite, c'est lui qui te pose des règles, qui te calme mais, ce soir tu te promet de ne pas te laisser faire aussi facilement. Alors tu passe ta main sous son jean's et viens caresser son membre a travers son boxer, et tu te rend compte que tu veux milles fois plus. Tu passe finalement ta main sous ce foutu morceau de tissu , sentant son membre qui commence déjà a se raidir , tu ne peux pas le toucher comme tu le veux, son pantalon serre bien trop son membre a ton gout. Alors d'un coup tu te lève, le lâche et te pose en face a face. sauf que tu t'empares de ses lèvres malgré tout , posant ta main sur sa joue en plongeant ton regard dans le siens, amusé.
_ Bébé ...
mais, ta voix se bloque, alors tu t'empares de ses lèvres et le fait se lever doucement en l'attrapant par la taille, tu vacille un peu , lui aussi d'ailleurs mais, étrangement tu tiens debout sans trop de difficulté, l’excitation, l’adrénaline de la situation y sont surement pour quelque chose.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Dim 19 Oct - 10:47
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Pour toi, il est ta bouée de sauvetage. C'est ainsi depuis que tu l'as rencontré. Il te sauve ! Sans vraiment s'en rendre compte et d'une manière plutôt étrange il faut bien l'admettre. Mais il t'empêche de te noyer dans un océan de mensonges, de couler tête la première dans un monde qui n'est pas le tien. Tu sais que si il n'avait pas été là, tu aurais sûrement était la copie conforme de tes parents, tu aurais finis par croire à leur mensonges et tu aurais été incroyablement seul. Quand tu l'as rencontré, tu t'en rendais pas compte, tu n'étais qu'un gamin. Mais tu sais que sans lui tu ne serais pas grand chose, qu'il est la chose la plus incroyable qui te soit arrivé. Et qu'aujourd'hui tu serais prêt à tout pour garder la seule personne qui te rends vraiment vivant, même si tu dois perdre le reste. Il est la personne qui te rends heureux, la personne qui te fait le plus de mal aussi et la personne capable de te détruire, la seule personne capable de ça, mais ce n'est rien.
« Irrésistible... T'emballe pas bébé, je suis saoule et je ne vois plus très claire... C'est pour ça que je te trouve si irrésistible ! C'est exactement ce que je voulais... Te donner envie bébé ! »
Ok t'es pas le moins du monde sincère sur ce qui concerne le fait qu'il soit irrésistible, tu le sais et il le sait. C'est vrai que ta vue n'est plus très net, mais t'es encore assez lucide pour savoir que même déguisé en chou fleur se mec te rendrait fou et te donnerait envie de te faire prendre dans n'importe quel endroit de cette foutu planète. Mais t'adore l'emmerder et t'as comme l'impression qu'il aime ça autant que toi, puisque quand tu pousses le bouchon un peu trop loin, tu finis généralement par crier son nom !
« Tu gagnes toujours ? Tu veux parier là dessus ? Fais gaffe, tu pourrais être surpris ! »
Tu n'étais pas vraiment sûr de toi sur le fait que tu es vraiment envie de pousser le bouchon aussi loin entre vous et sur le fait que vous puissiez vous envoyer en l'air ici. Et tu l'es toujours pas d'ailleurs. Mais t'es au moins sûr d'une chose. Tu ne l'arrêtera pas, ce n'est pas toi qui te dégonflera le premier, même si tu dois faire un truc complètement cinglé. Même si tu dois te retrouver à genoux devant lui, comme il aime le dire. Tu le feras, juste pour lui montrer que t'es pas décidé à perdre et pour pousser votre jeu encore plus loin. Vous êtes fou, fou l'un de l'autre et cette folie vous pousse à faire les pires conneries ensemble. Mais t'as pas l'intention d'arrêter ça ce soir.
« Qui parle de se dégonfler ? J'attends que ça Jonas... T'avoir en moi et que tu me fasses perdre la tête... »
Tu l'empêches généralement d'aller trop loin dans ses conneries. Le problème, c'est que ce soir, t'es plus vraiment capable d'analyser ce qui est bien ou mal. L'alcool et aussi l'envie te bouffe le cerveau et même si t'es encore assez lucide pour savoir que c'est pas très bien de faire ça, tu t'en fous. T'as juste envie de le faire et surtout de ne pas le laisser gagner. Tu l'embrasses, avec toute l'envie que t'as pour lui, ça pourrait t'en faire perdre la tête. Et quand tu le sens passer sa main sous ton boxer et toucher ton membre. Tu décolles ta bouche de la sienne et tu gémis. Tu regardes autour de toi. Vous êtes toujours autour du comptoir, mais dans un coin assez reculé et personnes n'est trop prêt de vous. La musique à sûrement caché tes gémissements et le haut comptoir lui vous cachez assez bien. Alors un peu connement ça te rassure et tu te dis que ça peut le faire... Mais qu'il faut quand même être sacrément con pour oser !
Il te force à te lever et tu le fais, docilement, tu sais pas ce qu'il veut de toi, mais quoi qu'il en soit tu te laisses faire entre ses mains, parce que tu dois bien admettre que t'aimes quand il te domine. Ton jean ouvert tient encore miraculeusement sur tes hanches quand tu te retrouves debout de dos, tout à l'air normal et de face, tu es collé contre lui.
uel con putain, quel con tu fais mais, le pire dans tout ça c'est que maintenant, t'en est plutôt fier. De n'avoir aucune limites, d’être celui qui fou tout en l'air, pour meilleur et pour le pire comme on dit. Provocation sur provocations. Tu est capable de dire adieu a tout ce que tu a connu, a tout tes repères, alors a coté le prendre sur le bars sa te parais bien facile a faire pour ta pauvre cervelle, ton corps ne répond plus de rien et tu t'en fou, la seul chose que sa produit sur toi c'est un fou rire incontrôlable qui reviens des qu'il commence a peine a s'faire la malle.
_ Juste comme ça bébé , tu t'rend compte que tu mens super mal ? genre quand t'es sobre tu m'trouve pas beau peut etre ?
Tu te fou de lui mais, ce n'est pas la dernier ni la première fois. Tu le sais très bien que si tu ne laisse pas quelqu'un indifférent sur cette putain de terre c'est bien Nils. t'aimes te foutre de lui, le mettre dans un état pas possible mais, ce soir il a l'air de vouloir aussi jouer a ce jeu surement un poil trop dangereux pour deux idiots comme vous.
_ J'attend que d’être surpris Nils mais, n’empêche qu'en général c'est moi qui t'bat a tout les coups !
Parce que lui il se pose de limite, il sais dire stop quand sa va trop loin alors que toi non, il t'as ramasser dans des états Juste pas possible, il a assister a des conneries que personne n'aurai cru faisable. sauf que ce soir il a l'air décider a etre aussi con que toi, reste a savoir si c'est une bonne ou une mauvaise chose.
Ton sourire suffis a lui répondre, un air de défis se li dans ton regard, débout, tu te colles désormais a lui. t'en a rien en faire des avis des gens, meme qu'on vous vire d'ici, sa ne t’empêchera pas de lui faire ce que tu a envie. meme si connement t'aimerai l'faire ici, devant tout l'monde et a la fois personne. franchir un interdit de plus pour se sentir vivant, fort alors que t'en est bien loin en réalité. ta main ne quitte pas son membre, et puis tu fais une connerie, une folie mais, après tout , une de plus ou de moins, est ce que sa change vraiment quelque chose ?
Tu fais lentement glisser son pantalon puis son boxer, juste pour que son membre sorte complètement , te collant un peu plus contre lui, assez pour le cacher de la vue des passant meme si heureusement, vous êtes dans un coin reculer et assez délaissé du bar. t'aimes l'voir avoir honte, t'aimes le rendre complètement fou , lui retourner le cerveau.
_ Alors bébé , tu t'sens toujours prêt a t'faire prendre ici ?
Tu lui murmure ça, en rigolant une fois de plus bien que tu tente de te faire le plus discret possible. ta main ne lâche pas son membre que tu te met a caresser du mieux que tu le peux. Tu repense a la première nuit ou tu a couchez avec lui. Toutes ses peurs, ses angoisses, ses doutes, tout ça c'est casser la gueule. Tu l'aimes et le reste du monde, tu l'emmerdes.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Lun 20 Oct - 13:07
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
T'es presque sûr que demain tu te hurleras intérieurement de ne plus jamais boire une goutte d'alcool. T'auras au moins la satisfaction de te dire que tu ne te seras pas fais sauter par n'importe qui et n'importe quand, mais bel et bien par le type dont tu es fou et plus que correctement. Par contre, tu es presque sûr que tu oseras à peine le regarder dans les yeux, d'avoir osé faire ça, presque le supplier de te baiser en plein milieu d'un bar. Mais par contre là, tu n'en as juste rien à faire, tu pourrais lui hurler de te prendre là tout de suite et d'arrêter de te faire languir. Tu te dis que si c'est pour avoir honte demain, une fois que tu auras repris tes esprits, autant avoir honte pour quelques choses et qu'il te fasse jouir comme tu en as envie. Tu sais que tu pètes un câble à cause de lui, que t'es prêt à n'importe quelle folie, mais tu t'en fiches, avec lui tu veux juste vivre.
"Hum... Pour être honnête, quand je suis sobre, j'arrive déjà à peine à me retenir de te sauter dessus... Alors là j'ai juste envie que tu te la ferme et que tu passes à l'action !"
Il t'énerves à se foutre de toi. Il le sait que tu mens et tu mens mal là pour le coup, tu te contredis toi-même à dire que tu ne le trouves pas absolument canon. Mais ça t'énerves quand même, t'as pas envie qu'il se foute de ta gueule, t'as juste envie qu'il s'occupe de toi et que tu puisses t'occuper de lui aussi.
"Arrêtes de faire le malin Jonas... ça pourrait bien changer au moins ce soir ! Tu n'imagines même pas ce que je me sens prêt à faire là tout de suite..."
Tu lui adresses un immense sourire et pour approuver tes dires, déboucle enfin la ceinture de son pantalon avant de l'ouvrir pour l'abaisser d'à peine quelques centimètres et passer ta main dans son boxer que tu abaisses de quelques centimètres aussi juste pour pouvoir prendre entre tes mains l'objet de tes désirs et le presser légèrement avant de commencer à faire des vas et viens dessus. Juste histoire que vous en soyez au même point. T'as envie de le rendre fou autant qu'il est en train de te rendre fou. Ton autre main tu la passe autour de son cou, dans ses cheveux que tu caresses et puis tu l'embrasses. Tu l'embrasses de la façon la plus passionné qu'il soit, tu crèves de ce mec, il te rend fou. Tu sais que ça se voit de bien des façons et c'est maintenant impossible à cacher alors que tu gémis sous ses caresses, que tu l'embrasses avec toutes l'envie que tu as en toi et qui te bouffes à petit feu.
Tu sais que c'est une connerie de te laisser faire, de le laisser te faire l'amour ici, dans un lieu public. T'es encore assez lucide pour savoir que c'est la pire connerie que tu vas faire. Seulement voilà, tu sais qu'il y a des conneries qu'on regrette et d'autre qu'on ne regrette pas. Demain vous vous apprêtez à faire la plus énormes de votre vie et malheureusement celle-ci, tu ne sais pas encore dans quelle catégorie la ranger. Par contre, qu'il te fasse l'amour dans un lieu public, que vous vous fassiez choppé ou non, que tu meurs de honte ou non, t'es sûr de pas le regretter, que c'est le genre de folie, bien que pousser à l'extrême, que t'adore faire avec lui. Alors ouais, t'es définitivement prêt à ce qu'il te prenne ici !
"Jonas, je n'attends que ça... Que tu me prennes ici, alors fais le ... A moins que... tu ais la trouille bébé ?"
Et tu le regardes avec un grand sourire avant d'aller l'embrasser dans le cou. Une provocation de plus ou de moins, au point ou tu en es, ça ne va pas te tuer, il risque juste de te la faire payer un peu plus, mais là, t'es plus non plus à une prêt et tu dois bien l'admettre... T'adores sa façon de te faire regretter tes paroles. Tu continus tes vas et viens sur son membre et comme pour prouver ce que tu viens de dire, tu te colles encore un peu plus à lui, les jambes légèrement écarter et tu te frottes légèrement contre lui en poussant quelques gémissements prêt de son oreille. Tu sais que de loin, vous devez avoir l'air de deux andouille en train de vous rouler des pelles, incapable de se lâcher d'un millimètre, t'espères juste que t'arriveras à être assez discret pour que les gens pouvant vous remarquer continue de le penser.
'es bien décider a te cramer les ailes mais tu veux l'faire pour une raison qui en vaux la peine et rien ne vaux mieux que Nils. C'est comme ça depuis toujours et surement a jamais. peu etre qu'un jour vos routes vont se séparer mais, tu pourrais dire que oui, meme si ça arrive, ce mec sera la personne qui aura le plus compter au cours de ta vie. Tu pense a ça et tu t'vois vieux. Tu t'vois les yeux mi clos, entrain de lui murmurer que tu a peur qu'il s'envole, comme un nuage de fumée, une étoile filante, il est le seul qui te rend aussi fou, une folie brut, dangereuse mais, trop belle pour y renoncer.
Tout s'embrouille dans ta tête. Tu va faire une connerie, une foutu connerie mais, merde après tout. Tu lui a bien fais l'amour , l'corps en larme dans un hôtel miteux, chez toi alors que t'as mère étais a deux pas, tu va renoncer a tout pour continuer de lui faire l'amour aussi, alors l'prendre ici, devant tout l'monde tu commence vraiment a t'en foutre. Tu ne répond meme plus. L'alcool, la folie du geste surement y joue pour beaucoup. Tu ne sais plus rien faire a part poser tes lèvres contre les siennes, prolonger tes baisers le plus possible, de peur que tout prenne fin. Tu te sens mourir, a bout de souffle, le cœur en miette que tu tentes de recoller comme tu le peux mais, tu n'y arrives pas, sa ne ressemble a rien. Tu te brûles les ailes avec lui. Vous vous consumer ensembles.
_ J'ai hâte de t'voir mourir de honte demain quand tu repensera a cette nuit !
Un murmures, tes baisers, lent, suave, sensuel a en crever que tu pose dans son cou, et puis tu lui dis ça , d'une voix amusé, perverse au possible, un ton rieur se fais entendre lorsque tu lui parle. Tu le connais, au moins assez pour savoir que oui, demain il va y repenser, et il va surement en avoir honte, peu etre que toi aussi en réalité tu fera moins le fier en te réveillant demain.
Tu t'sens flancher. ta main qui viens sur son membre et la sienne qui fais de meme, vous avais l'air cons coller l'un contre l'autre. Ce n'est meme pas un amour comme dans les films, comme dans les rues lorsqu'on sort, c'est a fleur de peau, embrouiller, apeurer, sauvage et sa se voit, bien plus que tu veux bien le croire. Deux idiots qui se rassure, qui apaise leurs doute et s'en foute d'autres dans le crane, ensemble, pour etre plus fort, pour avoir le droit de tomber, en sachant que l'autre l'aidera, envers et contre tout.
_ Et j'ai jamais la trouille Nils, surtout pas pour ça !
Tu te blottis contre lui. Échappatoire, illusion. Un rêve violent dans lequel tu tente de te bercer en vain. Tu l'obliges a contre cœur a lâcher ton membre, caressant sa main avec la tienne, tu la serre, comme pour te dire que tout ira bien ce soir, demain, et dans ce futur qui te fais si peur que tu n'arrives meme pas a y penser une fraction de seconde. Tu frotte ton membre contre le siens et viens alors le loger entre ses fesses, sans le pénétrer pour autant. Tu retiens un soupir. Des gens parte du bars et ceux qui reste sont dans un état aussi mauvais que le votre, alors peu importe ce qui se passe, demain, tout sera oublier, pour toi, pour Nils et pour tout ces autres cons qui vous entourent.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mer 22 Oct - 5:56
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
T'as raison est partie en vacances, mais à vrai dire, t'as encore assez d'esprit pour savoir pourquoi tu fais ça, pour comprendre. Si tu te posais deux secondes pour réfléchir, tu le saurais que si les choses s'étaient passé différemment, tu ne l'aurais pas autant provoqué et t'aurais refusé ce que vous vous apprêtez à faire dans ce bar. Mais les choses sont telles qu'elles sont, vous n'en avez pas reparlé et tu ne veux pas en reparler tout de suite, mais il a l'air décidé à tout dire à ses parents demain et toi tu diras tout au tiens. Parce qu'envers et contre tout, tu le soutiendras et surtout parce que s'il se retrouve à réaliser le pire cauchemars de ses parents, c'est de ta faute, alors tu ne te défileras pas. Voilà, c'est exactement pour cette raison que t'as envie de faire une chose aussi folle que de faire l'amour dans la salle d'un bar. Tu sais pas comment ça va se passer demain, t'es sûr que ça se passera mal, tu ne sais pas comment tes parents vont réagir, mais t'as plus grande peur, c'est d'être séparé de Jonas, de ne plus pouvoir le voir. Cette idée te bouffe de l'intérieur, te fais peur. Mais c'est pour ça que ce soir, t'as envie de faire cette folie, t'as envie de profiter de lui au maximum et de te dire que t'auras au moins vécu quelques choses de dingue avec lui. Même si tu sais que tu ne te laisseras pas facilement faire, qu'il te faudra beaucoup plus qu'une interdiction pour t'empêcher de le voir. Et puis peut-être que la peur que lui passes à autre chose, te fais agir de la sorte aussi, l'alcool aussi sans doute. Quoi qu'il en soit, t'as envie de la faire cette connerie. T'as envie de le faire, t'en crève et t'as envie de sortir de là après, mort de rire avec à tes côtés ce type qui te rends dingue.
« La ferme Jonas... Arrête de parler et baise moi... On verra dans quel état tu seras demain toi ! »
Il t'énerve, tu soupires et tu lèves les yeux au ciel. Il te connait par cœur et ça t'agaces, il le sait et tu le sais que demain, ça sera tout une autre histoire. Que tu t'en voudras de t'être comporté de cette manière, qui ne te ressemble pas vraiment quand tu n'es pas saoule. Tu sais que t'auras honte d'avoir osé voulu qu'il te fasse l'amour dans un bar et pire, de l'avoir presque supplier de te le faire comme tu viens de le faire. Mais là tu t'en fiches. Là, il te rends vraiment dingue avec ses baisers dans ton cou, sa voix, il se fout de toi, mais t'es bien prêt à lui pardonner du moment qu'il te donne ce que tu veux. Vous êtes deux abrutis dans une arène, vous passez votre temps à vous battre ensemble, mais vous savez pertinemment que si l'un de vous tombe, l'autre suit, vous vous soutenez, depuis des années et toi ce que tu pourras affirmé plus tard, c'est que t'es plus belles conneries, tu les auras faite avec lui et tu ne veux surtout pas que ça s'arrête.
« Alors que dirais tu de le prouver ? »
Tu lui souris, un provocation de plus ou de moins, tu n'es plus à ça prêt. Une allusion de plus au fait qu'il est en train de te rendre dingue et que t'en crêve d'envie, là non plus t'es plus à ça prêt. Mais tu t'en fiches, t'as juste envie de le sentir en toi, pas uniquement parce que t'as envie de lui, mais parce que ça te rassures. Cette proximité entre vous, la chaleur de son corps, lorsqu'il te fait te sentir bien, c'est bien là le seul moment où tu te sens réellement en sécurité. Tu le serres contre toi et tu sens son membre se frotter contre tes fesses, tu gémis doucement contre son oreille, il est en train de te rendre dingue. Et puis ton attitudes change du tout au tout, serré contre lui, t'as presque plus envie de le provoquer, de le chauffer comme tu le fais depuis tout à l'heure, t'as juste envie de lui montrer à quel point tu l'aimes. Tu relèves la tête pour embrasser ses lèvres et entre deux baisers tu lui murmures juste un « s'il te plaît... » pour qu'enfin il accepte de te faire te sentir en sécurité.
u t'fais du mal, peut etre pour rien, peu etre parce que sans ça t'es rien aussi, juste une ombre, un nuage de brume qui s'évapore dans la nuit, qui né et meurt a une vitesse folle. ce n'est pas de ça dont tu a envie. Tu veux quelque chose de grand. De fou. Un truc qui fait se sentir vivant mais, l’être a ce point sa ou des frissons, une peur que tu n'avais encore jamais connu. Et malgré tout tu ne veux t'en détacher pour rien au monde, comme une douleur nécessaire, utile meme si elle bousille, meme si elle détruit tout sur son passage. t'as besoin de lui. Pour vivre, vraiment vivre. Tu te colles , l'attires toujours un peu plus contre toi, tu joue a un jeu dangereux, tu est entrain de te brûler vif mais, peu importe les cicatrices que sa va te faire, tu ne compte t’arrêter, a aucun moment, t'ira au bout de cette folie bercer par la peur et l'alcool.
_ Mais c'est que je pourrais presque croire que t'es en manque !
Tu souris et pose tes lèvres sur les siennes. Tu l'obliges a se blottir un peu plus dans tes bras, tu veux aussi le protéger, inconsciemment t'as toujours chercher a le faire meme si t'as jamais étais doué pour ce genre de chose. Tu ne supportes pas ses larmes, sa te rend fou, sa te ferais faire la pire des conneries au monde, si quelqu'un lui faisais du mal tu ne sais meme pas de quoi tu serais capable. Ce n'est plus une histoire de titre, de confident, petit ami, frère de cœur et meilleur depuis le début, envers et contre tout, c'est bien plus puissant qu'un mot, meme qu'un discours qui dure des heures. Aucune phrase, meme d'une justesse infini ne pourrais décrire ce que tu ressens quand tu est avec lui, partager entre tellement d'émotions que tu t'y perd, tu t'y noie mais, tu accepte de le faire les yeux fermer.
Tu le retrouves un peu le Nils que tu connais quand te supplie avec une douceur infini de lui faire l'amour, il va te rendre fou, vraiment fou mais, peu etre importe, d'ailleurs c'est peu etre meme déjà le cas. Tu te frottes contre lui, juste un peu avant d'entrer en lui , lentement mais, entièrement. Tu te mords les lèvres si fort, pour empêcher un gémissement de s'barrer d'ici que tu te coupes, tu saignes un peu. ce gout amer viens envahir ton palet, de cette folie, tu va t'en souvenir longtemps, meme l'alcool ne pourra rien effacer, que tu le veuille ou non, sa va rester graver, écrit a l'encre noire dans ta mémoire.
_ J'taime pauvre fou ...
Un murmures, un sourire et puis tu fais un premier va et viens, un deuxième, lentement de peur que sa ne se voit bien plus que tu ne pourrais l'imaginer. T'as toujours aussi peur de lui dire que tu tiens a lui aussi de cette manière, les mots te coûte mais, sont libérateur.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mer 22 Oct - 13:46
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Tu es vivant, tu le sens là ton cœur qui bat à tout rompre. Tu le sens quand il est prés de toi Jonas. Ouais t'as la sensation de vivre pleinement et à fond, uniquement quand tu l'as avec toi. C'est simple, pour toi rien n'est plus puissant, plus fort que ce que tu fais avec Jonas. Rien ne te fous plus les frissons que d'être près de lui. Et t'as beau trouvé ça pathétique et niais au possible. Personnes, ne te fais rire, ne t'intéresses, ni ne te donne l'impression de vivre autant que lui. Il est un peu comme l'air, t'en as besoin pour vivre. C'est comme de l'héroïne pour un drogué. Ça te tue à petit feu, ça va te détruire, mais bordel quand t'as ta dose, tu te sens tellement puissant, tellement vivant. Une fois que tu as essayé, tu ne peux plus t'en passer, tu peux plus arrêter, t'as beaux essayé, c'est compliqué. Jonas est pire qu'une drogue pour toi, parce que tu sais que t'auras beau essayer de te sevrer, tu n'arriveras jamais à pouvoir t'en passer.
« Arrête idiot... J'ai juste envie de... me souvenir de cette soirée et j'en ai rien à foutre du reste, des gens, y a que toi qui comptes et...Et je crois que je vais me taire, parce que je ne dis plus rien de cohérent ! »
Tu ris, tu ris de ta connerie, t'aurais voulu exprimer le fond de ta pensée. Lui dire que t'as juste peur de ce qui va se passer ensuite et que t'as juste envie de te sentir vivant ce soir et qu'il n'y a que lui qui est capable de te rendre ainsi. T'aurais voulu lui dire que tu l'aimes à en crever et que ce genre de connerie, ça t'es égales, que ce que peuvent penser les autres, t'en a rien à foutre. Tout ce qui compte, c'est lui, si lui veut le faire, si lui ça lui plaît, alors tu le fais, parce qu'il n'y a que lui qui est important. Tu n'as pas menti ce fameux soir où tout à faillit se finir entre vous. Ou tu lui as hurlé que t'en avais rien à foutre de ce qu'on pouvait penser de toi. Y a rien de plus vrai, en réalité, le seul opinion qui compte, c'est le sien.
Serrais contre lui, tu es juste bien, tu en oublis tout. Il n'y a plus que lui encore une fois. Le lieu où tu te trouves n'as plus aucune importance. T'as juste le sentiment d'être en sécurité dans ces bras, t'as l'impression, idiotement, qu'il ne pourra jamais rien t'arriver tant qu'il sera là. Ou du moins que peut importe ce qu'il t'arrive, tu trouveras le courage de te relever tant qu'il sera là. Il s'enfonce enfin en toi et c'est un peu comme une libération, parce que tu étais sur le point de craquer. Tu te cambres et heureusement pour toi, ta respiration se bloque t'empêchant de faire le moindre bruit et heureusement parce que là tu n'aurais pas pu te retenir. Tu reposes ton regard sur lui et tu le vois se mordre les lèvres, tu souris et vient les embrasser, pour qu'il arrête de se faire mal, les lécher pour faire passer la douleur.
« C'est toi le pauvre fou... Et moi aussi je t'aime Jonas ! »
L'espace de quelques secondes, toutes l'alcool que t'as ingurgité ce soir, semble ne jamais avoir existé, s'être évaporé en un instant. T'es sérieux comme tu ne l'as jamais été à cet instant. Il le sait que tu l'aimes, tu lui as fais comprendre et sûrement bien trop souvent dis. Mais t'as besoin d'être sérieux à cet instant, comme pour lui prouver encore une fois, comme si t'avais besoin de lui faire savoir. Il commence ses vas et viens et t'écartes encore un peu plus les jambes, mises de chaque côté des siennes. Tu gémis, doucement et tu gardes ton regard planté dans le sien, incapable de le quitter des yeux.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Jeu 23 Oct - 8:04
Ça fait si mal de se sentir vivant.
Tu me rend fou mon amour. tellement fou que je brise les seules règles que je m'étais imposer, tu me retourne le cerveau. Tu m'rend taré et le pire c'est que j'aime ça, que j'en demande toujours un peu plus, comme un drogué, un malade, oui j'suis malade de toi Nils. Un fou qui attend sa dose. Embrasse moi que je me sente partir pour mieux revenir, laisse moi te faire l'amour encore et encore. laisse moi agir comme un idiot par moment, comme un gamin qui perd ses mots. Je ne suis plus que ça. Plus qu'un enfant, un pauvre con qui se cherche encore , qui se trouve petit a petit. Laisse moi ne jamais t'oublier, te graver dans mon cœur et ma mémoire a l'encre noire, ton nom tatouer dans mon etre me brûle, me déchire de l’intérieur mais, jamais je ne tenterai de l'effacer. Tu me rend fou Nils. Et regarde nous, regarde les pauvres gamins qui font comme si ils n'avais plus peur de rien. On a l'air con, ont a l'air fin comme ça, a s'baiser, s'prendre, ici, devant ses regards qui passe et se perdent dans la pièce. Mais, l'pire c'est que je m'en fou, de ça et du reste. dévore moi, met moi en pièce, peu importe, t'es ma force et ma faiblesse, fais ce que tu veux de moi, temps que tu arrive encore a me dire "je t'aime" en le pensant vraiment, je te pardonnerai tout, absolument tout. Même de me rendre fou.
Tu pense a ça. T'aimerai lui dire, perdu dans ses bras, trop niais, trop beau et pur pour toi, non tu lui prouve juste en le prenant devant des dizaines d'inconnues, enfin c'est un bien grand mot, tes coup de rein sont lent, réfléchis pour une fois, tu prend ton temps, la frustration viens prendre place. Un frisson, qui te parcours de haut en bas. tu retiens tes mots, tu retiens un autre je t'aime, encore un autre, en réalité tu pourrais passer ton temps a lui dire, a le gueuler sur les toits mais, sa ne te ressemble pas. Avec toi, tout est un sous entendu, un non dit, tu ne veux pas que quelque chose d'aussi sort devienne banal. Tu les gardent pour toi ses mots, pour qu'il sortent seulement dans les meilleurs moment, ceux ou tu a l'impression que plus rien ne va, ou vous fonder en larmes, ou vous faite une connerie, tu lui dit comme pour lui dire aussi que tu est la, que tu le sera toujours, peu importe la manière, tu n'a plus jamais la force de le quitter.
t'as presque envie de lui dire : oui tait toi. Mais, tu souris juste comme un gamin, la musique change, tu la reconnais, t’écouter ça il y a quelques années, sa élargie ton sourire. Tu danser sur ça, comme un idiot dans ta chambre, t'étais plus le mec parfait qu'on a l'air de si bien connaitre, adieu au dragueur, manipulateur, emmerdeur, t'étais juste toi, vraiment toi,et dans ces moments tu avais juste envie de le voir lui, Nils et seulement Nils. les autres pouvaient bien allez se faire foutre. ta vie, ta vrai vie tu la mener avec lui, et celle pour laquelle tu fou tout en l'air, c'est aussi a ses cotés que tu va le faire. Ton ombre et ton étoiles en meme temps, il ne te quittes jamais, peu importe si il se tiens a tes coté ou non, il est le seul a ronger ainsi tes pensées. Lui, tu ne le baises pas. tu lui fais l'amour. Tu ne penses pas qu'a toi, il t'importe bien plus que ton petit plaisir. Alors pour une fois, tu affrontes le regard le regard de la personne avec qui tu fais ça, tu lui souris, d'une manière bien trop enfantine pour la situation mais, peu importe. Plus rien ne compte désormais. Plus rien, a part lui. Et t'avouer ça, sa te fais autant de bien que de mal.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Jeu 23 Oct - 15:04
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Il te rend fou, il t'a toujours rendu fou. Il est responsable de la personne que tu es. Il t'a mis en pièce la première fois que tu l'as rencontré. Le gamin peut sûr de lui que tu étais, qui voulait juste un ami et qui, timide, à pour une fois eut le courage d'approcher un autre enfant. Il l'a mit en pièce et il t'a aider à forger la personne que t'es aujourd'hui. Et tu peux pas le nier, t'aimes la personne que t'es, t'as absolument pas honte de ce que tu es. Et même si ça a été le cas pendant longtemps, t'as pas honte de l'aimer maintenant. C'est complètement fou et tu le sais, t'as essayé de résister à cette folie. Mais il a bien fallut que tu te fasses une raison. Depuis que vous êtes gosses il est là, il a été ton premier véritable ami, la première personnes à qui tu as tenu en dehors de ta famille, ton premier amour, t'es bien obligé de l'admettre, ta première fois... En faite, il est bien trop de choses pour toi. Il s'est immiscé dans ta vie et il a fallut qu'il est une place à part entière pour chaque étapes de celle-ci. T'as pas un seul souvenirs dans lequel il n'est pas et pour la plus part, ce sont des bons souvenirs, des souvenirs que tu chériras jusqu'à la fin de ta vie. T'es fou de lui, t'es prêt à tout pour lui, tu t'es fais une raison, t'es prêt à tout affronter pour lui, alors autant le faire.
Vous êtes en train de faire l'amour dans un bar. T'es en train de t'envoyer en l'air, de te faire prendre par ton meilleur ami/frère/petit-ami/toutcequetuveux, dans un putain de bar. T'as franchis toutes les limites que tu t'étais fixé, t'as lâché tout tes principes et ta foutu timidité. Tout ça pour quoi ? Pour quelques verres d'alcool et un manque un peu trop présent de le sentir en toi ? Non même pas pour ça... Non simplement parce que tu l'aimes à en crever, que tu as certes envie de lui, mais que t'as peur, que au fond t'es morts de trouille à l'idée de le perdre, à l'idée que tout ça t'échappe et que tu te retrouves seul. T'as envie de te sentir aimer et il n'y a que la façon dont il t'aime qui a de l'importance pour toi. T'as pas besoin de ces mots, t'as besoin de ces gestes. Qu'il te le prouve et il le fait là. Tu sens ses coups de reins, lent, tu le sens en toi, bien plus que quand c'est violent d'ailleurs. Tu trembles déjà, parce que la peur de se faire prendre, l'excitation, tout fait décupler les sensations. Tu t'accroches à lui, tu fermes ta gueule, t'essaies de toute tes forces. Tu l'embrasses. Tu pourrais presque rire, parce que vous ne l'avez jamais fais dans un endroit aussi... peu approprié et ça n'a jamais été aussi tendre ? Non, ça l'est juste parce que vos mouvements ne doivent pas se faire remarquer. Mais toi, tu ne vas pas t'en plaindre, t'aimes quand c'est comme ça. T'aimes devoir te faire violence pour ne pas gémir et être encore un peu plus sadique envers toi en accompagnant ses coups de reins pour qu'il s'enfonce un peu plus en toi. Et t'aimes, plus que tout, ces putains de yeux alors qu'ils sont encré dans les tiens pendant qu'il te fait l'amour. A-t-il au moins conscience de l'effet que ça te fait, a t-il conscience de l'état dans lequel il met ton cœur ? Et son sourire, son sourire que tu ne peux pas t'empêcher d'imiter. C'est un supplice de continuer de le regarder, de soutenir son regard, mais tu le fais, t'as l'impression que si tu détournes le regards tu vas le perdre, alors tu continus de le regarder te faire l'amour. Et tu continu de l'aimer à en crever, un peu plus encore.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Jeu 23 Oct - 15:54
Ça fait si mal de se sentir vivant.
T'en a tellement eu besoin de te faire aimer, qu'on te le dise, encore et encore qu'on t'aimes. t'as chercher ses mots dans les yeux de ton père pendant tellement d'années et sans jamais les voir, t'as fais les pires connerie au monde juste pour essayer de te sentir vivant, t'as manipuler ton monde juste pour voir des gens avoir aussi mal que toi. On t'envie mais, putain a quoi bon ? tu ne veux pas mieux que la plupart des cons qui peuplent cette terre, t'es juste un humain et t'en a marre d’être dit parfait. Tu veux jouer au con, une dernière fois mais, pour la bonne cause, tu veux jouer , te brûler les ailes dans un amour interdit.
Non tu ne rêve pas Jonas, t'es bien entrain de faire ça, de prendre Nils en plein dans un bars, paumé au fond du comptoir , a peine éclairer, blottis l'un contre l'autre, tu ne veux plus jamais le lâcher de peur qu'il s'évapore dans la nuit tu voudrais le couvrir de tes baisers jusqu'a ne plus avoir la force de rien. tes coups de reins sont doux, lent, tu a prit l'habitude de faire sa vite comme pour nié un peu la réalité mais, la tu te sens vraiment en lui, comme si tu finissez de découvrir chaque partit de son corps. Tu retiens un gémissement. Tu ne quitte plus ses lèvres , aussi pour faire le moins de bruit possible, sachant très bien que plus les seconde passe, et plus tout ça deviens compliqué, compliqué de taire l'excitation que tu ressens, a etre en lui, dans ce lieu, face a cette situation, tu a la sensation de le redécouvrir, de redécouvrir le fait de faire l'amour a chaque fois que tu couche avec lui.
Tu t’abandonne, tu te perd. tes lèvres vienne se poser dans son cou et entre deux baiser tu trouve de lui murmurer de maigre mot. " tu va me rendre fou ..." Pas une once de méchanceté, juste une vérité terrible et belle a la fois, un fait auquel tu t’habitue et que tu te surprend a aimé. Oui tu aime l'état dans lequel il te met. La femme de ta vie est un homme. Tu pense a ça et tu retiens ton fou rire parce que merde après tout, oui sa prête plus qu'a rire qu'a pleurer. Parce que t'en a marre qu'on t'emmerde, t'en a marre de te prendre la tête, ensemble vous êtes heureux, tu l'aimes et il t'aimes alors si tes parents ne peuvent pas comprendre ça, tu t'en fou. T'es arriver a ce point de non retour ou tu t'en fou juste.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Ven 24 Oct - 5:04
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Tu penses à demain, tu ne sais pas pourquoi tu le fais, mais tu le fais. Enfin, tu penses surtout au moment où l'alcool aura finit de s'évacuer de ton corps et où tu redeviendras totalement sobres. Et cette idée, te donnes juste envie de rire à cet instant précis. Parce que t'es au moins conscients d'une chose, demain tu rigoleras beaucoup moins. Parce que tu te souviendras de cette soirée, de tout ce que tu as fais et non, t'as pas le privilèges d'oublier quand t'es bourré, alors tu te souviendras de chaque moments de cette foutu soirée en détails. Tu te souviendras de la façon dont tu lui auras parlé et tu rougiras de l'avoir fais, tu te souviendras de tous les verres que tu auras eut, ce qui expliqueras ton mal de crâne, tu te souviendras de votre douleur, de tout ce que vous vous êtes dis dans les toilettes et de la façon dont il t'a fais l'amour, avec toute la rage et la douleur qui l'habite et tu auras mal autant physiquement que moralement, heureusement, tu te souviendras aussi de la première fois qu'il t'a dis qu'il t'aimer, ce qui te mettra un peu de baume au coeur. Tu te souviendras de vos rires, qui l'espace de quelques instants, vous a fait oublier le reste. Et de cette folie, de ce que vous avez fait dans ce bar. Tu auras peut-être un peu honte, mais tu ne le regretteras pas, parce que tu te seras senti vivant et parce que tu sais qu'il faudra garder quelques bonnes choses tout de même, parce que demain risque d'être horrible.
Ses coups de reins continus, lents mais profonds et ça te rend fou, vraiment. Autant que toutes les autres fois où vous avez fais l'amour. T'as l'impression que c'est différents à chaque fois que vous le faite, que aucune ne ressemble à la fois précédente, qu'il arrivera toujours à te rendre fou en le faisant, tant t'as l'impression que c'est nouveau et que ça te fait perdre la tête. C'est doux cette fois-ci, tu sais bien qu'il n'a pas vraiment le choix, qu'il doit mesurer ses gestes pour que ça se voit le moins possible. Mais tu ne vas pas mentir, tu aimes cette douceur aussi, t'aimes pouvoir le sentir vraiment en toi et sentir parfaitement chacun de ces gestes. Et ça devient vraiment difficile de ne pas gémir, de ne pas te faire entendre et gueuler à qui voudras bien l'entendre que ce mec te rends vraiment fou. Tu l'embrasses, tu soupires contre ses lèvres, t'accompagnes toujours ses gestes et tu serres son tee-shirt entre tes mains quand tu sens l'excitation monter d'un cran. T'en peux plus, tu quittes ses lèvres pour reprendre ta respiration, mais c'est un gémissement qui sort finalement de ta bouche, pas fort, t'es sûr qu'il n'y a que lui pour l'entendre, mais celui-ci t'as bien était incapable de le retenir. Tu bascules ta tête sur le côté quand il pose ses lèvres sur ton cou, juste pour savourer un peu plus ses baisers. Tu l'entends te parler et tu peux pas t'empêcher de sourire. T'aurais envie de lui dire que le rendre fou, tu ne l'imaginais que dans tes rêves les plus dingues et que maintenant que tu l'as, peut importe ce qui t'arrive, tu ne pourras pas t'empêcher d'être heureux. Tu passes une des tes mains sous son haut, pour toucher sa peau et l'autre caresse ses cheveux. Toi, ça fais déjà un moment qu'il t'a rendu fou. Fou de lui, de sa personnalité, de son rire, de ses yeux, de son corps, de ses gestes et t'en passes des meilleures, t'es fou de lui point.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Ven 24 Oct - 6:43
]
Ça fait si mal de se sentir vivant.
Ce fameux lendemain ne te sort plus de la tête mais, comme un con tu le chasse des qu'il reviens hanté ton esprit, tu ne veux plus réfléchir, pensé, juste te laisser allez, dans ses bras et ses baisers, tu veux juste oublier et avancer, meme si c'est douloureux, meme si sa veux dire perdre tout tes repères. Tu l'entend gémir et ton sourire s'élargie, c'est con a dire, tellement con mais, tu aimes bien le voir comme ça, crever aussi un peu de honte, tu meurt d''envie de te foutre de lui demain , la provocation c'est ce que tu fais le mieux au monde, c'est ce qui t'fais aussi rire aux éclats et puis avec lui tu ne le fais jamais méchamment, c'est devenu un jeu un peu étrange entre vous deux auquel tu est devenu bien plus accro que tu ne l'aurai penser. Tu ne veux plus le lâcher. Plus jamais. méchant hors de question que tu le soit une nouvelle fois, moqueur, un peu con d'accord mais, tu ne supporte pas d’être la cause de ses larmes a nouveau.
Les idées complètement embrouiller, tu te perd dans ton esprit, dans son regard qui ne te fui meme pas une seule seconde. bordel qu'est ce que tu l'aime. Sa fais autant de bien que de mal de te le dire, que oui t'es fou amoureux de ce mec. pas simplement parce que c'est un homme, pas simplement parce que c'est Nils mais, parce qu'au fond de toi t'as la sensation de l'avoir toujours étais. Tes coups de reins, lent, réfléchis, tu te sens en lui, beaucoup trop a ton gout, parce que sa tu t'le prend en pleine gueule ce fait que t'as encore du mal a voir. T'es entrain de coucher avec lui, c'est dans un mec que t'as fourrer ta queue Jonas, et t'adore ça, t'as jamais autant aimé ça qu'avec lui. Tu souris un peu honteux de ne meme pas pouvoir etre romantique dans tes pensées plus de deux secondes. Et puis tu viens l'embrasse une nouvelle fois, donnant en meme temps un coup un peu plus accentué que les autres et meme si tu te contiens depuis tout a l'heure, tu te laisse allez.
tu craques, tu pousse un léger gémissement, un peu plus fort que le siens. "Merde!" Tu lâche ça juste après en retenant ton rire cette fois ci. mais, oui après tout, merde parce que c'est top bon pour résister, pour fermer sa gueule et faire semblant que tout ça se résume a de simple baiser , a un coller serrer un poil trop accentué, oui t'es entrain de faire l'amour a Nils ici, et t'aimes ça a en crever. Tu voudrais arrêter de te contenir mais, la pire c'est que la frustration ne fais que finir de t'exciter. Ta main viens doucement se glisser sur ses fesses, remontant son pantalon, juste assez pour que personne ne se doute de rien, pour que vous ne vous retrouviez pas comme des cons le cul l'air parce que vous aurai oublier que votre ceinture est défaite. Tu pense a ça et tu viens rire dans son cou en tentant malgré tout de rester discret un minimum.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Sam 25 Oct - 14:24
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Ton état actuel, te donne très envie de rire. Tu trouves ça assez marrant, d'être conscient que demain, sera sûrement l'une des pire journée de ta vie, pour un tas de raison et d'en avoir totalement rien à foutre à ce moment précis. De savoir que l'alcool qui se trouve dans ton sang parviens à t'enlever toute la trouille que tu peux ressentir face à demain, tes peurs, ta gêne aussi, mais qu'une fois que tu seras redevenu sobre. Tu vas te sentir vraiment honteux, t'es conscients que le regarder dans les yeux après tout ce que tu lui as dis et tout ce que tu as fais, va te demander un effort surhumain. Tu sais aussi qu'il en profitera pour se foutre de ta poire, tu le sais, c'est votre jeu. Un jeu dangereux, mais du quel vous ne pouvez pas vous passez. La seule règle que vous vous êtes imposée et de ne jamais blesser l'autre. Et vous y jouez constamment. Et tu dois bien l'avouer, t'aime le taquiner, autant que tu aimes qu'il le fasse avec toi. T'aimes la manière dont il se fait pardonner quand tu lui fais croire qu'il a été trop loin et rentrer dans son jeu quand il te fait croire que tu l'as vexé. T'aimes ce qui fait votre relation. Cette relation, elle est unique pour vous, tu n'as de lien si fort avec personnes d'autres et tu sais que c'est pareil pour lui. T'aimes le fait que vous soyez si différents et tellement complémentaire.
T'aimes aussi que se ne soit pas juste une chose entre vous. C'est tellement de chose. Il est ton meilleur ami, la personne a qui tu te confis, celle qui te rassures, ton petit-ami, ça te fais toujours aussi drôle, mais tu te dis que t'as le droit de le dire maintenant, la personne qui te fais le plus rire au monde et celle capable de te bousiller en deux secondes. En réalité, la seule chose qui pourrait clairement définir ce qu'il est pour toi, c'est la personne la plus importante de ta vie. La seule personne sans qui tu ne te vois pas vivre.
La personne qu'est en train de te faire l'amour dans un bar, d'une façon encore différente des fois précédente. Celle qui te fais gentiment perdre la tête, alors que tu coules gentiment dans un océan de plaisir. C'est beaucoup trop pour toi de le sentir ainsi en toi, de vraiment sentir chacun de ses vas et viens, de pouvoir sentir brûler chaque parties de ton corps en contact avec la sienne. T'es a bout de souffle et t'es obligé de quitter à regrets ses lèvres pour pouvoir essayer de trouver un peu d'air. Mais tu ne le fais jamais bien longtemps, parce que t'es accrocs à elles et surtout, t'as besoin qu'elles te fassent fermer ta gueule que t'as de plus en plus de mal à ne pas ouvrir. C'est tellement bon, tu aimes tellement ça, que c'est un supplice pour toi de ne pas la gueuler, de devoir garder tout pour toi.
Un coup de rein un peu plus fort que les autres, auquel tu ne t'attendais pas et tu te cambres comme un malade en fermant les yeux et en te mordant la lèvre jusqu'au sang pour éviter de gueuler ton plaisir. Tu te fais mal, mais tu t'en fiches, il te faut au moins ça là. Tu l'entends jurer et tu ris un peu, parce qu'il a clairement exprimé le fond de ta pensée. Et tu sens sa main glisser sur tes fesses et remonter un peu ton jean et là tu ris avec lui. Parce que tu tiens la ceinture du sien depuis tout à l'heure pour l'empêcher de glisser, mais tout ce que t'as pu faire pour toi, c'est d'espérer que tes jambes écartées le maintienne en place. C'est un peu pathétique comme situation, vous êtes de grands malades tous les deux. A rire, alors que vous êtes en train de vous envoyer en l'air en plein milieu d'un bar. Mais tu peux pas dire le contraire, t'aimes bien trop ça.
"Et moi qui pensais que celui qui aurait le plus de mal à se retenir se serait moi..."
Tu continus de rire, tu le provoques encore une fois. Mais ça t'amuses. Tu hallucines d'arriver à sortir ta phrase, mais ta voix se coupe à la fin à cause d'un nouveau coup de reins.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Sam 25 Oct - 15:18
Ça fait si mal de se sentir vivant.
C'étais il y a si peu et tellement longtemps en meme temps. ta mère qui te tend ses tracs, le sourire aux lèvres, fière d’être aussi vide qu'un cadavre, vide de toute émotions, de tout sentiments, a t'elle seulement une âme cette femme, voila ce que tu t'es demandé il y a deux jours face a elle. "Chérie, tu veux bien apporter ses papiers aux voisins ? Un couple gay compte s'installer dans le quartier et je me doit de remédier a ça ... tu te rend compte ... ces ... choses ... en face de chez nous ..." Normalement t'aurai juste fermer ta gueule, obéis en soupirant, t'en a rien a foutre des futurs voisins, t'en a rien a foutre de tout. " Tu peux te les garder tes prospectus de merde !" Et ta tout envoyez voler. Presque symboliquement, t'as jeter ses foutus bout de papier par terre, le regard fuyant et ravagé par la colère. Elle ta regarder choqué, comme si l'enfant qu'elle avais en face d'elle n'étais pas le siens. Putain maman si seulement tu savais, si seulement tu savais que ton fils, ton vrai fils n'a rien a voir avec celui que tu croise depuis toujours, que tu croise sans jamais poser un réel regard sur lui.
Elle s'aveugle ta mère. Elle n'a pas imaginer que si tu a fais ça c'est parce que sa te fais un mal de chien, sa te blesse, te touche, te fou en vrac, tout en l'air, absolument tout parce que tu te le prend un peu plus chaque jour cette foutu vérité. Oui tu va perdre ta mère, tu va perdre ton père, le reste de ta famille, peut etre meme tout ceux qui prétende etre tes potes. Tu te souviens juste d'un : " dans ta chambre !" le doigt pointé vers le deuxième étage. ta rage tu la garder. Et t'as chialer comme un con, en serrant cette conne de peluche que tout le monde croit disparu. Tu voudrais redescendre, affronter tes peurs et des démons, lui dire merde, lui dire la vérité, que tu la déteste et que la seule personne que tu aime, que tu aime vraiment c'est Nils. La force t'as manqué. Alors tu la puise aujourd'hui, en toi, en lui, et puis surtout en vous. Ce VOUS qui balaye tout sur son passage, ce VOUS est une tempête, un ouragan, la fin du monde, la fin de votre monde, un néant, plus un bruit, le chaos s'installe doucement autours de vous et tu ne veux pas le voir.
une lampe qui grésille au dessus de vos tête, la situation est sur réaliste, hors du temps, plonger dans un rêve éveiller vous tenter d'oublier, de ne plus pensé. cassons les règles, les chaines que nous n'avons jamais voulu affronter. La sueur de vos corps , l'odeur de celle des autres, la fumée de dizaines de clopes qui tournoie, danse , vous envoûte, vous nargue aussi peut etre. Et puis la musique. Tu l'avais oublier. Elle change. Elle donne envie de se laisser bercé, de s'oublier soi meme et non le futur. Un frisson, passant dans le creux de tes reins , envahissant ton esprit, ces frissons ils montent, te grille le cerveau et te laisse la, seulement guidé par un sentiment que tu ne connais et que tu ne veux , connement , pas connaitre. peur, angoisse, non , rien a voir. Pourtant sa n'inspire aucun sourire, juste une tristesse infini auquel tu t’accroche, parce que malgré tout dedans, tu y est a l'abris, pas de larmes, pas de cris, pas de rires, juste l'infini qui te tend les bras, l'inconnu qui te dis de venir vers lui. Se sentir en lui. le découvrir, explorer son corps, ce dire qu'il est est a toi et puis pensé le contraire. ne pas vouloir l’enchaîner a toi, juste lui ouvrir les ailes, le poussé en avant pour qu'il s'envole, non qu'il s'écrase parce qu'il aura trop peur de te perdre de vue.
Enchaîné et brisé. Un fil invisible, attache a vos chevilles, avance et je ferai de meme mais, si jamais tu tombe je ferai tout pour reste droit et te tendre la main. Putain Jonas, juste putain. Boisson, alcool dans tes veines qui s'entrelace, s'enlace et se lasse. Oui, tu te lasse de toi meme, de ton cerveau qui ne veux plus dire stop, qui se tais et te laisse dans l'ombre. Un gémissement , une injure envers toi meme et le monde qui te donne l'impression de t'enfermer. Nils qui te répond, et toi qui fais de meme comme pour ne pas sombrer, plonger dans tes pensée embrouiller a tout jamais. "Ho ça va hein ... ! T'es pas franchement mieux que moi !" Un sourire et puis un coup de rein qui crie au monde de s'casser la gueule parce que tu le fais tellement violemment que sa se remarque immédiatement. provocation sur provocation, tes lèvres qui se colle au sienne et puis cette envie en faisans tout ça qu'il craque encore plus que toi mais, pas sur que tu y arrive. Tu lutte avec ton propre corps. Tu gémis et tu mord les lèvres. Un filet de sang coule lentement . Un goutte s'écrase sur ton T-shirt. Tu es taré Jonas. La folie fascine mais les fous inspire juste la peur. Et toi tu est bloquer entre ces deux émotions, deux sentiments si proche et loin a la fois. Deux ailes se dessine dans ton dos. L'une d'ange et l'autre a l'allure d'un diable. C'est comme ça que tu les voit tes fameuse aile et sa te fais rire autant que sa te terrifie.
FICHE PAR SWAN.
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La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas