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Sujet: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Dim 14 Sep - 11:07
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
La liberté enfin ! Ma punition pour avoir découché la nuit où j'ai retrouvé Jonas a enfin été levé et j'ai bien l'intention d'en profiter. Je suis pas un gros fêtard habituellement, mais ce soir, j'ai juste envie de me lâcher, d'arrêter totalement de penser, d'avoir peur de tout et de juste profiter. Boire, m'amuser, danser, faire le con, juste vivre. Parce que retrouver le droit de sortir, ça enlève le seul points noirs de ma vie actuelle. Ouais, je peux le dire, je suis juste heureux en ce moment et je n'ai même pas envie de penser à ce qui pourrait gâter mon petit bonheur, j'ai juste envie d'en profiter, de profiter de ce qu'on me donne et j'ai bien l'intention de le faire.
Je préviens mes parents que ce soir, je fais chez Jonas, pour réviser, parce que cette excuse à marcher et continu de marcher et pour qu'on se fasse une soirée film en mangeant du pop corn, comme quand on avait dix ans. Ma mère ne cherche même pas et me donne immédiatement son accord. Je sais de source sûr qu'elle ne vérifiera pas si j'y suis vraiment. Elle voit Jonas comme un saint, elle donne l'impression que le soleil émane de son cul et pense qu'il a une bonne influence sur moi, que c'est grâce à lui que je reste sur le bon chemin... Si elle savait, que le chemin je l'ai quitté il y a un moment, que c'est entièrement sa faute, mais que je l'ai bien voulu. Que quand je parle de révision, je pense juste que j'aimerai bien revoir le point où je me retrouve plaquer contre un mur à me faire prendre comme il se doit par lui. Non heureusement qu'elle ne sait pas tout ça, la vie est bien plus simple quand elle le voit comme un saint prêt à d'éployer ses ailes.
Bref, une fois l'accord donné par mes parents, je fonce dans ma chambre pour me préparer. J'attrape d'abord mon téléphone et j'envoie un message à Jonas : « J'ai enfin le droit de sortir de chez moi... J'ai bien l'intention d'en profiter ! Tu me rejoins au bar ? » Je lui envoie le message et je fonce sous la douche et ensuite m'habiller. Je prends soins de me faire aussi beau que je le peux, je m'en fou du regard des autres, mais le sien m'intéresse beaucoup et quand je dis que j'ai envie d'en profiter et de m'éclater ce soir, c'est surtout avec lui que j'en ai envie. Et rien que cette pensée me chauffe un peu.
Je ne prends même pas le temps de vérifier s'il m'a répondu, d'ailleurs il ne le fera pas forcément, sauf s'il ne peut pas sortir. J'attrape juste mes affaires, mon téléphone et ma carte bleu, une veste, un sac rempli de conneries qui va passer la nuit dans ma caisse, mais nécessaire pour faire croire à mon mensonge et je quitte ma chambre pour aller embrasser mes parents.
J'arrive au bar quelques minutes plus tard. C'est un endroit que j'aime bien, le comptoir est immense et il y a toujours de la place pour s'y installer et c'est aussi un endroit dans lequel on peut danser, ce qui ne m'arrive que lorsque je suis bien entamé et saoule, mais comme c'est dans mon intention ce soir, je me dis que je le ferais sûrement. Une fois dedans, je cherche Jonas des yeux, il n'est visiblement pas là. Je réalise que j'aurai peut être du vérifier et attendre qu'il me réponde avant d'y aller, mais maintenant que je suis là, autant rester. Je me dirige donc vers le comptoir, pour m'y installer en l'attendant, je grimpe sur un haut tabouret à côté d'un ami du lycée, l'un des seuls que je ne connais pas grâce à Jonas et entame la discussion avec lui en attendant que la seule personne qui m'intéresse vraiment ce soir, se décide à arriver.
en a marre. Marre d’être en cage. Une prison dorée mais, une prison quand meme, peu importe dans quel illusion on tente de te mettre t'as plus l'age pour y croire. Alors tu mens. Tu prend ton sac. Ton portable sonne. Nils.
"P'tain pourvue qu'ce con ne se soit pas fait rallonger sa punition ..."
Tu parle tout seul. Au pire tu peu toujours dit que t'es l'nouveau Jeanne D'arc, au masculin bien sur, avec les jurons en plus. Et qui au passage se drogue, s'envoie en l'air avec un mec, fume et bois jusqu'a finir ses soirée de manière un peu trop flou. Bon ok en fait c'est nulle comme comparaison. T'es juste Jonas. Un con comme un autre, avec une vie comme une autre mais, que t'assume pas vraiment, qui va surement te foutre dans la merde dans peu de temps, très peu de temps meme et rien qu'cette idée t'glace le sang. Tu penses a ça. Tu soupir. Tu prend ton tel. Il sort ce soir, et franchement tu meurt d'envies de faire pareil. Tu ne te fais pas prier, tu prend ton sac. Cherche quelques truc a foutre dedans pas franchement des plus catholique d'ailleurs. Tu dévale les escaliers ton cœur se serre, il te manque, beaucoup trop en fait. T'es comme mort, vide, détruit, lorsqu'il n'est pas la. T'es accro mais, ça tu ne peux tout simplement pas te l'avouer.
"Mère ! J'vais chez Nils ont doit réviser nos leçons, j'pense que j'resterai dormir chez lui !"
Pas crédible pour deux sous envers un parents normal. Ta génitrice elle, a de la merde dans les yeux, pour ton plus grand bonheur. Alors sa passe. Elle te dit juste de faire attention sur la route. Rien ne change vraiment. Alors que ton monde est entrain de s’écrouler, t'en a juste pas forcement conscience. Tu claques la portes. Ta mère soupire mais, ça tu ne l'entend pas, tu est déjà loin. Un taxi. Quelques minutes. Un bars. Deux billets qui passe de main en main et tu te retrouve dehors, dans cette nuit déjà glacé. La musique te pète les tympans quand tu entre. Elle envoie. C'est presque simplement du bruit, du son u pire. Le brouhaha général t’empêche de vraiment bien écouter et puis t'as autre chose en tête a l'heure qu'il est. Et la tu le voit. Ton cœur s’arrête une fraction de seconde. Tu fais comme si tu n'avais pas ressentis ça a l'instant, alors tu t’avances juste, il est de dos. Tu lui donne une légère claque sur le cul, réflexe a la con. Tres con meme mais, sa t'amuse. Tu ne lui laisse pas l'temps de se retourner que tu agrippe sa taille, glissant tes main sur son ventre, posant ensuite ta tête sur son épaule.
"p'tain t'es toujours aussi bien foutu toi ! Sinon ça va bébé ?"
ta voix est douce, un peu trop peu etre pour les mots que tu sort.Tu le lâche et va face a lui, t'ose pas vraiment affronter le fait que tu tiens un peu trop a lui, tu lui montre, tu te dis que t'arrivera jamais a lui confier ça. Tu y tiens a ce mec, plus qu'a n'importe qui. Mais, tu ne peux pas tomber amoureux. Tu ne peux pas. C'est simplement illogique, tu ne l'as jamais étais, tu ne le sera jamais. Tes pensé te brise le cœur. Tu fais comme si de rien n'étais. Tu pose tes mains sur sa taille et tu le trouve beau a en crever.
Nils Galbraith
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Dim 14 Sep - 16:07
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Je reste un bon moment à attendre. En y réfléchissant sérieusement, maintenant que j'y suis, j'aurais peut-être mieux fais de l'appeler, ou d'attendre qu'il me réponde au message que je lui ai envoyé tout simplement. Heureusement, je ne suis pas seul, un ami de ma classe, avec qui je suis au lycée et avec lequel je m'entends plutôt bien est là. Je l'écoute, me parler de ses vacances, me forçant à m'y intéresser le plus possible. Je lui raconte les miennes dans les grandes lignes, sans vraiment prendre le temps de m'attarder sur les détails. Je l'écoute, mais je suis bien trop distrait, je sors mon téléphone pour voir si Jonas m'a répondu, mais ce crétin ne l'a pas fais. Comme toujours... Je soupire légèrement, en souriant à mon ami pour qu'il ne s'aperçoit pas de mon désarroi. Je me persuade que si Jonas ne m'a pas répondu, c'est simplement parce qu'il n'en voyait pas l'intérêt. Il va sûrement arriver. Il m'aurait répondu s'il avait eu quelques choses à faire. Du moins j'ai l'espoir.
Pour patienter, je décide de me commander un verre. Je me penche sur le bar et gueule après le barman pour me faire entendre et lui commande la première chose qui me passe par la tête, un whisky coca, alors que j'ai du mal avec cet alcool que je trouve infecte et qui me fait rapidement perdre la tête. Une fois le verre en main pourtant, j'en bois immédiatement une gorgée en reportant mon attention sur mon ami à qui je souris. Je continu de parler avec lui, de tout, surtout de rien, je ris par moment, mais je garde toujours en tête Jonas, en espérant qu'il finisse par arriver tôt ou tard. Après tout, si j'ai voulu sortir, c'est surtout pour le voir, profiter oui, mais surtout avec lui.
Le temps passe, je suis bien, la soirée et sympa, mais il manque quelques choses. Jonas. C'est con, mais même avant que notre relation n'évolue, j'avais juste besoin de lui pour m'éclater, pour rire vraiment. Je m'apprête à prendre une énième fois mon portable et à lui envoyer un second message pour lui demander s'il est libre ou non. Lorsque je sens une main me claquer les fesses. Même légèrement, je sursaute, me tends et m'apprête à me retourner pour râler, mais deux bras entour ma taille et je n'ai même pas besoin qu'il ouvre la bouche pour savoir que c'est lui. Ce type qui me rend complètement fou, juste à l'odeur qu'il dégage, je le reconnais et je souris comme un con. Pas un faux sourire, un sourire de circonstance pour faire bien en société, non un vrai, parce que je suis juste heureux de savoir qu'il est là, de le sentir comme ça contre moi. Il me parle et je souris un peu plus encore, plutôt fière de l'effet que je peux lui faire et je ne m'en cache pas.
Il vient enfin en face de moi, pose ses mains sur ma taille et je passe les miennes dans sa nuque pour l'attirer un peu plus vers moi, entre mes jambes que j'ai écarté pour pouvoir l'avoir encore un peu plus prés de moi, ça m'a manqué de ne pas pouvoir le sentir comme ça.
"ça va, très bien même et toi ?"
Je le continu de lui sourire et le reluque assez peut discrètement je dois bien l'avouer. A mes yeux, bien foutu est un mot assez faible pour lui, il est à tomber, sans donner l'impression d'y avoir passé des heures. Je rapproche mon visage du siens, pour qu'ils ne se trouvent qu'à quelques centimètres à peines l'un de l'autre et j'ajoute.
"T'es plutôt pas mal non plus dans ton genre... Même plus que pas mal !"
Je le regarde dans les yeux, plonge mon regard dans le siens et merde, rien que ça pourrait me rendre fou. J'ai complètement oublié l'endroit où on était, le fait que j'étais, il y a encore quelques secondes à peine, en pleine discussion avec un ami, d'ailleurs lui aussi je l'ai oublié, je n'ai plus d'yeux que pour Jonas. Je me jette un rapide coup d'oeil à mon verre et rajoute.
"Je t'ai pas attendu, désolé ! Tu veux quelques choses à boire ?"
eureux comme jamais. Toujours aussi con. Tu ne vois pas tout de suite l'homme coté de vous qui n'est autre qu'un bon pote Nils. Enfin si tes souvenirs sont bons. Comme quoi lorsqu’il s'agis de lui t'as plutôt une bonne mémoire. Tu ne lui lance pas pour autant un regard, t'attend un peu pour ça, juste un peu, l'temps de savourer tes retrouvaille avec .. avec ton mec.
"Nickel bébé ! Même si ma mère m'fait vraiment chiez, elle c'est mit en tête de fonder une association pour ... soigner les pédés ! genre c'est une maladie, non mais qu'elle conne j'te jure, j'crois que son inconscient se doute de quelque chose n’empêche ! heureusement qu'elle a de la merde dans les yeux !"
Tu te blottis un peu plus contre lui meme si tu est encore bien loin de l'prendre par exemple dans tes bras. L’histoire avec ta mère au final sa te fait juste marrer. Elle baisse un peu plus dans ton estime le seul problème c'est que les discours anti-gay tu va y avoir droit des que tu la croisera et franchement t'es pas d'humeur pur ça en ce moment. T'en peux plus du cerveau étriquer de tes parents, de leurs conneries devenu carrément maladive. Tu souris face a ce qu’il te dis, tu l'trouve juste adorable,il est a tomber ce mec mais, hors de question que tu parte dans des phrases infini pour lui dire ça, la niaiserie c'est pas ton truc. Même si sa t'arrives de l’être de temps en temps quand il est la.
"Oui , j'vais m'prendre un verre de Jack's pour bien commencer la soirée j'crois !"
Tu ne commence pas doucement effectivement mais, t'aimes bien ça, te sentir tout de suite un peu coté de tes pompes, voir déjà un peu flou et ne plus vraiment savoir ce que tu fais. Et puis au final, t'as pas envies de te prendre la tête face a Nils et ça, çà peux franchement t'y aider. Tu te tourne alors vers l'mec a coté de vous et lui sort ton plus beau sourire. tu lève l'bras au passage pour appeler l'barman qui note ta commande. Tu ne le connais pas vraiment son fameux pote a Nils. Mais, tu t'en fou, c'est pas ça qui va t’arrêter et encore une fois t'as bien envies que tout l'monde soit au courant pour vous, d'voir sa réaction.
"ben alors mon cœur, t'fait pas les présentation ? "
Tu plonges ton regard dans celui de Nils avant de regarder a nouveau l'inconnu. Enfin un inconnu pour toi. La musique continue de te péter les tympans et t’espère que la prochaine sera plus calme. te te tourne pour faire face au pote a Nils. Tu ne le lâche pas pour autant , ta main se pose sur sa taille, et sans que tu ne t'en rend vraiment compte tu blottis ta tête sur son épaule en souriants comme un con. Si seulement ta famille étais plus ouverte, que tu pouvais vraiment vivre ça au grand jour sans te poser toutes ses questions, tu serais surement l'mec le plus heureux au monde.
Nils Galbraith
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Dim 14 Sep - 17:22
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Je profite juste de lui, de sa présence, de l'avoir avec moi. J'ai juste envie de ça ce soir, de m'éclater, de ne plus penser à rien de juste vivre, passer un bon moment, avec lui en particulier. Je continu de sourire, mais celui-ci se perd un peu quand je l'entends parler de la nouvelle lubie de sa mère. Je peux pas m'empêcher de lui en vouloir, je l'aime bien, mais j'aime pas me dire qu'elle peut juste lui foutre la trouille à lui. Et puis je m'en veux un peu aussi, parce que je ne vais faire que lui attirer des problèmes. Les mots quittent ma bouche avant même que je n'ai pu les réfléchir.
"Chouette... Et elle compte débloquer des fonds pour développer un médicament qui soignerait ça ou c'est plus un truc du genre lavage de cerveaux... ?"
Je lève les yeux au ciel, mais je me rends bien vite compte de ma connerie. Je me suis un peu trop emporté, parce que j'avoue que ça m'énerve juste de savoir que se sont mes parents et les siens les plus cons dans l'histoire, pas les autres. Mais j'oublis sur le coup que c'est quand même de sa mère dont je parle.
"Excuse moi c'est sorti tout seul..."
Je lui souris timidement, le regardant un peu avec un air de chien battu, espérant qu'il ne prenne pas trop mal ce que je viens de dire et je me serre juste un peu plus contre lui. J'ai pas vraiment besoin de plus quand il est là, assit sur mon tabouret, avec lui prés de moi, je me dis que c'est le genre de soirée dont je pourrais totalement profiter. Il se commande un verre, question alcool, on peut pas faire plus fort, mais il tient mieux l'alcool que moi. Non, il tient pas spécialement bien l'alcool, c'est pas vrai, disons juste qu'il a plus l'habitude que moi. Je continu de lui sourire et de le regarder en attrapant le mien de verre. J'ai arrêter de faire une grimace à chaque fois que j'en prenais une gorgée pour finir par m'habituer au goût.
Jonas finis par me ramener à la réalité, je me souviens enfin qu'à la base, je n'étais pas seul, que je parlais avec un ami avant qu'il arrive, ami que j'avais totalement oublié et je me retourne vers lui, lui adressant un sourire légèrement désolé. ça ne m'étonne pas vraiment que Jonas ne le connaisse pas, il est pas vraiment comme les mecs avec qui ils traînent habituellement, moi-même je le suis pas vraiment. Alors qu'il ne connaisse pas mon ami, ne m'étonne pas vraiment. Je reviens un peu sur terre et je reprends mes esprits pour faire les présentations, comme il me le demande :
"Quoi ? Oh oui désolé... Jonas c'est Charly et Charly c'est Jonas ! On est dans la même classe au bahut !"
Je dis en me m'adressant une nouvelle fois à Jonas, parce que je suis persuadé que Charly à reconnu Jonas, donc j'ai pas besoin de lui préciser qu'il est lui aussi au lycée. Et puis je me rends compte, que j'ai encore faillit me faire avoir, qu'il demande pas que je fasse les présentations juste pour avoir son prénom. Je suis sûr qu'il s'en fout bien d'ailleurs de tout ça. Non ce qu'il veut c'est juste savoir comment je vais LE présenter et si c'est que ça, je vais pas lui laisser la joie de me défiler, je vais le faire et puis je suis à peu près sûr que Charly s'en fout bien de savoir que je me tape Jo' ou pas.
" On a presque tous nos cours ensemble !" Je dis continu en me tournant vers Jonas à qui je souris, puis je me retourne vers Charly est je poursuis. " Et Jonas c'est mon..." meilleur ami/petit ami/tortionnaire ... "On est ensemble."
Je lâche ça comme ça, un peu trop vite peut être, mais je le dis clairement quand même et j'attends même pas de voir la réaction de mon ami, je me tourne plus vers Jonas pour voir la sienne. Je lui souris et bois une nouvelle gorgée de mon verre.
eul au monde sans vraiment l’être. Tu l'écoutes, et s'en vraiment t'en cacher, le mate avec une certaine insistance. C'est bizarre de te dire ça mais, t'es fier de sortir avec lui, de te montrer comme ça, d'affronter le regard des gens. de lui donner au final ce qu'il a toujours voulu meme dit t'es pas vraiment doué par moment, meme si tu t'paume dans tes propres mots, que t'as peur de centaines de trucs, t'aimes te dire que t'es avec lui et que sa peu vraiment vous mener quelques part. le seul problème qui te concerne toi, juste toi dans tout ça, c'est que t'arrives toujours pas a te dire que tu peux tenir a lui ainsi. Ton cerveau se bloque, t'es con, comme souvent en fait. Tu le regardes s'embrouiller, etre un peu violent dans ses mots, enfin c'est pas vraiment ça, tu sais juste que sa l'fait chiez que ta mère soit comme ça et toi t'es pas en reste. D'ailleurs t'as dis bien pire, alors tu pose un rapide baiser sur sa joue en continuant de sourire comme un gamin.
"t'en fais pas, elle est conne, elle l'as toujours étais et sa ne changera pas , alors t'excuse surtout pas d'dire ça .. et perso j'pense plus a un lavage de cerveau , t'sais bien qu'elle est la science sa fait deux ... enfin bon j'sens que j'vais devoir encore trouver des excuses a la con pour pas subir ses discours a la con .... sa m'fait chiez de ne meme pas pouvoir ouvrir ma gueule quand elle sort ça .. bordel elles sont bien conne nos familles quand meme !"
Tu souris. il vaux mieux en rire qu'en pleurer au final. la musique prend fin. une fille au bars en réclame une en particulière , tu la remarque tout d'suite, elle est belle a en crever et sans que tu ne t'en rende vraiment compte ton regard se pose ou il ne falais pas, son cul, son putain ce cul ! Tu détourne le regard, te rendant compte de ta connerie. Tu souris, passe ta main sur ta nuque, pas vraiment gêné, sachant juste que t'as merder.
"je ... avoue elle est bonne !"
tu l'embrasse et éclates de rire. Parce qu'au final tu ne changera pas, tu restera le p'tit con provocateur qu'il connais. Et puis ce n'est pas bien grave, tu préfère arriver a rire de ça avec lui plutôt que de te pourrir la soirée. Tu ne l'as pas tromper et tu ne comptes pas l'faire. meme si t'as du mal a t'y faire en fait, il te suffis, t'as toujours envies de lui et meme si ton regard se pose souvent ailleurs sa ne va jamais plus loin. Et ça tu fera tout pour que sa ne change pas, tu ne veux pas courir le risque de le perdre. Tu décèle un sourire dans le visage de ce fameux Charly. D'ailleurs tu l'avais presque oublier lui encore une fois.
"Ho c'est cool ! Enchanté de te connaitre alors Charly ! "
La musique démarre. Sa t'fais rire. parce que l'univers du bars change d'un coup, ce n'es pas ce que t'aimes écouter mais, la sa passe plutôt bien. Tu fredonne le refrain comme un con, te collant un peu plus contre Nils. d'ailleurs quand il lâche que vous êtes ensemble tu l'embrasse a nouveau- enfin sur les lèvres -, sans rien rajouter en premier lieu. Parce qu'il la enfin lâcher, sans vraiment hésiter. Et puis son pote n'as pas l'air de prendre ça comme un truc, se qui le surprend en fait doit plus etre le fait que se soit sérieux. Ta réputation de briseur de cœur te suis partout. Et pour l'coup c'est ça que tu compte briser parce que Nils, t'es pas prêt de le lâcher comme ça.
"p'tain bébé, viens on va danser parce que la j'suis rester quatre jours enfermer dans ma chambre et que j'ai plus que besoin de bouger ... !"
Tu prend sa main, pose ton verre que t'as déjà bien entamer et l'obliges a te suivre. Tu laisse son pote en plan mais, tu ne te sens pas vraiment coupable vue qu'il a l'air de connaitre d'autres personnes que Nils ici. cette musique n'est pas sensuel pour deux sous mais, elle a l'avantage de te donner envies de bouger, alors tu ne te fais pas prier. Tu serre sa main, tu t'aurais presque oublier que tu savais plutôt bien danser en fait. Sa sert quand meme d'avoir sécher les cours de danse classique pour filer en face dans ceux de rock acrobatique. Parce que bon, meme gamin t'aimer pas suivre les règles qu'on t'imposer et les slim troué c'est quand meme plus classe qu'un tutu. tu te colle contre lui, avant de le lâcher d'un coup. Tu t'amuses. t'oublies et t'emmerdes ton monde. Parce que la , tout de suite, ta vie est belle comme elle ne l'as jamais étais.
Nils Galbraith
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Dim 14 Sep - 18:47
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
ça me perturbe la façon dont il peut me regarder par moment. ça me gêne pas, c'est pas ça, au contraire, il a tendance à se perdre et à me regarder comme s'il voulait me bouffer et moi je suis sûr que j'aurai aucun mal à le laisser faire quand il est comme ça. Là il continu juste de sourire, de me regarder de ce regard qui veut dire qu'il m'a déjà vu à poil et c'est assez perturbant, surtout vu la conversation et le monde qui nous entoure, parce que ça m'aide pas vraiment à réfléchir normalement et je pense juste à la prochaine fois où j'aurai l'occasion d'être à poil devant lui... Mais je chasse vite cette pensée de mon esprit, me reconnectant plus à la soirée et au reste. Je souris et je hoche juste la tête en l'écoutant parler de sa mère, mais surtout de nos familles, parce qu'il a malheureusement entièrement raison.
"C'est un peu surfait non ? Le lavage de cerveau... On y a un peu le droit depuis qu'on est gosse et j'ai comme l'impression qu'ils se sont plantés à un moment où à un autre..."
Je souris. Je plaisante évidemment, quoi que pas totalement. On a eut le droit au même discourt depuis qu'on est en âge de comprendre. Et dans mon cas en tous cas, il y a vraiment du y avoir un problème à un moment où à un autre, parce que ça à très largement foiré. Le problème en question, c'est tout simplement le type qui se trouve être Jonas, qui est venu tout foutre en l'air, tout dérégler, faire planter total le lavage de cerveau et m'empêcher de penser comme mes parents l'auraient voulu. Je l'entends parler et je regarde juste dans la direction où était posés ses yeux quelques secondes avant. A vrai dire, il me l'aurait même pas dis, j'aurai même pas fais gaffe. Là je lève juste les yeux au ciel légèrement exaspéré, mais pas vraiment agacé.
"C'est pas vraiment mon genre !"
Je réponds naturellement en haussant les épaules et en souriant lorsqu'il vient m'embrasser. Je voudrais bien faire semblant d'être énervé, mais c'est pas vraiment le cas. C'est Jonas et j'ai assez confiance en lui pour le moment, pour pas péter un câble à chaque fois qu'il pose ses yeux ailleurs et puis ça m'arrive à moi aussi. Je ne peux pas le nier, par moment sans que je m'en rende vraiment compte, mais ça arrive. Bref, j'ai pas vraiment à m'en faire pour le moment et j'ai pas l'intention de le faire, parce que de toute façon Jonas reporte bien vite son attention sur autre chose. Sur Charly en l’occurrence, enfin l'espace de quelques secondes. Et pour Charly, j'avais raison, il donne l'impression de n'en avoir rien à faire. J'étais à peu près sûr de ça, parce qu'on en avait déjà parlé et qu'il m'avait confié qu'il se foutait bien d'avec qui ses amis pouvaient bien s'envoyer en l'air, du moment qu'ils prenaient leurs pieds. Alors je suis heureux de voir que je me suis pas trompé et je le suis encore un peu plus lorsque Jonas m'embrasse enfin, vraiment. ça donne un peu l'impression que c'est comme une récompense, parce que j'ai dis ce qu'il voulait s'en merder, mais je m'en fiche, du moment qu'il le fait. Et puis la musique change et je l'entends me dire qu'il veut aller danser :
"Quoi ? Je suis pas encore assez saoule, même pas en rê..."
Mais c'est pas comme s'il me demandait mon avis alors, parce qu'il m'attrape par la main et qu'il m'entraîne déjà avec lui. Alors j'ai juste le temps d'attraper mon verre et de le finir le plus rapidement possible, de faire un signe à Charly pour lui dire que je m'excuse de le laisser comme ça, même si lui semble plus amuser qu'autre chose. Et puis je suis Jonas sur la piste de danse improvisée. Je ris, je suis pas vraiment un excellent danseur, je me débrouille assez pour pas avoir l'air complètement ridicule, je fais ce que je sais faire. Le seul truc c'est que je préfère le faire alcoolisé et que là c'est pas vraiment le cas. Mais je m'en fais pas vraiment, j'ai envie de m'amuser ce soir, alors je laisse juste Jonas faire ce qu'il veut, je le suis sans protester et je me laisse entraîner par la musique, avec juste en tête de profiter.
Out ça t'amuses. Simplement. vraiment. Tes baisers, tes fou rires, lui, la situation, lorsqu'il danse avec toi, tout t'amuses et te donne le sourire. t'aimerais que sa ne prenne jamais fin. Que cette nuit sois éternelle. C'est impossible alors tu te dit que tu va tout faire pour que lui comme toi ne l'oublies jamais cette fameuse soirée. Pour l'instant seul la musique te guide, tu n'as meme pas un regard pur Charly, t'es a Nils ce soir, seulement a lui et lui n'est qu'a toi. T'es égoïste mais, ça il le sais déjà.
"Plus que surfait meme mon cœur, si quelqu'un la bien subis sur cette terre c'est nous et franchement ... c'est plus que foireux ! A moins qu'en fait sa soit l'inverse, que sa marche a mort mais, pas dans l'sens qu'ils le voudrais ! D'ailleurs, crois pas que tu ne va pas y passer ce soir mon cœur, j'ai la bite en feu avec toute ses connerie de fidélité moi !"
Tout en finesse , la poésie sa te connais. meme si tu ne gueule pas non plus ça dans l'bars, tu fait en sorte qu'il soit le seul a entendre tes paroles. Tu te colle un peu plus contre lui, tu le guide lorsque tu danse sachant très bien que ce n'est pas son fort.
"Et si, elle est super bonne j'te dit, bon ok pas autant que toi mais, quand meme !"
Tu le provoques. Tu joues avec lui et tu t'marres une fois de plus. Tu ne veux pas le vexé, d'ailleurs sa se voit. parce que oui, a tes yeux, personne ne peux etre plus attirant que lui désormais, personne ne peux te rendre aussi fou que ce mec. Il te ferais faire n'importe qu'elle connerie, d'ailleurs il t'as déjà pousser a faire celle de totalement assumer se que tu fais avec lui. Il ne te las pas demander mais, t'aurai pu faire ça pour aucun autre. C'est lui. C'est Nils, qui te rend taré, juste dingue, qui t'glace le sang pour mieux le sentir bouillir, qui fait s’arrêter ton cœur autant que l’accélérer d'un coup, et toujours sans vraiment prévenir. C'est le seul qui te fait cet effet la et t'as envie que sa ne change pour rien au monde.
"bébé, faut que j’tavoue un truc .. tu danse pas mieux quand t'es bourré, t'as juste pas conscience de danser comme une merde, nuance ! "
Tu te fou de lui mais, sa reste mignon, gentil, la manière dont tu le fais. Tu t'empares de ses lèvres une nouvelle fois, vraiment, autrement que d'un simple effleurement et tu te rend comte que sa t'avais manqué bien plus que tu ne l’aurai cru. Tu le quitte. Juste un instant pour allez au bar, tu prend un autre verre, meme boisson, meme effet destructeur. tu bois, tu tu reviens vers lui ton gobelet a la main, tu l’entraînes, danses encore avec lui, juste un peu. Et puis tu poses tes lèvres dans son cou.
"J'te dirais bien que j'suis un mec patient et ce genre de connerie mais, tu m'connais, j'sais pas attendre ... sa te dit de rattraper un peu l'temps perdus dans les toilettes des mecs ? ou des filles hein c'est comme tu veux ! "
Tu n'y va pas de main morte, passants carrément l'une de tes jambes entre les sienne lorsque tu danse, te frottant a lui, t'as chaud, et la tout de suite tu n'as qu'une envie et c'est d'enlever ses foutus fringues. Tu meurt d'envie de lui faire l'amour , au pire tu reviendra la tout a l'heure, la soirée ne fait que commencer. sauf que la. Tout de suite. C'est lui que tu veux, juste lui. Son corps, ses lèvres, sa peau, tu le veux rien que pour toi.
Nils Galbraith
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Lun 15 Sep - 8:05
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
C'est dingue de se sentir aussi bien avec quelqu'un et surtout de n'être aussi bien qu'avec cette personne. Avec Jonas j'arrive à tout oublier, j'ai envie de tout faire. Je suis juste bien avec lui, à rire, à danser, à se moquer de nos parents. Rien à changer entre nous, on est toujours deux idiots qui avons seulement envie de s' éclater, sans se prendre la tête. Tout à changé sans vraiment changé, c'est rassurant et à mes yeux, assez parfait. Je ne sais pas combien de temps tout cela durera, mais je ne suis pas près d'arrêter d'en profiter tant que j'ai tout ça.
"Il faudrait leurs dire, que ça foire légèrement leur truc... je dis en riant avant de le regarder avec de grands yeux. "En faite Je te mentirais si je te disais que j'avais pas un peu prévu d'y passer ce soir bébé...
Je le regarde avec un grand sourire, passant outre le fait que ça manque très largement de classe, parce que c'est Jonas et peu importe la manière dont il peut me le dire, ça revient au même et j' en ai tout autant envie que lui de tout ça. C'était même un peu l'une de mes motivations principal pour sortir ce soir. Et je n'ai même pas honte de me dire ça, enfin il suffit de le regarder pour juste avoir envie qu'il vous prenne.
"Encore heureux qu'elle ne l'est pas autant que moi ! Mais non définitivement, ce n'est pas mon genre. Hum le type là-bas le serait plus !"
Je dis en pointant du doigt un homme que j'ai à peine vu, seulement de dos et qui m'intéresse même pas. Mais il me cherche, je le cherche, c'est comme ça que ça marche entre nous. Alors je lorgne assez peu discrètement ce type avant de me retourner vers Jonas avec un grand sourire.
"Hey ! Je t'emmerde Jonas ! Au moins moi quand je suis saoule, je tiens encore debout !
J'essaie d'être vexé, de me montrer énervé lorsqu'il me dit ça, de le repousser quand il l'embrasse, mais mon sourire me trahis bien vite . Alors j'attrape juste sa nuque pour venir coller mes lèvres ayx siennes en riant et en l'insultant un peu.
Il quitte la piste pour retourner au bar, moi je continu de danser, de me déchaîner en attendant qu' il revienne. J'ai vraiment envie de me lâcher ce soir, de faire ce qu' il me passe par la tête sans réfléchir au reste. Juste vivre. Et je vois Jonas revenir vers moi, son verre à la main. Verre qye je m'empresse de lui prendre pourlui piquer une gorgée avant de lui rendre avec un grand sourire. Il pose ses lèvres dans cou, je frissonne. Il parle et j'ai resque du mal à retenir un gémissement lorsque je comprend ce qu'il me dit et surtout lorsque je le sens se frotter contre moi et l'exciter comme il le fait.
"Toi patient ? Je crois que je pourrais mourir de rire si on le disait ça... Mais je serais qui moi pour refuser une telle proposition ! Je ne vais pas te laisser dans cet état. "
Je le regarde avec un sourire provocateur, me mordant la lèvre et passant discrètement ma main sur son entre jambe pour le chauffer et me venger un peu de effet qu' il me fait je l'avoue. Et j'attrape sa main pour l'entraîner avec moi vers les toilettes, on ne peut pas dire que je sois très patient quand il s' agit de me faire prendre pas Jonas, triste de moi !
Est pas sur que sa soit normal de tenir a quelqu'un comme ça, peut etre qu'au final c'est maladif la manière dont tu a envie de lui, juste pas comme tes parents veulent bien l'croire, juste parce que t'es entrain de carrément devenir dépendant. Enfin non tu l'as toujours étais quand t'y pense, et sa , tu t'le prend en pleine gueule.
"Au moins on s'comprend a ce que j'voit Nils, bordel j'vais finir par plus pouvoir te voir sans avoir enfin de t'sauter j'crois !"
Tu éclate de rire parce que c'est connement vrai, des qu'il est la ton regard se pose ou il ne devrais pas. Même si c'est pas forcement pour te déplaire, a lui aussi d'ailleurs au final. Tu sort des mots pleins de poésie mais, sa tu t'en fou, il te connais, il que t'es pas franchement l'mec le plus romantique au monde meme si sa n’empêche pas que tu y tiens plus que tout a c'mec.
"Franchement, t'as pas vraiment bon gout j'trouve, regarde l'mec la bas, l'es vachement mieux, j'le prendrais bien dans les toilettes lui aussi, sérieux ta vue ce cul ! j'suis sur qu'il est pas bien foutu que la en plus !"
Tu joue a un jeu surement un peu dangereux mais, c'et juste pour le provoquer rien de plus. Tu répond a ses pics. Parce qu'en fait c'mec tu t'en fou, il ne t'attire meme pas en réalité, tes mots te dégoutterai presque quand t'y reflechi. On pourrais te présenter le plus beau mec de la terre et tu t'en foutrai, seul Nils te fait de l'effet, il est le seul qui t'fou dans un état pareil. Sur ces mots tu l'embrasses, un peu aussi pour l'rassurer, pour bien lui faire comprendre qu'il n'y a que lui. Peu importe qui peu te tourner autours, tu n'as d'yeux que pour lui. Alors tu l’entraînes , serrant sa main. Tu ris un peu plus face a sa remarque. c'est vrai que tu ne tiens pas vraiment l'alcool mais, tu ne sais pas comment riposter alors pour une fois t'accepte qu'il est le dernier mots.
Tu cours vers les chiottes avec lui, on dirais juste deux con, deux gamin qui s’apprête a faire une connerie. Enfin si seulement la connerie en question n'étais pas de vous envoyez en l'air, parce que niveau innocence on a vue mieux. Tu t'en fou des gens autours de toi, t'emmerdes le monde. Il te donnes des ailes, il te donne envie de repousser encore un peu plus tes limites, cette histoires va vous mener a votre pertes, t'en est conscient au fond, t'as juste pas envie de le voir, de l'admettre. Tu est aveugles. Et pour l'instant sa fait un bien fou. Tu rentres dans les chiottes, tu pousse une porte et la ferme a double tour, seul un autre mec vous a vue et pour l'coup il a eu l'air assez choquer par la scène. Tu l'emmerdes ce con, t'en a rien a foutre du regard que les gens peuvent avoir sur vous.
"Ok j'avoue, j'suis pas du tout patient mais ... c'est ta faute aussi, tu va m'rendre taré ... "
Tu n'arrives meme pas a complètement finir ta phrase que tu t'empares de ses lèvres, un peu trop vite, c'est brouillon mais, bien fait, sa t'excites aussi, surement un peu trop. Tu te colle contre lui, et t’enlève ton haut, tu l'pose par terre, t'es entrain de vraiment devenir dingue. La musique résonne encore en écho, tu l'oublie, petit a petit, tu ne pense qu'a lui, il est ta vie, t'en a pas juste encore complètement conscience de ça. Ta main se glisse sur son haut qui ne tarde pas a suivre le tiens, tu t'colle a lui, t'en peux plus, sa t'as manquer, beaucoup trop pour que tu arrives a etre patient.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mar 16 Sep - 13:01
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
L'avoir rencontré, c'est définitivement, la meilleure et la pire chose qui me soit arrivé dans la vie. La pire parce que ce type arrivera à me rendre taré un jour, non, c'est déjà fais je crois. Il me pousse à agir comme j'aurai jamais pensé le faire un jour, à me faire complètement perdre les pédales, on cours droit vers la catastrophe ensemble et on le sait. Je le sais, il n'y a aucune chance pour que toute cette histoire finisse totalement bien pour nous. Soit on finira par se détruire, soit on enverra voler en éclat tout ce petit monde dans lequel on a grandit. Quoi qu'il arrive, on finira par morfler. Je finirais par morfler, je ne peux juste pas savoir si se sera à cause de lui, ou des autres. Mais si c'est les autres, j'aurai au moins l'avantage de l'avoir lui, si c'est lui, je n'aurai personnes. Mais malgré tout ça, le meilleure balaie tout à l'heure qu'il est. Parce qu'avec lui je me sens juste libre d'être qui je veux, de rire, de vivre, il me rend juste heureux, c'est triste qu'une seule personne soit capable de me mettre dans cet état, mais c'est ainsi.
"Si Jonas... Je crois que je peux voir un peu, t'oublis que les miens le prendront pas mieux et puis moi je peux aussi m'en vouloir de t'avoir entraîner là dedans..."
Je souris tristement et passe mes mains sur ses joues pour les caresser et le forcer à me regarder dans les yeux. Evidemment que je sais très bien ce qu'il peut ressentir. J'ai les même parents que lui. Je sais que si ma mère l'apprend, soit elle me mettra dehors, soit elle m'enfermera dans ma chambre, avec interdiction de voir Jonas bien sûr et essayera de me soigner. Alors je sais tout à fait ce qu'il peut ressentir et j'ai en plus les remords qui vont avec, de l'avoir entraîner là dedans. Parce que même si j'ai vraiment rien à regretter au final, de lui avoir tout dis, parce que j'aime ce qu'on vit. Je m'en veux d'avoir juste compliqué sa vie. Mais c'est pas le moment de penser à ça, j'oublie tout encore une fois.
"Je crois que je pourrais m'y faire d'être rien qu'à toi... Et puis du moment que j'ai le droit de te toucher toi... ça me va !"
Je souris un peu comme un idiot pendant qu'il m'embrasse. Je sais pas comment il fait, s'il le fait exprès ou quoi que se soit, mais il sait toujours quoi dire, pour me rendre encore un peu plus amoureux de lui. Et c'est agaçant. Il ne se rend même pas compte que ce qu'il dit me rends juste un peu plus accroc, un peu plus heureux encore. Qu'il me dise que je suis à lui, ces surnoms qu'il me donne, c'est juste trop pour que je puisse lui résister. C'est trop pour que je puisses attendre. Quand je l'entends me dire ça, j'ai juste envie de lui sauter dessus, de tout lui donner, de le laisser faire ce qu'il veut de moi, parce qu'il à juste raison, à mon plus grand désespoir, je suis à lui.
"Oh ça c'est sur, tu ne l'es pas en reste... Bon maintenant... Si on arrêter de ce questionner sur lequel est le plus sadique et que tu me faisais tout ce que tu as envie de me faire ?"
Ok, il y a peu, j'aurai sûrement voulu mourir de honte de parler comme ça et je le suis même un peu. Mais ça passe bien vite parce que l'envie parle plus que le reste. J'ai juste envie qu'il me fasse faire tout ce qui lui passe par la tête, qu'il me manipule comme il sait si bien le faire, qu'il me domine. Qu'il me fasse l'amour tout simplement. Je pousse un gémissement incontrôlable quand je le sens se coller ainsi à moi, m'embrasser de la façon dont il le fait. C'est trop bon pour que je puisse attendre. Je le repousse juste un peu pour pouvoir passer mes mains en dessous de son boxer et le descend rapidement pour le lui enlever. Une fois chose faite, je l'admire complètement nu quelques secondes avant de m'emparer une nouvelle fois de ses lèvres et de le serrer contre moi. Je frissonne à cause de ce contact et glisse ma main le long de son torse, de son ventre, pour aller attraper son membre, que je ne suis même plus gêné de toucher de la façon dont le le fais.
l te rend littéralement taré.Tu le sais. Tu le sens. Tu ne veux juste pas forcement le voir. t'admet pas d’être dépendant de quelqu'un, de te dire que sans lui au final t'es pas grand chose, ou plutôt quelqu'un que tu déteste.Il te pousse peut etre a faire ce genre de connerie mais, celle la tu la trouve belle a en crever alors tu t'en fou, tant que tu arrêtes d'emmerder les autres, de vraiment faire chiez ton monde , alors tout va bien. Il te freine de ce coté la, le fait que tu ne soit qu'un pauvre manipulateur, un connard sans nom, disparais un peu quand il est a tes cotes. Même si personne ne change complètement, on avances, on essaye de changer mais, on n'y arrives jamais vraiment.
"Bordel, parle pas de ça ... j'en peux plus de cette famille de merde, j'en peux déjà plus de devoir me contenir de simplement t'embrasser devant eux ... tu ne peux meme pas savoir a quel point sa m'fait mal de savoir que mes parents n’accepterons jamais le fait qu'on soit ensembles ..."
Tu ris, tristement meme si tu fait comme si ce n'étais pas le cas. T'as mal. vraiment mal face a cette réalité qui t'fend l'coeur. C'est plus une questions sur le fait de les provoquer ou non, tu veux juste assumer, pouvoir l'dire au grand jour, vraiment au grand jour ... Enfin, pour le moment tu te contente de ça, tu oublies le fait que sa va t'bousiller. Peu importe comment sa va te détruire. Si il l’apprennent t'es bon pour finir a la rue. Si tu leurs cache infiniment, le mensonges te tuera a petit feu. C'est meme plus un choix a ce stade la, c'est carrément de la tortures. sauf que t'oublies dans ces bras. Encore une fois.
"Hors de question que tu touche qui que ce soit bébé .. ce soir .. et tout les autres soirs .. t'es a moi, rien qu'a moi .."
Sa sonne con. Et horriblement vrai. Tu l'embrasses une énième fois, tu ressemble a un drogué. Ta main se glisse sur son torse, ta chaud, beaucoup trop. T'adores quand il deviens aussi fou que toi, que lui aussi a certains moment sa patience ce fait la malle.
"J'sais mon cœur, t'es qu'un sadique j'crois en fait ... mais, t'en fais pas, de ce coté la j'suis pas en reste !"
Tu souris. D'un large sourire, un peu trop pervers, un peu trop sadique. Qui annonce en meme temps que t'as pas vraiment envie de le ménager cette fois ci, ni meme les prochaines fois d'ailleurs. Tu descend tes baisers dans son cou. Ta main se glisse sur sa ceinture que tu défait, sur son jeans que tu descend. Tes gestes sont embrouiller, sur d'eux malgré tout. Tu lui enlèves sont bas - complètement - et tu te serres contre lui, encore un peu plus. T'as encore ton boxer mais, sa se voit que tu crèves d'envie de lu faire l'amour, ton membres est un peu trop gonfler a ton gout, c'est trop rapide, trop pour que ce soit normal. Non en fait c'est normal, t'as juste du mal a t'avouer qu'il te fasse autant d'effet, bien plus qu'on ne t'en a jamais fait.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mer 17 Sep - 4:56
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
L'avoir rencontré, c'est définitivement, la meilleure et la pire chose qui me soit arrivé dans la vie. La pire parce que ce type arrivera à me rendre taré un jour, non, c'est déjà fais je crois. Il me pousse à agir comme j'aurai jamais pensé le faire un jour, à me faire complètement perdre les pédales, on cours droit vers la catastrophe ensemble et on le sait. Je le sais, il n'y a aucune chance pour que toute cette histoire finisse totalement bien pour nous. Soit on finira par se détruire, soit on enverra voler en éclat tout ce petit monde dans lequel on a grandit. Quoi qu'il arrive, on finira par morfler. Je finirais par morfler, je ne peux juste pas savoir si se sera à cause de lui, ou des autres. Mais si c'est les autres, j'aurai au moins l'avantage de l'avoir lui, si c'est lui, je n'aurai personnes. Mais malgré tout ça, le meilleure balaie tout à l'heure qu'il est. Parce qu'avec lui je me sens juste libre d'être qui je veux, de rire, de vivre, il me rend juste heureux, c'est triste qu'une seule personne soit capable de me mettre dans cet état, mais c'est ainsi.
"Si Jonas... Je crois que je peux voir un peu, t'oublis que les miens le prendront pas mieux et puis moi je peux aussi m'en vouloir de t'avoir entraîner là dedans..."
Je souris tristement et passe mes mains sur ses joues pour les caresser et le forcer à me regarder dans les yeux. Evidemment que je sais très bien ce qu'il peut ressentir. J'ai les même parents que lui. Je sais que si ma mère l'apprend, soit elle me mettra dehors, soit elle m'enfermera dans ma chambre, avec interdiction de voir Jonas bien sûr et essayera de me soigner. Alors je sais tout à fait ce qu'il peut ressentir et j'ai en plus les remords qui vont avec, de l'avoir entraîner là dedans. Parce que même si j'ai vraiment rien à regretter au final, de lui avoir tout dis, parce que j'aime ce qu'on vit. Je m'en veux d'avoir juste compliqué sa vie. Mais c'est pas le moment de penser à ça, j'oublie tout encore une fois.
"Je crois que je pourrais m'y faire d'être rien qu'à toi... Et puis du moment que j'ai le droit de te toucher toi... ça me va !"
Je souris un peu comme un idiot pendant qu'il m'embrasse. Je sais pas comment il fait, s'il le fait exprès ou quoi que se soit, mais il sait toujours quoi dire, pour me rendre encore un peu plus amoureux de lui. Et c'est agaçant. Il ne se rend même pas compte que ce qu'il dit me rends juste un peu plus accroc, un peu plus heureux encore. Qu'il me dise que je suis à lui, ces surnoms qu'il me donne, c'est juste trop pour que je puisse lui résister. C'est trop pour que je puisses attendre. Quand je l'entends me dire ça, j'ai juste envie de lui sauter dessus, de tout lui donner, de le laisser faire ce qu'il veut de moi, parce qu'il à juste raison, à mon plus grand désespoir, je suis à lui.
"Oh ça c'est sur, tu ne l'es pas en reste... Bon maintenant... Si on arrêter de ce questionner sur lequel est le plus sadique et que tu me faisais tout ce que tu as envie de me faire ?"
Ok, il y a peu, j'aurai sûrement voulu mourir de honte de parler comme ça et je le suis même un peu. Mais ça passe bien vite parce que l'envie parle plus que le reste. J'ai juste envie qu'il me fasse faire tout ce qui lui passe par la tête, qu'il me manipule comme il sait si bien le faire, qu'il me domine. Qu'il me fasse l'amour tout simplement. Je pousse un gémissement incontrôlable quand je le sens se coller ainsi à moi, m'embrasser de la façon dont il le fait. C'est trop bon pour que je puisse attendre. Je le repousse juste un peu pour pouvoir passer mes mains en dessous de son boxer et le descend rapidement pour le lui enlever. Une fois chose faite, je l'admire complètement nu quelques secondes avant de m'emparer une nouvelle fois de ses lèvres et de le serrer contre moi. Je frissonne à cause de ce contact et glisse ma main le long de son torse, de son ventre, pour aller attraper son membre, que je ne suis même plus gêné de toucher de la façon dont le le fais.
T'fait perdre la tête ce con. Tu t'en fou de ça aussi. T'adores meme cette réalité, tu l'aimes a en crever l'état dans lequel il a l'art de te mettre, bien que t'es encore du mal a t'y faire. Tu saute un mec Jo. Un mec. Ton meilleur pote. sa reviens en boucle, comme un disque rayé, une putain de malédiction qui n'veux plus te lâcher. T'y peux rien. Si c'est avec un mec que tu doit vivre pour etre heureux, si c'est avec lui que tu doit avancer, alors t'emmerdes le monde. Si c'est lui, se sera lui et merdes a tout ses discours qu'on a tenter de te loger dans le crane.
"T'as consciences qu'on va en prendre plein la gueule si ... quand sa se sera ... non parce que .. j'veux pas ... j'veux pas t'infliger tout ça Nils mais, ont n'y peux rien, un jour ou l'autre on sera obliger de leurs faire face a tout ses connards ..."
Tu voudrais ravaler tes paroles. te mentir encore un peu. Lui mentir a lui aussi. T'en peux déjà plus de tout ça. t'aimerais juste oublier. Sa deviens impossible d'jouer aux jeu du plus cons. Tu cède. Tu lui dis tout ça, toujours coller contre lui, blottis dans ses bras. Tu rêves que tout ne soit qu'une illusion, que tu ne l'es pas vraiment lâcher cette foutu vérité. Et tu culpabilises comme un idiot, ta main s'pose sur sa joue, avec une douceur qui t'étonne un peu venant de toi.
"Et t'y est pour rien bébé ... ! Tu ma entraîner nul part, j'ai voulu tout ça, et j'veux jamais que tu en doute .. ok ? .. !"
Ta voix est douce. Rassurante. Sévère aussi. Tu ne veux jamais qu'il se sente coupable de quoi que se soit. Jamais. Sauf que ça tu n'es pas sur d’être doué pour y arriver, tu essaye juste de lui prouver que tu tiens a lui du mieux que tu le peux. Tu ne tardes pas a te retrouver dans la meme tenue que lui. Tu voudrais faire comme si t'avais rien dit, juste te laisser guider par tes foutues envies. Bordel, si tes parents savais ce que tu est entrain d'faire ! Sauf que ces cons finis, t’éprouves juste de la haine a leurs égards, il te donne une rage que tu ne pensais jamais éprouver. Ils te donnent juste envie de te serrer un peu plus contre Nils, de ne plus jamais quitter ses lèvres et de lui faire l'amour comme tu ne lui a jamais fais.
"Avec plaisir mon cœur !"
Tu pousse un gémissement un peu surpris lorsqu'il prend ton membre en main. sauf que tu ne lui laisse pas l'temps de faire grand chose que t'as déjà envies de le torturer un coup. Enfin c'est un bien grand mot . Ton regard ne peux s’empêcher de le fixer avec une certaine insistance mais, t'es pas vraiment sur que sa le dérange. Ta main frôle son membre, juste du bout des doigts et étrangement tu ne t'y attarde pas. Tu pose tes mains sur ses fesses, l'obligeant a se coller complètement contre toi. Tu l'embrasses, un peu trop sauvagement peut etre mais, la tu n'as plus envies de te poser de question.
"J'sais pas pourquoi mais, ce soir j'ai bien envies de jouer avec toi on cœur !"
Tu souris. sa te se voit que t'as aucunement envie de le ménager, tu joue avec lui et c'est rien de le dire. Tu glisse un doigt en lui. Sans prévenir. rapidement. Tu commence de léger va et viens en lui, au final tu le test. Tu regardes jusqu’où il peux allez, ce qu'il peu supporter. Tu pourrais passer ton temps a couchez avec lui, parce que sa fait oublier tout l'reste. sa t'fais aussi oublier qu'entre vous c'est bien plus qu'une histoire de cul. Que tu tiens a lui. Bien plus que tu ne l'aurais voulu a la base.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mer 17 Sep - 11:57
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Evidemment que j'ai conscience de tout ça, qu'on va s'en prendre plein la gueule à un moment où l'autre. Que ça va être dur, qu'on va en chier, se retrouver dans la merde. Devoir affronter nos parents avec aucun soutiens à part celui qu'on aura l'un pour l'autre. Du moins, je l'espère qu'on l'aura ce soutien. Je soupire. Je ne sais pas pourquoi, j'ai l'espoir que mon père ne nous lâchera pas totalement. Je sais pas pourquoi, mais il a jamais lâché ma soeur, alors j'ai l'espoir que lui finira par avaler la pilule, même si elle sera plus difficile. Je sais que pour ma mère se sera impossible, mais pour lui j'y crois un peu. Je soupire et me serre un peu plus contre lui.
"J'en suis conscient mon coeur... Je sais tout ça et tu m'infliges rien... Je le sais... Mais ça peut encore attendre tout ça, un peu... J'aime pas ça, devoir caché ce que j'éprouve pour toi, mais si ça peut nous empêcher quelques merdes pour le moment..."
Je lui souris un peu tristement et colle un peu plus ma joue contre sa main pour profiter de ce contact. Je sais ce qu'il pense, je sais qu'il se prend la tête et j'aurai préféré lui éviter tout ces tracas, mais je ne peux pas faire autrement. Je me serre un peu plus contre lui, je passe mes mains dans son dos que je caresse doucement, comme pour le rassurer et le réconforter un peu. Je suis là pour lui et je le serais toujours et ça,j'espère au moins qu'il le sait.
Je hoche juste timidement la tête lorsqu'il me dit de ne pas douter, de ne pas m'en vouloir. C'est plus facile à dire qu'à faire. Mais je ne veux pas protester, me lancer dans des contestations, je m'en veux, je ne peux pas faire autrement, mais ça me rassure ce qu'il me dit et j'ai pas envie de me prendre la tête plus longtemps avec tout ça. Et on arrive à oublier rapidement tout ça, parce que le désir prend le pas sur tout le reste. Maintenant nu dans mes bras, son corps coller au miens et nos lèvres liées, je me sens juste bien. J'ai toujours un peu plus envie de lui de le sentir comme ça. Je m'en fou de l'endroit, je m'en fou qu'on nous entende, qu'on sache ce que l'on fait, j'ai juste envie de lui, encore et toujours et j'ai juste envie de profiter de cette soirée, comme si on avait rien à redouter.
Je ris un peu lorsque je le vois gémir, je le taquine, je me moque un peu de voir qu'il est si réactif dès que je le touche, même à peine. Mais j'aime l'effet que je lui fais, j'aime le voir craquer à partir du moment où je le touche. Je prends un peu plus confiance et suis assez fière de le voir dans cet état grâce à moi. J'aime aussi quand il me regarde comme ça, il a un peu l'air d'un pervers, mais étrangement, ça ne me dérange pas dans ces circonstances. Je soupire et frisonne lorsqu'il me frôle là où je suis le plus sensible, quand il prend mes fesses dans ses mains, je gémis un peu à mon tour. Et quand il m'embrasse avec autant de violence, je craque littéralement, parce que j'aime la manière dont il le fait et je ne m'en lasserai jamais. Je passe ma main libre dans ses cheveux, que je caresse et attrape d'abord doucement entre mes doigts.
"Et ça changerais quoi à d'habitude..."
Je lui demande en commençant à descendre mes baisers dans son cou. Mais je n'ai pas le temps de terminer ma phrase, que je comprends déjà ce qu'il voulait dire et pas sûr que ça me déplaise... Je pousse un cri de surprise et me cramponne un peu plus à lui lorsque je le sens insérer un doigt en moi, sournoisement, sans prévenir. j'agrippe un peu plus fortement ses cheveux, pas assez fort pour lui faire du mal, mais assez pour m'assurer une prise et plonge ma tête dans son cou, me retenant de crier un peu plus fort. Instinctivement j'écarte un peu plus les jambes pour le sentir un peu plus, parce que ce n'est définitivement pas assez, c'est bon, mais pas assez, il me frustre au possible et je comprends maintenant pourquoi il m'a dit qu'il voulait jouer avec moi. Il est juste décidé à me rendre complètement fou.
"Putain... Jonas... Plus... Je... Tu vas me tuer enfoiré..."
Je soupire en faisant des mouvements de bassin pour le sentir un peu plus, posant mes lèvres brutalement sur les siennes et continuant mes mouvements sur son membre. Il arrivera à me rendre fou, à me foutre en l'air, mais putain, je crois que finalement je ne désir que ça.
'as ta conscience qui s'fait la malle, tes parents tu les emmerdes, la tout d'suite t'as juste envie de les fuir, ou de carrément leurs dires leurs quatre vérités, de leurs dire a quel point il sont cons, bien plus que toi en réalité. Tu t'colle a lui, tu balances toutes les haine que t'as envers eux sur Nils. sauf que lui t'as pas envie de l'faire souffrir, au contraire, tu transforme tout ça, sa t'fou juste une putain d'adrénaline. Ton cœur décide sans prévenir de passer a la vitesse supérieur. Ton corps n'en peux déjà plus de ce que tu lui infliges, ses angoisses, ses questions, ses peurs, et toutes cette excitation. Sauf que la, tout d'suite, t'en a rien a foutre, alors tu t'serres contre lui, toujours un peu plus.
"Oui ... bien sur que sa peux attendre, sa l'doit meme c'est juste que ... ho et puis merdes, qu'ils aillent se faire mettre ses cons, j'ai pas envies d'penser a eux ce soir ... désolé mon cœur !"
Parce que oui, tu tentes comme tu l'peux d'en avoir rien a foutre de tes parents, encore plus de les siens. Son père a lui peut etre qu'il l'acceptera un jour, toi c'est mort direct, t'en a plus que conscience de ça. Se sera a la rue. Sans autre forme de procès. Ta ère insistera surement pour te soigner. Sa t'fais flipper ça pour l'coup, bien plus que le fait de te retrouver sans rien du jour au lendemain. Quitte a souffrir tu préfère que sa soit dans les bras de Nils, dehors, librement, sans avoir de compte a rendre.
"C'est l'but mon cœur, j'sais pas pourquoi mais .. je .. j'crois bien que j'adores t'voir dans cet état !"
T'as a peine l'temps de finir ta phrase que t’insère un deuxième doigt, ton sourire s'agrandis, tu le provoque, tu joues avec ses nerfs, tu y va doucement, tu prend ton temps et pas qu'un peu. Tu commence malgré tout sérieusement tes va et viens. Parce que t'en crèves tout simplement d'envies, parce qu'au final tu t'tortures aussi un peu. La musique change , tu la reconnais direct, tu t'marre comme un idiot. Tu danser sur ça, tout seul dans te chambre des que tes parents sortais. la musique du diable comme ils aiment si bien le dire.
"Si tu veux plus bébé, va falloir me supplier !"
Ok la c'est meme plus du sadisme, t'as atteins un stade bien au dessus. Tu te stoppe d'un coup , tu te serre contre lui , et tu retire tout. Tu te décolle carrément de lui, rapidement, sans meme lui laisse l'temps de te retenir. Tu te cale contre la porte. Tu mord les lèvres. Ton coté manipulateur reprend le dessus.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mer 17 Sep - 15:24
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
J'ai toujours respecté mes parents, vraiment. J'étais loin d'être d'accord et je suis toujours très loin d'être d'accord avec eux, mais je les respecté au moins assez pour me taire et pour ne pas porter de jugement sur ce qu'ils pouvaient penser. Mais ça devient de plus en plus difficile en ce moment. J'ai envie de me rebeller, de juste les envoyer chier, j'ai plus aucun remords à leur mentir, à leur dire que je passe ma soirée chez Jonas à regarder des films, alors qu'on fait bien mieux ensemble. J'ai plus aucun remords non plus d'avoir été punis parce que je leur ai pas dis ce que j'ai fais le soir où je suis resté à l'hôtel avec Jonas et où je suis juste rentré au petit matin en souriant comme un con alors que ma mère m'ordonné d'arrêter de sourire comme ça. Non j'y prend même juste encore un peu plus de plaisir à être là avec lui, alors qu'il s'apprête à me faire une nouvelle fois l'amour. J'y pense plus, je les oublis.
"Moi non plus j'ai pas envie d'y penser ce soir... Ce soir y a que toi et toutes ces choses que je crève d'envie de faire avec toi !"
Je lui souris et l'embrasse une nouvelle fois. Y a rien de plus vrai avec ça, y a que lui qui compte ce soir et tout les autres soirs aussi. Je me fiche de ce que mes parents pourront dire, tant que je l'aurai près de moi, il est hors de question que je le lâche, peut importe ce qu'ils pourront dire. Il est bien plus important. Et je compte bien lui prouver ce soir. Je le regarde me dire qu'il aime me voir dans cet état et moi j'ai juste envie de le tuer sur place. Ok, je prends un malin plaisir à moi le mettre dans cet état, mais j'ai réellement horreur qu'il me frustre de la sorte.
"Laisse moi te dire que tu n'es qu'un enfoiré Trésor... Et sadique en plus mais ça se serait juste gonflé ton ego de te le dire..."
Je lui dis ça sur un ton mauvais, presque menaçant, mais je perds une nouvelle fois toute crédibilité quand je le sens insérer un deuxième doigts. Je cris, me cambre et me serre un peu plus contre lui en gémissant bruyamment alors qu'il commence ses vas et viens. Je continu de bouger les hanches pour accélérer le mouvement qui est toujours trop lent à mon goût. Je mords doucement son cou, je pourrais faire bien plus tant il me rends fou, mais je suis pas encore assez cinglé au point de lui faire mal.
"Même pas en rêve !"
Je lui répond d'un ton mauvais et presque menaçant lorsqu'il me dit ça. Pas question qu'il gagne aussi facilement. Mais il me lâche, arrête complètement tout mouvement et s'écarte complètement de moi, ne me touche plus et va se poser en face de moi, avec ce putain de petit sourire satisfait que j'ai juste envie de retirer de son visage. Je le regarde d'un air mauvais, je pourrais le tuer là de suite tant ce qu'il me fait relève de la torture. Je serais tenter pendant deux secondes de me barrer, de le laisser là, s'occuper lui même de son érection et ne pas le laisser me toucher de la soirée. Mais se serait bien pire pour moi, j'ai réellement envie qu'il me touche, qu'il me fasse l'amour, jusqu'à ce que j'en perde la raison. Je le regarde affalé contre la paroi des toilettes, en sueur et sans aucune gêne d'être exposer de cette façon à lui. Je le regarde suppliant de revenir vers moi et je craque finalement.
"Putain Jo'... Fais moi l'amour... Je t'en supplie..."
Je lui demande mauvais comme je ne l'ai jamais été et je note mentalement de penser à lui faire mentalement regretter ce qu'il vient de me faire. Je jure sur ma tête que j'aurai ma revanche et que la prochaine fois, je le chaufferais jusqu'à le rendre fou, avant de le laisser en plan, je m'en fais la promesse.
'est l'amour de ma vie. T'es le seul qui m'fou dans cet état, qui m'donne envies d'envoyer chiez l'monde a ce point. Pour toi j'ferai valser la terre entière, les étoiles et l'univers, pour toi j'tuerai, peu importe qui, tu peu me demander ce que tu veux, si c'est pour te voir sourire je le ferai.
Et ces connards de mot ne sorte pas, la seul chose que t'arrives a lui sortir c'est ça. parce que t'aimes personne. Parce que c'est comme un pote que tu l'aimes .. non? tu t'embrouille. Tu crève de chaud. T'es calé contre cette foutu porte a l'torturer comme le connard que tu est. parce que tant que c'est juste une histoire de cul tu maîtrise tout, tu sais quoi faire. Dans les mots, les sentiments brut, la t'es juste paumé. T'y tiens comme jamais a ce mec. T'es pas amoureux. Tu ne peux pas l’être. Tu va craquer. Tu va balancer une bombe dans vos vie parce que t'as trop, beaucoup trop, de question sans réponse qui tourne en boucle dans ta tête. parce que sa ne fais que deux semaine mais, deux semaines a mentir, a tes yeux c'est déjà beaucoup trop. Tu ne comprend pas ce que tu ressens pour lui, tu sais juste que sa te rend taré. Que pour lui tu serais prêt a tellement de chose que sa te glace le sang. Tu continue sur ta lancé. Tu joues avec lui. t'oublies tout dans tes conneries.
"Soit heureux Nils, j'reste ton enfoiré rien qu'a toi ! "
Tu souris comme une merde lorsqu'il te supplie, parce que comme ça tu ne penses plus a rien, plus a ce qui t'fais un mal de chien, qui t'pete le cœur. Tu joues aussi avec toi, avec tes propre sentiments, t'en a juste pas encore conscience.
"C'est bien mon cœur ! j'vais m'occuper de toi !"
Tu reviens vers lui, sauf qu'a tes yeux ce n'est pas encore assez.Tu t'avances et au final viens te mettre derrière lui, passant ton bras autours de son cou. Tu frottes ton membres contre ses fesses, t'attend, t'en crève d'envies mais, tu veux encore un peu le faire languir. Tu l'obliges a se caler contre le mur, tu n'as pas l'intention de le ménager, ta violence, ta peur, ta haine envers le monde, tu soulage tout ça en lui faisant l'amour. Mais, ce genre de chose ne va pas pouvoir durée éternellement.
"gueule le bébé, gueule le que tu veux que j'te fasse l'amour, tellement que tout l'bars soit au courant, fort a un point que tu ne pourra plus jamais sortir de ses chiottes tellement tu mourra de honte ...!"
Tu lui mord légèrement le cou. Tu deviens fou. A cause de lui, de cette situation qui t'prend la tête , a cause du fait de désirer a ce point un mec, et aussi un peu parce que tu lutte avec tes propres sentiments. Tu casse la gueule au romantisme de peur qu'il gagne un peu trop ta vie. Tu joues a un jeu dangereux, bien trop pour toi, un jeu que tu ne maîtrise pas du tout.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Jeu 18 Sep - 10:57
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
S il y a bien une chose que je ne maîtrise pas dabs ma vie, sur laquelle je n'ai aucun pouvoir, c'est bien cette relation. La relation que j'entretiens avec Jonas. Parce que j'ai beau faire tout les efforts du monde, réfléchir, je ne saurais absolument pas la décrire clairement, dire ce que s'est. Tout ce dont je sois claire, c'est qu'on était ami et que maintenant on couche ensemble en prime. C'est lui qui à décidé que se ne serait pas juste une histoire de cul et moi je dois me contenter de le croire, parce qu'en y réfléchissant un peu, ça en a tous les signes. Comme le fait qu'il ne puisse plus me voir, sans me sauter ou sans en avoir l'envie. Mais ça je peux pas lui en vouloir, c'est pas différent pour moi, j'ai envie de lui tout le temps. Mais moi je sais ce que he ressens, je sais que c'est pas juste du cul pour moi, je sais ce que j'éprouve pour lui, que c est pas juste pour m'éclater. Lui, j'en sais rien, je sais qu'il tient à moi en tant que pote et qu'il veut pas me faire de mal, mais je sais aussi que sa crise peut passer et qu'il peut juste se lasser et me dire que c'est finit. Et j'en prends encore une fois conscience, là que je suis devant lui, nu, attendant qu'il me fasse une nouvelle fois l'amour. Mais j'oublie encore une fois, bien vite, parce que je me dis que s' il doit me détruire dans peu de temps, autant que j'en profite avant.
"Ah certain moment... je sais pas si c'est vraiment une bonne chose pour moi..."
Je lui dis ça presque méchamment, j'ai aucune envie d'être gentil avec lui. Ça me tue déjà bien assez de le supplier de me faire l'amour, alors au diable la tendresse que je peux avoir envers lui habituellement. Elle vole en éclats et j'ai juste envie de le tuer de voir qu il en prends un tel plaisir.
Il revient enfin vers moi, mais je bouge pas. Je lui laisserais pas le plaisir de lui sauter dessus, je le connais, je sais que son sadisme n'a pas encore été totalement comblé et j'ai un sérieux doute sur le fait que je lui ai obéit si facilement lui convienne. Je le regarde avec un regard noir lorsqu'il passe à côté de moi, pour finalement se mettre derrière moi. Et je frisonne quand il me touche, je retiens un gémissement quand il se frotte à moi. Je refuse de gémir, de lui montrer que j'aime ce qu'il me fait, qu'il me fait de l'effet, pas là alors qu'il prend un tel plaisir à me torturer. Je me laisse pourtant faire sous ses mains, je me colle un peu plus à lui et me cambre encore quand il me cale contre le mur.
"Parce que je devrais avoir honte de me faire baiser par toi ?" Je demande pour le chercher un peu, je deviens vulgaire et agressif, mais je n'ai plus l'impression de me contrôler, c est lui qui me contrôle. "Putain Jonas, ferme ta gueule et fais moi l'amour bordel !"
Je le dis un peu plus fort que je l'aurai voulu. Mais je n'en peux vraiment plus. Je passe un de mes bras autour de son cou, me collant et me frottant un peu plus à lui et je tireses cheveux lorsque je sens ses lèvres dans mon cou. Je me retiens une nouvelle fois de gémir et de montrer mon impatience. A la place je descends juste ma main sur mon propre corps et prends mon membre en main, pour me soulager. Pourquoi suis-je accroc à un tel sadique. Pourquoi me met-il dans cet état. J'ignore comment c'est possible de haïr et de crever autant d'amour pour la même personne mais pourtant avec Jonas, c'est ça.
u le sais que tu fais une connerie de plus, que tu arrives juste a lui faire du mal, toujours un peu plus, a l'faire douter aussi surement. De toi. De vous. Tu lui fais du mal, et lorsqu'il te dis sa tu t'le prend dans la gueule, parce que c'est flagrant. parce que si il t'passe tout ça, toutes les tortures que tu lui infliges il les supportes, c'est parce qu'il t'aimes, trop beaucoup trop en réalité. Alors tu ne bouges pas pendant quelques instants. l'temps passe, t'file entre les doigts. Tellement vite, et ça, sa t'fais un mal de chien. Tu ralenti ton jeu a la con. T'en meurt d'envie de lui mais, la tu t'calme un peu. Trop pour ne pas sortir une connerie. Tu t'recule, te calant contre la porte, tu l'regardes et bordel, tu l'trouve beau , un peu trop peut etre, d'une manière qui ne se veux pas juste amical.
"Non j'suis pas quelqu'un pour toi Nils mais, tu devrais l'savoir depuis le temps non ?! Et .... et ouais ... tu devrais avoir honte que je te saute .. !"
Tu mes tes mains dans ton dos, tu t'tiens face a lui, et meme si l'espace vous oblige a rester tout de meme prêt, tu t'éloignes. Le plus possibles. Tu fuis ce que t'es entrain d'faire, de dire aussi parce que t'as jamais étais aussi sincère en réalité. Tu l'engueule presque. T'en a marres de l'voir aussi dépendant de toi, aussi soumis. pas que t'aimes pas ça. tu le connais juste assez pour savoir que sa va lui faire plus de mal que de bien.
Pus tu te réveille d'un coup, ton esprit te dis d'faire quelque chose, seulement c'est bien trop rapide pour que sa soit cohérent, logique, que sa soit quelque chose de bien. Enfin tu cois. Tu t'approches de lui, la fuite sa te connais mais, avec lui c'est juste impossible. Tu cède a chaque fois. Alors tu pose violemment tes mains a coté de lui, de sa tête . Tu pète un câbles de plus sauf que celui la il t'fais encore plus mal que les autres.
"Juste comme ça, tu crois qu'a mes yeux t'es quoi ?! "
tes mots résonne dans la pièce, font mal, un mal qui ronges, qui bousille de l’intérieur, qui donne juste envie de s'casser en courant. T'es en colère. Seulement vue comment tu lui sort ça, il doit croire que c'est plus pour finir de le briser qu'autre chose. t'es lancé, partis dans tes délires, t'en peux plus, de la honte, du mensonge, des questions, de lui aussi. tu craques un coup parce que t'as jamais su faire autrement.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Jeu 18 Sep - 15:25
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Jonas et ses putains de sautes d'humeur de merde... Voilà son problème et le mien aussi. Il change d'humeur comme il change de fringue, aussi vite qu'il peut s'enfiler un verre. Pourquoi c'est toujours moi qui subit ça bordel ? Pourquoi c'est toujours moi qui suis obligé de me prendre en pleine tronche ses changement d'humeurs... Et bien évidemment, il choisit toujours le bon moment, à savoir quand j'en ai absolument pas envie. Quand je ne suis absolument pas en état de supporter ses changements d'humeurs. Et ça m'exaspère au plus haut point. J'ai toujours fais avec, mais là, j'ai juste envie de le tuer. Parce que c'est juste pas le moment de réfléchir, surtout pas après l'état dans lequel il m'a mis. J'ai juste envie de lui dire de se la fermer et que je lui répondrais plus tard. Mais je le fais pas, parce que je le connais par coeur et je sais aussi qu'il part au quart de tour quand il est comme ça. Il m'inquiète, il lui est arrivé de me faire peur. Alors je le brosse juste dans le sens du poil. Mais pour le coup, j'ai un peu du mal à cacher ma frustration. Parce qu'il prend au premier degré ce que je viens de sortir, alors que je ne le pensais pas le moins du monde.
"T'es sérieux ? T'as besoin de me dire ça maintenant ?" Je soupire en levant les yeux au ciel mais reprend d'un ton plus doux. "Tu sais très bien que j'en pensais pas un mot et arrête de dire des conneries..."
Il s'éloigne le plus de moi et je fais de même, ça me fais chier, ça me vexe même, parce que je suis juste à poil, mal d'être dans une position de faiblesse et de me dire que son pétage de câble peut juste le pousser à se barrer et à me laisser là, comme un con et vulnérable comme je ne l'ai jamais été. ça m'emmerde par moment de dépendre de son état. Mais je fais avec, je me protège un peu, comme je le peux et j'essaie juste de le calmer, encore une fois. J'oublis ce qu'on était en train de faire et je le regarde de la façon la plus douce dont je le peux, me cachant un peu comme je le peux. Parce que oui, une fois l'excitation passé, je suis toujours pas à l'aise à me retrouver à poil face à lui.
Je continu de le regarder, mais il réagit trop vite pour moi et quand je le vois s'approcher de moi et poser ses mains de chaque côtés de ma tête, je sursaute et me crispe. Parce que ça me rappelle de très bons moments avec lui... Mais je continu de le regarder, je lâche pas son regard du miens et je reste un peu hébété quelques secondes par sa question, parce que je ne sais pas quoi répondre...
"Je... J'en sais rien Jonas... Je dirais tout et rien en même temps... "
Je lui répond juste avec un léger haussement d'épaule et je baisse finalement les yeux. Parce que je suis sensé le savoir, je suppose. Mais j'en sais vraiment rien. Son meilleur ami, son petit-ami, son plan cul du moment, tout ça à la fois. J'en sais rien du tout ! Je sais qu'il tient à mou, j'en ai conscience de tout ça, qu'il fait pas ça pour me faire du mal, ni pour se foutre de moi, je sais aussi que ça il l'a jamais voulu avec quelqu'un d'autres, alors je sais que malgré tout j'ai une place privilégiée à ses yeux, mais ce que je suis pour lui, non c'est une question à laquelle je ne peux pas répondre. Je dirais que pour lui je suis tout et rien en même temps. J'aurai voulu lui répondre, lui dire que je le savais, parce que je sais que ça va juste l'agacer un peu plus, le mettre un peu plus en rage et j'en avais pas envie. Mais je peux pas faire autrement qu'être franc avec lui.
e pire dans tout ça c'est que tu sais très bien ce qui t'fou dans un état pareil, que tu crève d'envies de te contrôler mais, que c'est devenu tout simplement impossible, parce que t'es con, beaucoup trop pour passer a autre chose, pour prendre ses mots comme une blagues. Tu t'rend comptes que tu balances toute la colère que tu contiens depuis déjà pas mal de temps sur lui, que ce n'est pas lui que t'as envoyez d'envoyer chiez, ce n'est pas lui que t'as envies d'engueuler, pourtant c'est lui qui se prend tout ça. C'est lui qui te subis. Et tu t'rend aussi compte d'un truc qui t'fais bien plus de mal. Que sa sera lui. Ou ta famille. Ton confort, ta petite vie bien régler, tes conneries cacher et malgré tout étaler au grand jour, ta popularité, toutes ses personnes que t'as a tes pieds. Un avenir qui t'fou la trouille mais, ou t'es sur de manqué de rien, une image de gamin parfait . Tout ça! Tout ça tu t'doit de le laisser tomber si tu veux qu'entre vous sa aille quelqu'un part, que ce truc qui t'fou la trouille tu arrives a l'assumer. T'as peu etre pas la force pour ça.
"Oui j'te dis ça maintenant ... c'est de circonstance non ? Et non c'est pas une connerie je ... "
Mais ta voix se coupe. sa réponse t'met dans un état que tu ne contrôle pas, de ça aussi t'en a peur. De toi. Tu ne lui fera jamais d'mal physiquement mais, mentalement c'est une autre histoire. T'es qu'un pauvre con.
"ben casse toi alors si t'en sais rien ! Si a tes yeux depuis l'début j'te saute juste pour te sauter , si c'est ça que tu crois sérieux Nils ... sérieux casse toi ! Sa m'tue ce que j'fait avec toi, d'mentir comme ça , sa m'tue t'entend ?! Alors si au final j'doit juste entendre ça ... sa sert a rien que j'fasse des efforts ! ...."
Sa sort tout seul. T’aimerais gueuler au monde entier qu'il n'est que le pire des connards, péter l'univers , tout envoyés valser, casser la gueuler au premier venue, exploser tout ce qui t'entoure, sauf que ça, tu le fera pour une seule raison et se sera lui. La sa le détruit juste. Alors tu soupir. Tu te répète encore et encore de rester calme.
"Nils je ..."
Ta voix se coupe, dans un sanglot retenu. Tu parle est désormais égal au fait de chialer comme un con alors tu ferme ta gueule, au moins jusqu'a ce que sa te passe. Tu t'veux fort, puissant, alors qu'en réalité t'es juste faible, tellement que sa t'tue. Tu pose ton front contre le siens, qu'il parte c'est la dernière chose dont t'as envie, tu ne bougera pas, parce que tes mots tu les regrettes déjà amèrement, parce que le fait qu'il quitte ta vie, sa ne servirai a rien, que se soit ce soir comme a jamais d'ailleurs. sa ne vous ferai qu'un peu plus de mal.
"Pardon ... j'suis désolé je ... c'est trop d'un coup pour moi, parce que t'es pas juste mon pote, t'es pas juste une histoire de cul , j'veux pas que tu doute de ça une seule seconde ! C'est trop d'un coup parce que j'ai jamais tenu a quelqu'un comme ça, et que j'me suis toujours promis que si sa m'arrives un jour je ... je serais heureux de l'dire a mes parents, que j'aurai enfin réussi quelque chose dans ma putain de vie et la .... putain Nils je supportes pas tout ça ! Que sa fasse deux jours ou deux ans qu'on soit ... ensembles .. a mes yeux c'est pareil, on ne sera jamais accepter et sa m'boussile ça ... parce que je lutte déjà avec mes propre questions, mes propres doutes parce que .. oui ! Avant d’être comme ça avec toi, j'ai jamais compris comment deux mec pouvais s'envoyez en l'air ... sa me paraissais juste con, horrible, dégueulasse en fait ... J'vais pas tenir ... un jour ou l'autre soit j'vais faire en sortes que tu sorte complètement de ma vie soit j'vais tout balancer a ma famille ... m'en veux pas ... c'est comme ça, j'y peux rien, j'prefere te prévenir plutôt que de lâchez ça comme une bombe alors que tu ne t'y attend pas ... je ne sais juste pas comment te protéger ... si on reste ensembles on va se retrouver sans rien Nils ... si je m’éloigne de toi sa va peut etre nous détruire mais, au moins t'aura encore tes proches... je peux plus avancer, t voir sans penser a ça encore et encore je ... pardon mon cœur ... j'voulais pas t'infliger tout ça ..."
Tu l'embrasses a la fin et dans ce baiser tu y met tout l'amour que ta pour lui, y mêlant aussi la peur beaucoup trop grande que tu ressens pour arriver a la supporter. Tu ne voulais pas en arriver la, tu voulais arriver a fuir encore un peu. C'est devenues tout simplement impossible.
Nils Galbraith
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Ven 19 Sep - 5:43
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Je me demande parfois, souvent si je suis assez fort pour le supporter, pour supporter tout de lui et si j'en serais capable encore longtemps. Et puis je me rappelle que je fais ça depuis des années, que je supporte ses conneries depuis des années, ses crises, j'essaie de les maîtriser, ses gaffes j'essaie de les cacher. Je suis là quand il a besoin de quelqu'un, quand il a besoin de vider toute la haine qu'il a envers quelqu'un, je suis là, j'encaisse sans rien dire parce que je sais que ça ne m'est pas destiné et lui aussi il le sait. Alors je ferme ma gueule, pour lui. Toujours pour lui, parce qu'il est plus important que moi à mes yeux. Mais là, je me repose la question, je me demande encore une fois si je vais pouvoir tenit le coup. Parce que là c'est trop dur. Parce qu'il me fait passer par trop d'émotions trop contradictoire, qui me foutent trop en l'air pour que j'avance en continuant d'être persuadé que je pourrais supporter tout ça. Je l'aime à en crever, il le sait, mais je le laisserait pas jouer avec ça et je pourrais pas non plus garder cette excuse pour le laisser me faire du mal sans rien dire. Je pense à lui avant de penser à moi, mais je dois quand même faire attention à moi.
"Non c'était pas vraiment de circonstance que tu me fasses chier comme ça maintenant"
Je réponds sur un ton que j'aurai pas cru aussi dur. Parce que je lui ai parlé comme ça qu'une seule fois et c'était ce soir où il est allé trop loin. Et encore comme cette fois là,c'est lui qui contrôle ma rage. Alors je réponds aussi durement qu'il le fait avec moi. J'essaie de lui tenir tête, d'être fort devant lui, de pas craquer encore une fois. Parce qu'il y a que lui qui me fais craquer de la sorte. Mais ma résignation ne dure pas longtemps, quand je le vois m'exploser sa rage au visage. Je craque plus vite que je ne l'aurais voulu, je détourne une nouvelle fois mon regard du siens, je me mets à trembler, de rage et parce que je retiens de toutes mes forces mes larmes alors qu'elles ne demandent qu'à couler encore une fois. Mais je peux pas, je refuse, je veux pas qu'il puisse voir mes larmes encore une fois. Je baisse la tête et tremble de plus belle. Je fais un mouvement pour m'échappé de lui, pour partir comme il le veut. Mais il me retient et pose son front sur le mien et une nouvelle fois je reste sans bouger, parce que j'en suis incapable encore une fois. Alors je l'écoute juste et il me devient impossible de garder mes larmes pour moi.
"Et tu crois vraiment que c'était pas pareil pour moi... que... que j'aurai pas voulu être heureux de présenter la personne que j'aime le plus au monde à mes parents... d'avoir leur consentement, même si je me fous de ce qu'il pense, juste pour que se soit plus simple... mais c'est pas le cas et ça le sera jamais. T'as peur mais moi aussi, parce que tu auras beau dire tout ce que tu veux, toi et moi on sait que c'est ma faute si t'en es là, que sans moi tu aurais pas peur de te retrouver à la rue et tu serais toujours la fierté de tes parents en continuant a leur faire croire que t'es parfait et sauter toutes les pouffes que tu voudras dans leur dos! Tu le sais et moi aussi et j'ai peur du jour où tu m'en tiendras pour responsable et où tu m'en voudras... Et si tu comptes me lâcher Jonas, fais le maintenant, ce soir ! Parce que j'en ai marre de te voir changer constamment d'avis, que tu me jure que tu me laisseras jamais un jout et que le suivant tu me dises que c'est possible que tu le fasses pour être sûr de garder ta petite vie. Laisse moi partir, maintenant, je t'en voudrais pas, parce que je comprends je sais que c'est la merde et toi t'as encore la possibilité de retrouver ta petite vie calme loin des soucis. Moi mes proches je les perdrais forcément, dans la merde je vais forcément m'y retrouver, parce que, qu'on soit ensemble ou pas, ça changera pas ce que je suis !"
Il m'embrasse et tout ce qu'il veut me faire ressentir, je le ressens, je sais qu'il est sincère. Et mes larmes coulent enfin et je m'en veux mais c'est trop tard. Je me décolle finalement de lui et je le regarde enfin, quelques instants seulement. Et dans un murmure à peine audible, alors que ma voix se brise, je lui dis :
a fait des années qu'il te supportes, qu'il encaisse tout sans rien dire, ou presque, qu'il est soumis au connard que t'es et ça, sa t'fais du mal, parce que tu n peux pas complètement changer, toujours le protéger, parce que comme la, tu craques, tu lui balance tout ce qui t'fais un ma de chien, tu le blesse, tu le détruit, tu l'sais et t'as pas la force d'y mettre un terme. Alors tu ferme ta gueule quand tu le regardes de balancer tout ça, et qu'enfin ses putains de larmes coules le long de ses joues, sa te donne envie d'envoyez valser tes parents, les siens, de leurs dire toutes la merdes qu'ils provoquent, oui la, tout de suite, t'es prêt a l'faire sans meme avoir peur de ce que sa peut provoquer. Au final tu ne trouves rien d'autre a faire que de l'attirer doucement vers toi, qu'il se blottisse dans tes bras. Tu sens ses larmes dans ton cou, toi aussi t'as envie de flancher. Tu ne le fais pas. Pour une fois tu te dois d’être fort. Pour lui.
"Dit pas ça ... j'ten supplie Nils dit pas ça .. j'partirai jamais, ni ce soir, ni demain, que sa soit dans deux jours ou dans vingt ans, je serais la ... meme si on est plus ensemble un jour, je serais la pour toi, peu importe ce qui peux arriver ... Parce que .. Parce que tu vaux tellement mieux que ma petite vie a la con, que mes parents, tu vaux tellement mieux que tout ce que j'ai ... Si on m’offrez la lune, les étoiles, l'univers tout entier, si on pouvais faire en sorte qu'on s'oublie sans avoir mal, si sa doit me tuer de tenir a toi comme ça, alors que sa me tue ... "
Tu t'en veux, de provoquer tout ça, de lui infliger ta putain de haine. Tu t'en veux d’être toi. D’être né dans cette famille et de ne pas avoir eu la force de leurs tenir tête. D'avoir si peur d’affronter l'fait que la personne que t'aimes soit un homme. Tu t'en veux de tellement de chose que t'as l'impression que ton cœur va lâcher.
"T'y est pour rien dans tout ça ... t'as rien fait de mal mon cœur .. et non j'suis pas entrain de te dire que j'vais te lâcher, j'suis juste entrain de te dire que ... que .."
Ta voix se bloque. Bordel pourquoi rien n'est simple?! Pourquoi ta vie part en vrille comme ça d'un coup ... t'es épuiser, a bout de force, tout s'écroules autours de toi. Et meme la t'arrives pas a les lâchez ses putain de mots.
"J'sais pas si j'suis amoureux de toi ... j'sais juste que pour toi j'tuerai, pour toi j'ferai valser les étoiles, j'dirais adieu a tout ceux qui font partis de ma vie, j'dormirai dehors rien que pour te voir une fraction de seconde dans la journée ... j'sais juste que pour toi j'ferais du mal au monde entier si sa peut sécher tes larmes, que pour toi j'ferai absolument tout, qu'avec toi j'deviens fou... que quand t'es la j'ai pas juste envie de te confier mes problèmes, j'ai pas juste envie de d'faire l'amour ... j'ai envie qu'on avances ensembles, qu'on vive ce qu'on a a vivre ... j'men fou que sa blesse mes parents, que sa les détruise meme ... j'men fou de devenir un monstre a leurs yeux .. ce dont je ne me fou pas c'est ... c'est que tes parents a toi t'infliges tout ça .. parce que tu ne le mérites pas une seule seconde Nils ... "
Tu prend son visage entre tes mains, tu l'obliges a te regarder, a affronter tout ce qui est entrain de se passez. Tu l'embrasses, tu ne sais pas quoi faire a part ça en réalité. Tu ne sais plus comment lui prouver que sans lui t'es rien. Juste une coquille vide, une âme errante de plus sur cette terre.
"Mais, moi je m'en voudrais toute ma vie ... Alors j'serais la ... j'ai grandis avec toi , j'ai fais des centaines de conneries et emmerder l'monde a tes cotés, j'ai verser mes premières larmes dans tes bras, j'ai vraiment appris a tenir a quelqu'un meme si parfois j'm'y prend comme un con avec toi ... "
Et puis d'un coup, comme un flash tu lance un bombe, tu brise votre monde, enfin surtout le tiens. Tu ne veux pas l’impliquer. Tu veux juste assumer. Faire c que tu aurais déjà du faire depuis pas mal de temps. Arrêter de mentir au monde entier.
"Ce soir, j'dit tout a mes parents, j'dit que j'sort avec un mec et que peu importe ce qu'ils pourrons me dire sa ne changera rien .. j'dit juste pas que c'est toi sauf si tu l'veux, parce que j'veux encore te protéger, j'veux pas mentir, j'veux pas te briser pour autant ... j'veux tellement de chose que j'm'y perd ... par contre j'suis sur d'une chose c'est que je doit leurs dire, parce que sans ça j'suis juste mal, j'ai juste peur, connement surement j'aimes me dire qu’après tu sera peut etre le seul a tenir a moi mais, au moins j'serais libre ... "
T'as trop parler d'un coup, t'en a trop dit et malgré tout pas assez. Tu le serres contre toi, tes larmes tu les contiens, tu ne sèches pas les siennes, qu'elles coulent si il en a besoin, si sa peu lui faire du bien. T'es qui pour lui dire de les effacer, de faire semblant d'allez bien. Au contraire si il peux pleurer dans les bras de quelqu'un c'est bien dans les tiens, alors tu passe juste ta main dans ses cheveux, pendant que l'autre caresse sa joue.
Nils Galbraith
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Ven 19 Sep - 9:37
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
C'est quand même frustrant tout ça, enfin je veux dire tenir autant à quelqu'un.Parce qu'il peut être la personne qui me fait le plus de mal l'instant d'avant, celui d'après il est le seul capable de me réconforter. Et il l'a toujours été d'ailleurs, il a toujours été le seul dont j'avais besoin pour ça et c'est triste et peut-être pathétique, mais ça à toujours été le cas. Avant je me retenais juste de pleurer devant lui, même quand j'en mourait d'envie. Je me contentai d'aller le voir et de juste lui faire comprendre que j'etaise mal et je sais pas si il comprenait ou si c'est moi qui me l'imaginait, mais dans ces cas là, il a toujours su quoi faire pour me remonter le moral, me faire aller mieux. Et encore une fois ce soir il y arrive, en juste me prenant dans ses bras en me tenant contre lui. Je continu de me laisser aller, parce que tout devient bien trop dur, tout est trop compliqué alors que ce soir je voulais plus que tout que tout sois si simple, juste profiter de notre liberté et d'une soirée où on peut oublier toute cette merde qui nous entoure. Rien ne se passe jamais comme je l'aimerai, mais dans ses bras au moins ça fait moins mal...
"Alors pourquoi tu me dis ça Jonas ? Pourquoi faut que tu me dises que t'es pas sûr de qui tu choisirais entre ta famille et moi ? Tu sais je le sais ça... Depuis le début ! Parce que ce que je veux le pluq au monde c'est être bien avec toi, être heureux, mais je sais pourtant tout ça, je me voile pas la face..."
Je reste dans ses bras, je serais bien incapable de bouger de là. J'ai pas passé mes bras autour de lui, je me suis juste blotti dans ses bras, ma tête dans son cou, mes mains posé sur son torse. Je l'écoute, j'essaie de m'arrêter de pleurer, d'être aussi fort que lui peut l'être. C'est à croire qu'on est incapable de l'être ensemble, que notre force, on se la partage. C'est à tour de rôle.
"Si je l'ai fais ! Si on en est là, c'est parce que je t'ai dis que je... ce que je ressentais pour toi ! Jonas, si je l'avais pas fais, on serait pas ensemble dans un chiotte à ce pourrir la tête pour toute cette merde qui nous entoure !"
Je m'énerve un peu contre lui, tout seul, comme un idiot. Et ça me ferait presque rire, parce que la situation est plutôt comique ! On est bel et bien dans un chiotte, à poil en oluse, on devait faire l'amour et à la place on se retrouve à se prendre la tête sur ce qu'est en train de devenir nos vies. Ça pourrait presque être drôle !
"J'ai pas besoin de tout ça Jo' j'ai pas besoin que tu fasses tout ça pour moi. J'ai juste besoin de toi, juste de toi ! De faire tout ce que tu viens de dire, avec toi ! Mais je veux surtout que tu sois heureux, j'en ai marre que tu te prennes la tête à cause de tout ça... ça me fais mal de me dire ça. Et puis tu mérite pas non plus ça, ou alors je le mérite tout autant que toi, si pas plus... Et je m'en fiche, ils peuvent me prendre pour ce qu'ils veulent, ils se trompent."
Je le regarde, j'essaie de faire cesser mes larmes, mais ce qu'il me dit ne m'aide pas à le faire. Parce que ça me touche, parce que même s' il est pas amoureux de moi, je sais que je suis la première personne à m'en approcher autant pour lui et c'est une chose qui fait un peu plus tambouriner mon coeur dans ma poitrine de comprendre ça, ça fait un bien fou !
"Et je veux que tout ça ne change pour rien au monde Jonas ! Je veux continuer à te laisser m'entraîner dans tes conneries en faisant comme si j'étais pas d'accord et je veux aussi contin d'emmerder le monde avec toi, même si t'es bien plus doué que moi pour ça ! Et je veux que tu continu de tenir à moi comme tu le fais et je veux continuer de tenir à toi ! Je veux pas que ça change ça Jonas, je veux bien perdre beaucoup, mais pas ça ! Pas toi..."
Je passe enfin mes bras autour de lui, pose mes mains sur ses hanches et l'embrasse, doucement, passionemment, avec tout l'amour que je lui porte. Et je caresse ses hanches doucement en m'écartant de lui et je l'écoute lâcher la plus grosse bombe de sa vie. De nos vies. Je le regarde sans pouvoir bouger. Sans savoir si je dois être heureux qu'il veuille assumer ou complètement paniqué qu'il le fasse sur un coup de tete.
"Non mon coeur attends... réfléchis s' il te plait ! Attends un peu... je sais pas moi... de savoir ce qu'on ferait s' ils nous jetent dehors où s'ils décident de nous éloigner l'un de l'autre... Et je te laisserai pas le dire seul, si tu le fais, je le ferais parce que j'ai voulu tout ça et surtout ils comprendront bien assez vite que tu parles de moi... S' ils ont un minimum de bon sens, ils vont comprendre bien vite que c'est de moi que tu parles... et je suis sûr que j'aurai pas besoin de dire ton nom pour que les miens sachent aussi... Juste un peu Jonas, fais pas ça ce soir sur un coup de tête, tu pourrais le regretter demain ! Attends d'être calmé s' il te plaît... Je veux pas que tu t'en bouffe les doigts après !"
Je lui parle calmement, doucement, le plus doucement du monde et je déplace ma main du bas de son dos à son visage pour caresser sa joue. Je le regarde, je me serre un peu plus contre lui, je tente de retenir mes larmes. Je choisis bien mes mots pour lui parler, pour ne pas l'énerver encore une fois ! Mais j'essaie juste de le raisonner un peu, je veux pas qu'il regrette, qu'il s' en morde les doigts. Il est impulsif, s' il fait ça ce soir sous le coup de la colère, il le regrettera sûrement.