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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Dim 28 Sep - 19:37
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
On est là dans les toilettes de ce bar, à faire l'amour, j'étais venu ici ce soir pour tout oublier, pour m'éclater, pour être avec Jonas et juste profiter de la vie, faire ce qu'on a toujours fais de mieux ensemble, c'est à dire les cons. Boire, rire, danser, s'amuser, coucher, aller trop loin encore une fois, mais surtout vivre. Je lui ai fais promettre de profiter de cette soirée. Mais même moi je suis pas capable de tenir cette foutu promesse. J'aimerai putain, j'aimerai, parce que ça me bousille, parce que j'en ai vraiment besoin de me démonter la tête, même si ça ne me ressemble pas, et de plus penser à rien, juste à lui, d'être heureux au moins ce soir. Mais j'y arrive pas, alors que je le regarde, je pense juste à une chose, c'est fuir. Fuir pour lui, même s'il m'en veut à en crever, mais juste fuir pour le protéger. Il me fait l'amour et je pense juste à comment je pourrais trouver le courage de le faire. De lui rendre sa liberté, sans qu'il pense que je fuis parce que je suis lâche, parce que j'ai peur, mais juste qu'il comprenne que je fais ça pour lui. Mais je suis bloqué, il n'y a plus aucun moyens, j'arriverai pas à me casser ce soir sans lui donner d'explications et je serais bien incapable de le lâcher demain alors qu'il aura besoin de moi.
J'ai envie de lui hurler, que je suis fou de lui, qu'il me rend dingue, que je l'aime à en crever, que j'ai envie de tout faire avec lui, de tout vivre avec lui, encore plus de choses que l'ont ne l'a déjà fais depuis qu'on se connait. Que j'ai envie de toujours l'avoir dans ma vie, d'être à lui aussi longtemps qu'il le voudra de continuer à rire, pleurer, m'engueuler, faire l'amour, parler, déconner, jouer, boire et encore tout un tas de choses encore qui me font l'aimer un peu plus. Mais j'ai aussi envie de lui dire que putain je suis mort de peur, que j'ai pas peur de nos familles, mais de lui, que j'ai peur de foutre sa vie en l'air, de le briser, qu'il le regrette son ancien mode de vie et sa petite vie tranquille. J'ai envie de lui hurler de me lâcher, de se casser tant que sa vie ressemble encore à quelques choses, tant qu'il n'a pas encore tout perdu, tant que je ne suis pas encore la seule personne sur qui il peut compter. J'ai envie de tout ça, mais ça ne sors pas, parce qu'à côté, j'ai encore plus envie de ne jamais le lâcher, de le garder à mes côtés, pour moi, de rester le seul à pouvoir le consoler, d'être le seul à qui il fait l'amour et c'est ce qu'il fait actuellement, alors encore une fois toutes mes pensées s'évapore, j'essaie de les oublier pour ne penser qu'à ça, pour ne pas gâcher ce moment.
"Tu me ferais dire n'importe quoi tellement tu me rends dingue bébé..."
Il me souris, je lui souris en retour, il m'embrasse et je lui répond également, caressant son dos, le collant encore un peu plus à moi, faisant passer dans mes gestes tout ce que je ressens pour lui malgré la violence de l'acte. C'est étrange comme situation, on se ment, on continu de mentir, mais lui comme moi, on sait que l'autre mens, fait semblant, se donne de la contenance, fait semblant de tenir, d'être bien.
"Tu es un monstre mon coeur... Mais c'est pas grave, je le ferais moi, j'adore avoir tes mains dans mes cheveux et t'entendre crier quand je le fais..."
J'en rajoute, je le chauffe, je me fous de lui. Je fais ce que je préfère faire avec lui l'emmerder ! Et je sais qu'il aime ça, que je l'emmerde, même s'il ne le dira pas clairement, je sais aussi qu'il adore quand j'admet que tout chez lui me rend complètement fou. Et c'est le cas, j'ai pas besoin de me forcer pour aimer quelques choses avec lui, pour faire quelques choses pour lui. Je fronce les sourcils quand il vient m'embrasser le bout du nez, mais je finis par lui sourire. Sous ses coups de reins, j'entends, je sens mon dos percuter violemment les parois de la cabine à chaque fois, ce qui accentues encore un peu plus mes gémissements. Mes mains quittent sont corps et je lève les bras pour m'accrocher au rebord de la paroi et essayer de me soutenir...
"Dis pas ça bébé je t'en supplie... Jures moi que tu seras heureux Jonas... Et que tu t'en ira si jamais c'est pas le cas ! Jure le moi, c'est ce que je veux le plus au monde."
J'arrête de le regarder à cet instant, finalement je lâche la paroi et j'entoure une nouvelle fois son corps de mes bras avant d'aller mettre ma tête dans son cou. Je crois que je pourrais presque pleurer, mais le plaisir qu'il me fait ressentir à cet instant m'en empêche. A la place, je continu de m'accrocher à lui en gémissant dans son cou, en criant par moment, le suppliant d'aller plus vite, de me faire l'amour aussi fort qu'il le peut. Trop d'émotions se bousculent en moi à tel point que j'en ai la tête qui tourne, je m'agrippe à Jonas pour empêcher mes larmes de couler, je me morts les lèvres pour m'empêcher de crier plus fort tant c'est bon. J'ai envie qu'il soit violent, j'ai envie d'avoir mal, de me souvenir de ce qu'on a fait pendant des jours si je le perds, pour me rappeler de tout ça. J'ai envie qu'il me fasse perdre la tête une nouvelle fois, comme il sait si bien le faire.
u joue a un jeux dangereux dont tu ne connais pas les règles, tu vie, et putain qu'est ce que sa fait peur mais, a coté de tout ça tu te sens vivant. Jonas et Nils. Ce n'est pas l'un ou l'autre, ce n'est pas un choix, tu t'impose a lui autant qu'il s'impose a toi. C'est violent cet amour, c'est brut, a fleur de peau, c'est beau a en crever. Deux bêtes sauvages qui déchirent leurs chaînes ensembles, qui hurle au monde entier qu'il tienne l'un a l'autre parce qu'il ne peuvent pas faire autrement. Sa te déchire de te dire que tu ne pourra jamais le lâcher, de te dire que t'es dépendant, complètement accro, qui te retourne le cerveau et te ferai faire n'importe quoi pour lui. A moins que se ne soit déjà le cas.
Vous vous rendez fou, vous vous détruisez l'un l'autre et sa fait un mal de chien, un mal dont au final vous avais peut être besoin pour vous sentir vivant. Oui meme si tu souffre, meme si t'as peur, tu ne le lâchera jamais parce qu'il te fait vivre, vraiment vivre dans tout ce que sa comporte. Quand t'es avec lui t'es pas juste entrain d'avancer comme un robot. Non, tu sens le vent, tu sent la pluie et le brouillard, tu trouve tout beau, une beauté torturer et magistral. Ce que tu vie avec lui c'est ça, c'est magistral, sa trompe la mort tellement votre sang ne fait qu'un tour, ton cœur bat si vite que tu ne contrôler plus rien. C'est beau, vraiment beau, une beauté qui fou la trouille parce qu'elle n'est pas pur, non, elle est souiller, ronger par les larmes et finalement c'est ça qui la rend si fascinante. Ce qui t’unis a Nils c'est comme un diamant brut, tu te coupe, tu te brûle des que t'y touche mais, c'est plus fort que toi, t'y peux rien, tu t'y accroches, c'est ta perfusion , celle qui te nourri, qui t'fait allez mieux meme si lorsque tu la regarde tu te rend compte que plus rien ne va.
T'arrives tout simplement plus a ouvrir ta putain de gueule, les mots ne sorte pas, t'en peux plus, alors tu hurle, tu gueule son nom avant de t’emparer de ses lèvres. Nils, il te rend fou, une folie brut, une folie violente et dont t'as malgré tout besoin. C'est lui ou rien. Tu pourrais avancer sans lui mais, tu ne serais qu'un ombre une âme errante de plus sur terre, et c'est c'est la dernière chose que tu veux. Tu va plus vite, t'es violent, t'es animal dans tes gestes parce que c'est le seul moyen que t'as trouver pour ne pas flancher, ne pas péter les plombs, tout envoyez valser maintenant et chialer jusqu'à ce que tu n'en puise plus.
Le pire dans tout ça c'est que tu voit qu'il ne va pas bien, et lui aussi il le sais, que t'en peux plus, que t'as peur, que t'as trop de questions en tete pour avoir les idées claires. Chacun se mens, pas a lui meme mais a l'autre en sachant très bien que sa ne sert a rien. Vous êtes des livres ouvert l'un pour l'autre, vous êtes tellement de chose tout les deux en réalité. Tes coup de rein sont violent, et inconsciemment tu veux craquer, tu veux qu'il cède aussi, en sachant très bien que lorsqu'il le fera ton corps entier va lâcher, que ta conscience va s'faire la malle. Tu pourra dire adieu a tes fou rires une fois calmer, tu va craquer, tu te connais, tu le sais, et peut être meme que Nils aussi va l'faire, peut être que vous allez vous retrouver comme deux cons a chialer, deux gosse perdus, deux gosses qui tremble de peur parce qu'il ne comprenne pas les armes qu'ils ont en main et quoi en faire, ils sont trop faibles pour les soulever, ils ne peuvent meme pas tenir debout et ils sont désormais obliger de se soutenir l'un l'autre.
_ t'es con Nils …. con d'croire encore que j'peux être heureux sans toi …
T'as a peine la force de lui dire ça, parce que tu va encore plus vite tu sort complètement de lui pour y re rentrer a chaque fois, tu veux que sa soit encore plus destructeur, qu'il s'en souvienne et que toi aussi, que sa reste graver dans vos putain de mémoire. Tu lui dis ça parce que rien n'est plus vrai , que la force de lui en dire plus te manque et qu'au final tout se résumé dans cette phrase. T'as beau sourire, t'as beau jouer ce jeu du gosse parfais, tant qu'il n'est pas la t'es jamais vraiment toi meme, tu joue, encore et encore, tu t'fais du mal pour rien. Quand il est la meme si c'est douloureux tu te sens libre, tu brise tes chaînes, tu déploie tes ailes. Enfin.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Dim 28 Sep - 21:42
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Vous allez vous détruire, vous en êtes bien parti.Vous briser pour vous reconstruire ensuite. C'est comme ça que vous fonctionnait, depuis toujours. Vous êtes pour l'un et l'autre, la personne capable de vous faire le plus de mal. Vous vous connaissez trop bien pour qu'il en soit autrement. Vous avez chacun les moyens de vous briser, tu lui as mis entre les mains toutes les armes possible pour te démolir, pour te briser le coeur, pour te foutre en l'air et toi aussi tu sais quoi faire pour le broyer. Mais vous avez aussi tous les moyens pour vous reconstruire, pour vous faire revivre, pour vous faire vous sentir vivant, heureux, vous donner des ailes. Tu sais comment le rendre fou, l'énerver au plus haut point, lui faire péter un câble, lui sait aussi comment le faire pour toi. Votre relation est destructrice, pas forcément pour vous, mais aussi pour tout ce qui vous entoure. Vous êtes deux putains d'égoïste, enfermer dans votre monde depuis votre rencontre. Vous affrontez le monde ensemble, comme vous le pouvez, vous le faite voler en éclat, sans le vouloir, seulement parce que vous l'avez décidé.
Toi et Jonas, vous êtes fusionnel, destructeur l'un pour l'autre. Vous deux, c'est aussi violent que s'en est doux. En faite vous seriez tout à fait capable de vous balancer les plus belles choses qu'ils soient au monde tout en vous foutant sur la gueule. Toi, t'es accroc à cette violence qui vous caractérise, qui vous bousille et te fais péter un plomb qui te fais mal, mais te rends juste un peu plus vivants. Tu voulais quelques choses de beaux avec lui, tu sais que tu l'as, depuis des années. T'aurais voulu quelques choses de doux, mais tu sais que c'est pas vous. Tu sais que vous êtes capable de vous faire autant de bien que de mal, que vous avez besoin de vous faire du mal pour vous faire du bien. Tu sais qu'il ait la seul personne capable de te faire du mal. Qu'il l'a déjà fais et qu'il continuera à le faire, qu'il peut te briser, mais tu sais aussi qu'il est la seule personnes capable de te faire du bien, de te reconstruire et de te faire du bien. T'aurais voulu t'éloigner de lui par moment, le quitter, qu'il quitte ta vie. Vous en êtes tout simplement incapable. Attirés comme des aimants, vous revenez toujours l'un vers l'autre, vous êtes incapable de rester loin l'un de l'autre. Vous avez besoin d'être ensemble pour affronter la vie. Pour empêcher le monde de vous briser.
Et toi tu voudrais fuir ? Tu te ferais presque rire tiens... Tu voudrais le laisser lui qui est un peu comme ta vie. Ouais parce que si tu devais le lâcher, se serait comme lâcher ta vie, il est ta vie. C'est pathétique, mais tu le sais. Il est tout pour toi, absolument tout, ce qu'il y a de plus beau, de meilleure, mais aussi ce qu'il y a de plus douloureux.
Vos paroles, vos actes, vos gestes, représentent bien tout ce que vous êtes. Il te fait l'amour avec tellement de violence, plus de violence qui ne l'a jamais fais, s'il n'y avait que ses coups de reins, tu pourrais croire qu'il te hait, qu'il déverse sa haine pour toi de cette façon, mais tu le connais et toi non plus t'es pas en reste, t'as besoin de l'avoir cette violence. Ce soir t'as besoin de le sentir vraiment qu'il te fasse mal pour oublier tout le reste. Et puis il n'y a pas que cette violence, encore une fois il y a le mélange de vos gestes qui laissent paraître la douceur, quand vous vous embrassez, quand vous vous touchez, quand vous faites passé tout vos sentiments, toutes ces choses que vous êtes incapable de vous dire, par vos simples gestes, vous le faites comprendre à l'autre.
T'as mal, c'est violent, trop, tu sens déjà ton corps te supplier d'arrêter de le martyriser autant, d'être aussi violent avec. Mais tu t'en tapes, c'est trop bon pour l'arrêter, au contraire, t'en as voulu plus, t'as voulu qu'il soit aussi violent avec toi, tu lui hurles à quel point c'est bon, tu hurles aussi parce que t'as mal, mais putain, le plaisir est bien meilleur, bien plus gros. Tu veux oublier tout, juste encore un peu, ne plus sentir que ton corps qui te lance, ne sentir que Jonas et ses coups violent en toi. Tu veux que tes larmes viennent à cause de cette douleur, pas à cause de toutes tes peurs. Tu veux qu'il te démolisse, qu'il te brise, pour mieux te reconstruire avant. Pour te rendre vivant.
"T'es ce que j'ai de mieux dans la vie... Je veux juste pas te voir te briser..."
Tu sais pas par quelle miracle t'arrives à lui dire ça, parce que juste après tu hurles son prénom. Tu sais pas si tu hurles de plaisir ou de douleur, sûrement un peu des deux et la douleur et tellement bien qu'elle en devient presque un plaisir, elle te fait oublier tout le reste. Tu penses juste à Jonas, à tout l'amour que tu lui portes à ses coups qui te démolissent de l'intérieur. Tu sens juste sa violence, tu sens que tu vas pas tarder à craquer, à perdre pied pour la deuxième fois de la soirée. Mais tu veux pas, encore une fois t'essaies de te retenir, idiotement tu te dis que tu veux qu'il craque avant toi. Mais encore plus connement, t'as peur que tout s'arrête, t'as peur de l'état dans lequel tu vas te retrouver une fois que vous aurez terminé. Le sexe vous fait tout oublier, la violence vous fais perdre la tête, la douceur vous rassure. T'as pas envie que ça se termine, parce qu'en attendant t'as tout oublié pendant ces quelques minutes. T'as pas envie que tout te revienne en pleine gueule, même si t'auras toujours la douceur, t'auras aussi les peurs et ça te brisera juste un peu plus de la lire dans les yeux de ton meilleur ami.
u continue de crever d'peur, de vouloir tout envoyez valser, l'monde entier t'fou la trouille, et t'es la comme un con a trembler comme une feuille, a mettre ça sur l'dos du plaisir. Oui, t'en peux plus, oui c'est bon comme jamais, meme si c'est violent. Violent, il faut que se le soit, pour se sentir vivant avant de se sentir mourir, meme juste un peu, demain tu va morfler, demain tu va chialer comme un pauvre gamin qui ne comprend plus rien de ce qui se passe autours de lui. Demain tu va peut être regretter. Peut être. Tu n'en sais rien en réalité, tu sais juste que t'en peux plus, que ton corps va bientôt lâcher et que t'as aussi étais autant terrifié par le futur. Tu sais juste ça et pourtant dans ta pauvre cervelle, sa fait déjà trop d'information a traiter en meme temps.
Un soupir, un gémissement. Puis un cris. Tu gueule son nom, et sa tu tente de l’étouffé en t'emparant de ses lèvres. Même si c'est brut, meme si a l'heure actuel il n'y a aucune douceur dans tes gestes, sans que tu ne sache comment c'est beau, ce n'est ni doux ni tendre mais, tu ne peux pas dire que c'est juste violent. Tu deviens fou. Vraiment fou. Tu perd pied, tu ne contrôle plus rien, tout se qui se passe autours de toi t’échappe complètement. Tu le sens ce foutu sol se briser quand tu marche dessus, tu regarde la vie, et tu a juste envie d'lui dire que tu la déteste, lui dire merde, d'allez se faire foutre.
Tu va craquer, ton corps va céder. Mais, tu ne le veux pas. Pas encore putain, t'as pas la force de le regarder en face, de sortir d'ici, t'as pas encore la force d’être demain et d'un coup tu t'la prend dans la gueule cette putain de vérité. T'aura jamais la force d’être demain.
Tu devra l'affronter, tu devra lâchez ta haine a tes parents comme jamais, cette rage que t'a contenu pendant des années, demain tu leurs balancera ça la gueule en signe d'adieu. Un adieu. Sa fait toujours mal, sa reste, sa brise, Un souvenir aussi douloureux c'est comme goûter a la mort une faction de seconde un flash qui t'donne l'impression de t'prendre un coup dans l'ventre, assez fort pour que tu t’écroule, et que tu reste a terre comme un con.
Tu voudrais lui dire pardon, lui dire que tout ça c'est ta faute et non la sienne. T'aimerai lui dire que t'aurai jamais du le forcer a t'avouer quoi que se soit, qu'il t'aurai oublier, au moins de cette manière , il se serais surement trouver quelqu'un après tout. Tu imagine tout les scénarios possible, meme les plus douloureux , ceux ou t'es presque mort tellement t'en peux plus. T'imagine tout ça, en te disant que malgré tout il aurais étais heureux. Tu soupir, un gémissement de plus, rauque, sauvage, se perd dans cet pièce bien trop étroite, bien trop fragile. Sauf que ça n'est que reve, et t'es obliger de te confronter a la réalité , que tu le veuille ou non.
Lutte encore un peu. Sauf que les minutes passent, que t'es en sueur et que ton corps lâche tout simplement. C'est dans un dernier coup de rein que tu te libère en lui. Fou inconscient, pauvre con qui n'a pas grandis. Et ses mots, ses putains de mot t'pete le cœur quand tu craque, quand d'un coup tu te libère de lui, tu voudrais défaire ses chaînes. C'est impossible. Tes forces te quitte, et sans que tu t'y attende tu tombe a genoux. Ton visage se blottis dans tes main avant qu'il ne vienne se pencher en arrière.
C'est surréaliste. Irréel. mais c'est bien ce qui se passe. Un cris. La poitrine en avant, la tete en arrière, les bras ouvert comme pour accueillir le monde dans tes bras. Tu pousse un cris. Tu t'en fou que tout le monde t'entende, la tout de suite tu n'est meme plus humain. Seulement une boule de rage, une boule de haine. Qui revis. Tu cris, t'oublie Nils, t'oublie le monde, t'oublie demain, tu cris parce que sans ça tu crève. Tu cris tellement fort que t'as la sensation de réveiller les étoiles et de faire trembler la terre.
"Le lion viens de briser ses chaînes. Il remonte sur son trône et dans un rugissement hurle a la terre entière qu'il est prêt a se battre."
Nils Galbraith
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Lun 29 Sep - 16:56
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
ça n'a jamais été doux entre vous, jamais. Ils vous a toujours fallut cette violence pour tenir, pour vous supporter. Pourtant toi, t'es quelqu'un de doux et t'en as même besoin de l'être et de cette foutu douceur. Mais pas là, non là t'en as pas besoin. Là t'as juste besoin que ça te fasse mal, que ça te broie, t'as besoin de le sentir pour penser à ça et pas à autre chose. T'as juste besoin d'oublier toute la merde qui t'entoure, juste un peu et il est le seul qui peut te le permettre. Et vous faites la seule chose qui vous permet de tout oublier... un peu. Tu fais pas ça juste pour ça, non ! Tu couches pas avec lui juste pour oublier, pour plus penser, pour qu'il te fasse perdre la tête. Non, tu couches avec lui parce que tu l'aimes, parce que t'en crèves d'envie à chaque fois que tu te retrouves avec lui, parce que t'aimes ça. Mais là ce soir, l'envie d'oublier se rajoute au reste. Rendant la chose encore plus violente que ça ne l'est habituellement. Parce que vous en avez envie tout les deux de plus penser à rien, tu le sens dans les coups qu'il te donne que c'est pareil pour lui. Vous vous frappez pas pour passer vos nerfs, non vous couchez ensemble.
Ce soir, ça n'a rien à avoir avec les autres soirs. ça n'a jamais été doux entre vous. Même la première fois où il t'a fais l'amour, il a pas pris le temps d'être très longtemps doux. Les fois suivantes non plus d'ailleurs, mais t'as jamais eu à t'en plaindre parce que t'aimais ça. Mais t'aimais aussi cette violence mélangée à toute la tendresse qu'il pouvait y avoir entre vous. Là t'as rien de tout ça, ça pourrait te manquer, parce que t'as besoin d'être rassuré. Mais tu t'en fiches, parce que tu sais qu'il en est incapable à ce moment précis de penser à te rassurer et toi, t'es pas non plus capable de le faire pour lui. Alors l'espace de ce moment, il n'y a plus que la violence entre vous, même plus l'amour que tu lui portes. Y a que vos cris de plaisir, qui vous libères de toutes cette douleur.
T'es proche de la délivrance, tu voudrais pas que ça s'arrête, parce qu'après ça, il faudra que tu affrontes le reste. Mais t'en peux plus non plus, tu l'as réclamé cette violence, mais la douceur te manque aussi. Mais c'est bon, tu vas pas le nier, tu le laisses faire ce qu'il veut de toi, être aussi violent qu'il le veut, tu le laisses faire ce qu'il veut avec ton corps, tu te contentes de prendre ce qu'il te donne. De crier son nom, de gémir un peu plus fort à chacun de ces coups de reins. T'essaie de te contrôler autant que tu le peux, mais c'est impossible de te retenir plus longtemps, tu craques bien plus vite que tu ne l'aurais voulu, tu jouis au même moment que lui le fait en toi, tu cris, de plaisir ou de douleur, tu sais même plus. Et t'as même pas le temps de te remettre de ça, qu'il s'écarte de toi, qu'il te lâche et s'effondre. Mais tu t'effondre aussi sur le sol, parce que tes jambes ne sont plus capable de te tenir. Et tu lui en veux, tu sais pas pourquoi tu lui en veux de te lâcher, de même pas s'être assuré que t'allais pas tomber, de pas se soucier deux secondes de toi, mais tu lui en veux. Parce que t'as l'impression qu'il t'abandonne et ça te brise. Tu t'effondre vraiment et là tu le sens ton corps qui te fais mal, tu le sens vraiment.
T'as baissé la tête sur ton propre corps, les yeux fermés. Mais tu la relève vivement quand tu l'entends hurler comme un malade, quand tu l'entends sortir tout ce qu'il a sur le coeur de cette façon. Et toi ça termine de te foutre en l'air. Tu peux pas le voir aussi mal, t'en es incapable, t'es incapable de le voir souffrir quand tu peux rien faire. Alors tu craques, tu te relèves tant bien que mal. Tu sais pas par quel moyen t'y arrives, mais t'arrives à refoutre tes fringues aussi vite que l'éclair, même si tu laisses la moitié par terre, t'as au moins ton tee-shirt et ton pantalon sur toi. Et tu sors, pas des toilettes, de la cabine seulement. Et heureusement pour vous, il n'y a plus que vous dans les toilettes. Tu veux pas le laisser là, t'as juste besoin d'air, parce que t'es en train d'étouffer. Tu te sens crever. Tes jambes arrivent comme par miracle à te porter jusqu'au niveau du lavabo, mais tu t'effondre encore une fois à ses pieds. Tu te retrouves par terre, effondrer comme une merde. Tu pouvais pas rester dans cette putain de cabine, tu pouvais pas rester devant lui. Tu t'en veux trop pour ça, tu te sens pas capable de le regarder dans les yeux. Et puis tu craques, pas de la même façon que lui, non toi t'es larmes se mettent à couler le long de ton visage sans que t'en sois conscient. Tu t'en veux, tu te dégoûtes, c'est ta faute s'il est comme ça. C'est ta faute s'il est malheureux, toi qui voulais tout faire pour le rendre heureux, t'as fais tout l'inverse. T'es juste en train de foutre sa vie en l'air et t'es tellement lâches que t'as pas trouvé le courage de partir quand tu le pouvais encore. Tu t'en veux comme tu ne t'en ai jamais voulu. T'aurais du te taire quand il t'a menacé de partir ce fameux soir où tu lui as tout dis, t'aurais juste du le perdre au moins tu l'aurais sauvé de cette merde. Tu continus de te morfondre sur toi même, de t'en vouloir comme jamais, tu te recroquevilles sur toi-même, t'enroules tes bras autour de tes jambes que tu as replié contre ton torse et tu plonges ta tête entre elle. Tu t'en fous qu'on puisse te voir, autant que tu t'en fous qu'on ai pu t'entendre pendant que tu étais avec Jonas. Tu contrôles plus rien t'as perdu les pédales, t'as foutu sa vie en l'air. Tu te sens comme une merde et maintenant t'es juste incapable de l'affronter.
u hurle pour te sentir vivant parce que tu flanche, parce que t'es comme ça, parce que c'est ça ou pleurer pendants des heures. Tu le sais que quelque chose se brise en toi a ce moment précis, que tu grandis, d'un coup. Tu déchire ta chrysalide parce que t’étouffe dedans, tu n'a plus d'air, c'est une délivrance mais, une délivrance qui fait tellement mal que t'es a deux doigts de te dire que t'aurai préférer crever. Tu trembles. Tu voudrais tellement que se soit simple mais, sa ne l'est pas, sa ne le sera jamais entre vous. Vous êtes entrain de vous détruire, de vous arracher ses ailes qui ne peuvent plus vous porter, vous allez devoir être patient, prendre votre envol une deuxième fois face a la vie, ou mourir dans la chute.
Tu te tais. Tu le sais qu'il n'est plus la. Ton cœur se fend, ton cœur tombe en ruine lorsque tu t'le prend dans la gueule le fait de ne plus le voir face a toi. C'est trop dur a encaisser, tellement difficile affronter. Sauf que tu doit être fort ce n'est pas un choix a faire, c'est une obligation. Tu n'a pas deux chemin, tu ne peux pas fuir alors tu te redresse. Tu fais craquer ton dos, tes os font semblant de se briser. Il te faut quelques minutes, quatre, peut être cinq. Des simples minutes qui paraisse éternelle avant que tu ne te relève. Toi tu ne te rhabille pas, tu n'en a meme pas la force, la maigre énergie que contient encore ton être, tu t'en sert pour le protéger lui. Tu passe après. De toi tu n'en a rien a foutre désormais.
Tu te lève, tu t'en fou d’être nu, avec ou sans fringues tu aura toujours la sensation de l’être au final. Alors tu passe ta main sur la poignet et tu le voit. Il te tourne le dos. Tu le sais qu'il craque a son tour. Toi, tu ne t'en remet toujours pas, t'as meme plus de voix alors tu t’approche sans un bruit de lui. C'est dans un silence que tu pose ta main dans ses cheveux et que tu te met a genoux derrière lui. C'est sans un bruit que tu passe tes bras autours de sa taille et que tu pose ta tete sur son épaule. Tu ne dit rien pendant quelques minutes, tu veux juste qu'il comprenne que tu est la, que tu le sera toujours. Tu pose juste un baiser sur son épaule, un baiser si doux qu'a lui seul il te fou des frissons.
_ Nils … ne me fui pas ...
Son nom sort dans un souffle. Et c'est plus fort que toi, t'as besoin de le voir, de vraiment le voir, tu l'oblige a se tourner, au moins un peu. Tu prend son visage entre tes mains, et tu pose un baiser sur chaque partit de son visage comme si tu le re découvrais, tu sens ses larmes contres tes lèvres et ton cœur fini de se serrer.
_ je t'aime …
sa sort enfin, comme un combe dans ta vie, ses putains de mots voit enfin le jour, il naissent et se meurt alors dans un monde que tu ne comprend pas, il se perdent dans des larmes qui les accompagne ses foutus mots. Tu aurais voulus les contenir mais, tu n'y arrives tout simplement pas. Tu pleure, et tu respire a nouveau, un air redevenu pur. Tu n'aurai jamais cru arriver a lui dire mais, tu le sais que c'est le meilleur moment pour ça, qu'il en a besoin et que toi aussi finalement. T'es meme pas sur de pouvoir lui redire mais, désormais il le sais. Ce n'est pas un belle amour, c'est un amour qui fait mal, un amour destructeur mais, vital.
Tu le serres dans tes bras, ton corps est devenu gelé tu trembles encore comme jamais, ta peau colle a cause de la sueur, ton cerveau se perds dans ses questions toujours en suspend et ses songes qui font voler en éclat tout ce qui les entoure. Tu l'a toujours aimer. Depuis le premier jour. Ce dont tu a eu peur c'est d'un amour qui te donnais envie de vomir, celui que tu croise tout les jours, cet amour dégoulinant qui t'fais mal a la gorge. Non toi c'est tellement plus. C'est bien plus qu'un ami, qu'un amant ou qu'un amour, ce n'est meme pas tout ça a la fois. C'est un amour qui n'a pas de nom, pas de sens, un amour brutal, destructeur, cassant, un amour magistral. Qui fait mal, qui blesse, qui rend fou. Et cet amour la tu veux bien lui dire que tu l’éprouve pour lui, tu veux bien lui dire dans ses maigres mots qu'au final il est tout pour toi. L'amour, la rage, la peur, la haine, l'envie … Absolument tout.
Nils Galbraith
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Lun 29 Sep - 18:46
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Tu te sens vivant, tu préférerais te sentir mort. Et rien que cette pensée te donne envie de vomir. Parce que tu l'as voulu tout ça, tu l'as cherché. En te laissant tomber amoureux de ton meilleur ami, alors que tu savais que c'était la pire connerie à faire, en restant près de lui tout ce temps, alors que tu aurais mieux fais de fuir. En lui avouant tout, en revenant vers lui après en avoir été séparé pendant six jours qui ont eut l'air d'être l'éternité. En couchant avec lui, en lui disant que tu l'aimais, en couchant encore avec lui. En arrivant à lui donner envie que vous deux, se soit pas juste du cul, juste comme ça, en lui faisant assumer, au point qu'il se dise qu'il pouvait accepter de tout perdre. Tu l'as voulu tout ça, tu l'as eut. Tu t'es juste pas rendu compte des conséquences que ça pourrait avoir sur lui. Les mêmes que sur toi au final, mais toi tu t'en fous. Tu te dégoûtes de te dire que tu voudrais crever, que tu voudrais le laisser dans la merde que tu as toi-même créer. Tu t'en veux de vouloir le laisser. Et tu t'en veux aussi de ne pas être capable de le laisser. T'as voulu, mais t'as pas fais trois mètres que ton corps t'en as empêché, que ton cerveau a ordonné à tout tes membres de bouger et que tu t'es effondré.
Tu craques parce que t'en as besoin, parce que t'arrives plus à être fort. Parce qu'il se passe trop de choses dans ta tête pour qu'il te soit possible de tenir encore. Parce que si tu le fais pas, tu deviendrais fou. Toutes ces choses qui se bousculent dans ta tête, tes remords d'avoir entraîné Jonas dans ta merde, ta trouille de te retrouver face à vos parents, ton envie de partir, de le laisser, en sachant pertinemment que t'en es incapable de le laisser. Toutes ces choses qui sont en train de te bouffer le coeur.
Tu restes dans ton coin, tu penses plus à rien à part ce qui te bouffe, tu sens plus rien à part ton coeur lourds et tes larmes qui coulent sur ton visage. Et puis tu le sens... T'as l'impression que ton corps reprend vie au moment où il pose sa main dans tes cheveux, au moment où il se met à genoux derrière toi et passe ses bras autour de ta taille. Oui tu le sens à nouveau ce corps qui te fais mal à présent. Et Jonas, t'aimerais le repousser, l'écarter de toi et partir. Parce que t'estime que t'as pas le droit de craquer, que tu le mérites pas et que c'est certainement pas à lui de venir te réconforter, d'être là pour toi encore une fois. Mais tu le repousse pas non, à la place, tu recouvres ses mains posaient sur ton ventre des tiennes et tu te serres un peu plus contre lui. Parce que t'as besoin de lui et t'as besoin de cette douceur qu'il t'offre à ce moment là. Il te demande de ne pas fuir et tes larmes coulent juste un peu plus, parce que t'aimerais tellement ne pas vouloir fuir...
"Je peux pas... Jonas, je peux pas te voir comme ça, si... si mal et me dire que c'est ma faute... Je suis tellement désolé Jonas... J'en ai pas la force, je m'en veux tellement de te voir comme ça..."
Tu oses lui dire tout ça, tu sais pas vraiment comment. Tu te dis que c'est juste lui, qui te pousse à le faire, qu'il a même pas besoin de parler, de te demander de le faire, que sa présence suffit à elle même pour te faire lâcher tout ça. Il t'oblige à te retourner, tu t'exécutes sans opposer de résistance, tu ne le regardes pas pour autant. Tu fermes simplement les yeux lorsqu'il embrasse chaque partie de ton visage, tu profites de la sensation de ses lèvres sur ta peau, qui te donne l'impression de juste essayer d'effacer chacune de tes larmes. Tu te laisses aller, juste quelques secondes dans ses bras, t'as l'impression de perde consciences l'espace de quelques secondes...
Pourtant, ton esprit il reprend vite vie, tes yeux, tu les rouvres bien vite sous la surprise. Ton corps se fige, tes larmes s'arrête de couler quelques instants, ton cerveau se bloque, ton coeur se stop, tu penses plus à rien. T'as juste levé le regard vers lui et tu le plonges dans le siens. Sans même t'en rendre compte, t'as osé le regarder. Avec ce qu'il t'a dit, t'as pas pu faire autrement, parce que t'avais besoin de les voir ses yeux. Encore une fois t'avais besoin de voir si tu pouvais lire en eux, comme t'arrives à le faire si bien habituellement, t'as besoin de voir si tu y vois une once de mensonge où de regret quand il te sort ces trois mots. Ces trois mots que tu aurais tués pour entendre d'ailleurs, que tu crevais d'entendre de sa bouche et qu'il te soit destiné. Et il te les a dis... Pendant une seconde tu te demandes si tu les as pas juste rêvé. Mais non, il les a bien dit, t'en es sûr. Et le pauvre con que tu es ne sais même pas quoi en penser... Tu sais pas pourquoi il te dit ça, s'il te dit ça parce qu'il sait que t'en as besoin ou s'il le pense vraiment. T'en sais rien, mais t'as envie de croire qu'il les penses, parce que quand tu prends deux secondes pour y réfléchir, se serait pas si fou qu'il t'aime, qu'il te le dise oui, mais pas qu'il t'aime... Encore une fois, trop d'émotions se bousculent en toi, la joie, la peur, la tristesse, tout te rends fou.
Tu restes bouche bée et puis tu le vois craquer à son tour et là tu réagis enfin. Tu te retournes totalement pour te retrouver face à lui et à ton tour tu le serres aussi fort que tu le peux dans tes bras. Tu dis rien sur ce qu'il vient de te le dire, t'éprouves juste un immense bonheur qui part bien vite quand tu vois ses larmes. Tu sais pas s'il serait capable de te le répéter, alors tu le lui demandes pas, pas tout de suite. Non tu passes juste tes bras autour de lui, une de tes mains dans ses cheveux et l'autre dans son dos. Tu le sens trembler et tu t'aperçois seulement qu'il est nu, alors tu te serres un peu plus contre lui et tu le berces contre toi pour le calmer. Vous avez l'air malin vous deux, à pleurer après avoir gueuler, à être doux après avoir été si violent. Mais finalement ça vous ressemble rien toute cette rage mélangée à cette douceur.
Comment lui faire comprendre que meme si tu souffre, meme si t'as peur, tu arrives a te dire que tu n'a pas de regret, que sa fait un mal de chien la situation dans laquelle tu est mais que si c'est pour lui t'est milles fois prêt a l'accepter. Tout se passe trop vite malgré tout, alors tu ferme les yeux quelques instants, tes armes coulent de plus belle, tu craque mais, au final tu t'en fou, t'as aussi besoin de ça, de pouvoir dire que plus rien ne va , dire que t'es terrifié par le bié de ses larmes, parce que putain, qu'est ce que c'est vrai. Sauf que sa ne changera rien, absolument rien.
Tu le serres dans tes bras, il se retournes enfin et c'est comme une délivrance, tu ne veux pas qu'il te fui, tu ne veux pas avoir fait tout ça pour qu'il est envie ne serait ce qu’un peu de te dire adieu. Tu te souviens de toutes ses années, ses années a lui gueuler dessus, a lui dire les pires horreur, a pleurer dans ses bras et puis a le fait rire comme jamais, toute ses années douloureuse au final mais, que tu ne regrette pour rien au monde, alors tu te dit que demain sera pareil, qu'il sera difficile, sûrement le jour le plus atroce de ta vie mais, que quand tu le regardera de loin ce fameux jour tu n'aura pas de remord d'avoir fait ce que tu t’apprête a faire.
_ tais toi Nils … tais toi si c'est pour sous entendre que t'as envie de partir, si c'est pour me dire une nouvelle fois que t'es désolé … ne le soit pas bordel, jamais … j'aurai pas du craquer mais, j'en peux plus bébé, c'est … c'est dur , sa fait mal ce qu'on vit mais, c'est pour la bonne cause je …
Tu te bloque, tu est a bout de souffle ta voix est comme voilé, meurtrie par la douleurs et le chagrin. Tu le serres un peu plus contre toi, t'es a bout de force mais, tu doit encore résister, tu doit encore être la pour lui ce soir. Ne flanche pas meme si tu en a besoin, soutiens le. N'agis pas en égoïste Jonas, pour une fois soit quelqu'un de bien, prouve lui que tes mot ne sont pas des paroles en l'air, que oui tu l'aimes vraiment.
_ Je ne regrette pas le jour ou je t'es embrasser, le jour ou ont a fait l'amour pour la première fois tout les deux … meme si j'ai peur, quand t'es pas la, j'y pense et je souris comme un con, sa m'fou des frissons de tenir a toi comme ça Nils mais, ne m'en veux pas je t'en supplie … j'craquerai d'autres fois devant toi mais, j'serais fort aussi, je te le promet … j'ai peur, oui j'suis mort de trouille Nils sauf que je ne peux pas faire autrement …. demain je perdrais tout ce que je connais , tout ce que j'ai a part toi … mais, ne doute jamais, parce que tout ça je le veux, parce qu'entre mon monde et toi je t'es choisis … alors … ne doute pas une seule seconde que je tiens a toi … je ne t'en veux pas, t'y est pour rien bébé, ce n'est pas notre faute et sa ne la sera jamais … ont a juste choisis de vivre …
d'autres larmes vienne rejoindre les autres déjà présente sur tes joues, tu t'en veux de céder aussi facilement. Tu ne peux pas faire autrement. Sans ça tu te mettrai encore a crier ta haine envers le monde entier. Tu pose l'une de tes mains autours de sa taille tandis que l'autre viens doucement caresser ses cheveux.
_ tout va bien maintenant mon cœur … si tu veux attendre on le fera mais, sa ne changera rien … ont devra l'faire un jour ou l'autre, moi j'aimerai que sa soit le plus tôt possible mais, je ne veux rien t'imposer …
Oui toi tu veux que sa sorte, lâcher cette bombe dans ta famille, tout leurs dire et détruire ce qui t'entoure, tu le veux, parce que tu ne peux pas vivre avec ça en tete, en sachant que le compte a rebours est lancé et que ne pas savoir quand tout se déclenchera te fait encore plu peur. Ta voix deviens un peu plus clair, tu prend lors son visage dans tes mains et tu l'oblige a te regarder. Posant ton front contre le siens.
_ Et tu va arrêté tout de suite de croire que c'est ta faute … idiot va !
Tu t'empares de ses lèvres, le plus doucement possible, t'as peur qu'il fui, meme la tu en a encore peur. Qu'il décide de mettre fin a tout ça croyant que sa t'aidera. Tu fais tout ton possible pour lui faire comprendre que t'as besoin de lui et que meme si aujourd’hui tu est au plus mal, meme si demain sera un jour difficile , se n'est rien comparer a la peine que tu ressens lorsqu'il est loin de toi.
Nils Galbraith
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Lun 29 Sep - 20:20
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Tu continus de vouloir fuir, mais entre ce que tu veux et ce que tu es capable de faire, y a un fossé. Un fossé que t'es sûr de pas pouvoir franchir sans te casser amèrement la gueule. Parce que ouais, tu sais que si tu t'en vas, tu te casseras la gueule, tu sais que tu l'auras perdu et que tu ne seras plus rien. Parce qu'il est bien trop de choses pour toi depuis toutes ses années, que ta vie, ça fait un moment que tu la vois plus sans lui. Alors tu sais que si tu pars, tu crèves tout seul dans ton coin et t'es pas près à ça, tu te dis que c'est égoïste, mais non t'es pas près de crever, t'as besoin de vivre et donc de lui. T'as beau te dire que se serait mieux pour lui, qu'il se sentirait mal au début, mais qu'il finirait par s'en remettre. Tu sais que tu ne seras pas foutu de passer le pas de la porte de ces foutus chiottes sans lui. T'es pas encore prêt à lâcher tout ça et tu le seras peut-être jamais finalement.
Il te serre dans ses bras et t'es juste bien. Il a toujours su le faire ça, te réconforter... En faite, il sait te faire pleurer, te faire hurler de rage, comme de plaisir d'ailleurs, il sait te faire rire, te faire rougir, te faire dire les pires conneries et te réconforter, il le fait mieux que personnes, il est la seule personne qui arrive à le faire. Alors tu te serres un peu plus contre lui, t'as pas envie de le lâcher et ça, ça te ferais presque rire, quand paradoxalement t'aimerais fuir. Et puis tu l'écoutes t'engueuler comme un gamin de dix ans...
"Excuses-moi Jonas, je sais que c'est dégueulasse de sous entendre ça, que c'est lâche... Excuse-moi... J'arrive juste pas à m'empêcher de penser à tout ça, j'essaie vraiment, j'essaie depuis le début de m'enlever ça de la tête, mais là j'y arrive plus... J'arrive plus à me sortir ces conneries de la tête quand je te vois comme ça..."
T'essaies de te redresser un peu, t'aimerais être capable de les retenir tes mots, de le rassurer plutôt que de continuer de le faire flipper. Tu te rends comptes d'ailleurs que c'est sûrement ce que t'es en train de faire, que tu vas juste le rendre encore plus mal et tu te collerais des baffes d'agir comme ça. Il te réconforte et toi tu lui sors juste ça... T'essaies de te reprendre, parce que tu veux pas qu'il comprenne mal tes mots, qu'il pense que t'es en train de lui dire que tu vas le laisser.
"Je t'en voudrais jamais Jonas... Pas de craquer en tous cas, alors que je passe mon temps à le faire et que t'es toujours là pour moi... Fais le autant que t'en as besoin... Crois pas que ça va me faire fuir... Merde bébé, je suis désolé d'y avoir pensé... Je suis désolé d'avoir voulu te laisser, partir alors que t'es prêt à tout ça pour moi... Excuse moi d'avoir eut peur, de te laisser croire que c'est parce que tu craques que j'ai pensé à ça... C'est pas pour ça non ! Et t'es fort Jonas, crois pas le contraire ! Merde regardes tout ce que t'es prêt à faire... Je suis désolé, j'ai pas voulu partir parce que je t'aime pas, putain tout me fait crever chez toi... J'y ai pensé parce que ça me fait trop mal de te voir comme ça... Je sais que c'est normal... Mais je sais aussi tout ce qui va se passer par la suite et je veux pas ça pour toi ! J'ai juste pensé connement que je pouvais encore t'éviter toute cette merde... Parce que tu la mérites pas..."
Tes larmes continuent de couler, mais tu vois les siennes alors tu les oublis, tu prends doucement son visage entre tes mains et t'essuies doucement ses larmes, caressant ses joues. ça te fais mal de le voir comme ça, t'es prêt à le supporter quand il craque, c'est pas le problème, ses larmes te brise juste le coeur, arrivant à te faire regretter le sourire de petit con qu'il peut arborer par moment.
"Tu m'imposes rien Jonas... Si tu le veux, fais le le plus vite possible, je te suivrais... Parce que j'arrêterais pas d'avoir peur et je veux pas faire la plus grosse connerie de ma vie... Je veux pas te laisser croire que je pourrais t'abandonner et je ne veux pas non plus finir par me persuader que c'est la meilleure chose à faire... Si tu le veux vraiment ! Si t'es vraiment sûr que c'est ce que tu veux Jonas, fait le ! Je te suivrais mon amour, j'ai pas peur d'affronter ça... J'ai peur pour toi... Bordel, m'en veux pas bébé, je t'aime tellement..."
Ouais, s'il veut vraiment le dire, qu'il le fasse vite. Tu le laisseras faire, tu le suivras. Tu sais qu'après que se sera dit, t'auras plus envie de partir. Au contraire, tu resteras prés de lui pour le soutenir, tu seras plus capable de le quitter. Alors que si tu lui dis d'attendre, tu continueras à y penser et tu finiras peut être même par te persuader que c'est la bonne chose et tu veux pas. Tu veux pas réussir à te persuader de quitter la plus belle chose qu'il te soit arrivé ! Il t'oblige à le regarder et tu le fais, tu te perds dans ses yeux et t'es incapable de les lâcher maintenant.
"Je suis peut-être un idiot, mais toi tu es nu..."
Tu lui dis ça comme un gamin de dix ans qui se mettrait à bouder... C'est à ça que tu ressembles quand il se met limite à te faire la leçon... Il t'embrasse, tu le serres un peu plus contre toi. Comment tu pourrais être capable de lâcher tout ça, de lâcher l'effet que te procures ses baisers, ses mains sur toi, ses mots, tout ce qu'il te fait ressentir.
'as pas envie que tout s’arrête, parce que la pour le coup ton monde s’écroulerait vraiment. Alors que tu ne l'aurai pas voulu. Tu te rend compte que tu veux bien briser le monde entier, seulement si tu la choisi, tu veux bien te faire du mal mais, juste si c'est toi qui en a décider ainsi. Même si t'as peur, que tu flanches, tu essayes de contrôler un minimum ta vie . T'es pas franchement sur d'y arriver. Tu veux bien tout foutre en l'air, tu veux bien faire morfler ta famille et tout tes proches dans cette histoire tant qu'il reste la, tant qu'il fait face a ça avec toi.
_ je sais Nils, je sais a quel point c'est dur pour toi mais, fait moi confiance , je te promet que meme si sa sera dur demain .. je te promet que … que quand on regardera derrière nous on arrivera a se dire qu'on aura eu raison …
Oui tu t'le dit, tu te répète ça en boucle dans ta pauvre tete parce que t’es toujours aussi mort de trouille, tu continue de trembler, t'es gelé et pourtant tu transpire encore, tas des frissons qui te parcoure le dos, t'es dans un état pas possible qui te retourne le cerveau. Tu doit être fort, pour lui, pour Nils meme si c'est plus que compliquer. T'as toujours fui ce qui fait mal, t'as toujours esquiver les problèmes en face de toi. T'es doué pour ça, t'y a prit goût sauf que la tu ne peux tout simplement pas l'faire, tu doit te battre et tu ne sais pas comment t'y prendre.
_ Arrête de pensé a ça mon cœur, je ne peux pas te mentir et te dire que je vais bien, tu le sais que ce n'est pas le cas mais, ne t’inquiète pas autant pour moi, sa m'tue de te voir aussi mal ...je .. bordel j'ai meme pas de mot Nils, j'suis juste terroriser sauf que tout ça je le veux comme j'ai jamais voulu quelques chose parce que j'tiens a toi bien plus que tu ne peux l'imaginer, te le dire sa parais presque con parce qu'aucun mots ne peut décrire ce que je ressens pour toi … aucun mot n'est assez fort, assez beau et assez violent pour décrire la manière dont je t'aime … j'ai peur mais, plus tard on oubliera, on tentera en tout cas, bientôt on continuera de se moquer l'un de l'autre, on continuera de faire l'amour et de s'aimer de cet manière qui fait si mal mais, dont j'ai tellement besoin …
Tu devrais fermer ta gueule. Tout ça tu lui a dit et redit mais, c'est plus fort que toi, ses mots tu les vomis, tu t’étouffe si ils ne sorte pas, ils t'brule la gorge. Alors tu lui dit, tu le serres dans tes bras, bras qui eux aussi se mette a trembler a son contact.
_ Et moi j'ai peur pour toi, peur de te faire du mal, peur de ne pas te donner ce que tu mérite , d'agir comme un con encore une fois … alors si tu est prêt a le faire, a me suivre je le ferai, meme si j'vais perdre ma vie actuel, je m'en fou , demain j'veux avoir le courage de te donner ça meme si c'est douloureux, j'veux arriver a regarder mes parents en face et leurs dire que je les emmerdes, que si ils ne peuvent pas accepter que j'tiens a toi aussi comme ça, je suis prêt a leurs dire adieu …
Adieu … quel mot douloureux, destructeur. Un adieu on ne s'en remet jamais. T'en a jamais vraiment vécu, sauf un soir, t'as cru que t'avais perdu Nils et t'a failli sombrer, devenir l'ombre de toi meme. T'as tout perdu ce jour la, alors tu t'es accrochez a lui, quitte a faire la pus grosse connerie de toute ta vie. Lorsqu'il te sort ça tu souris, un sourire noyé dans tes larmes mais, un vrai sourire malgré tout. Tu caresse sa joue, tu le trouve beau et tu commence enfin a assumer ce fait.
_ … j'aurai presque oublier, heureusement que t'es la bébé … allez viens, lève toi, on va pas rester la comme des cons des heures …
tu l'embrasse et bordel c'est juste doux, ça et rien d'autre, c'est si beau que sa te surprend de pouvoir aussi être comme ça a certain moments. Tu te redresse un peu, non sans mal, tu lui tend la main une fois que tu t'es décoller de lui, tu te sens con, tu meurt de froid mais, tu tente de ne pas trop y pensé. Nils il te rend fou. Il a graver son nom dans ton cœur. De grande lettre a l'encre noir que rien ne serais faire partir.
Nils Galbraith
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mar 30 Sep - 14:55
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
ça t'énerverais presque qu'il te comprenne autant, que t'es même pas besoin de parler pour qu'il arrive à deviner ce que tu penses, ce que tu ressens, qu'il lise en toi comme un putain de livre ouvert. Il devine tout ce que t'as en tête et ça t'énerves, autant que ça te plait. Parce que t'aimes ça aussi, même si tu peux rien lui cacher, par moment c'est tellement bon de ne pas avoir besoin de parler, mais savoir, qu'il va comprendre quand même rien qu'en te regardant et qu'il va exactement savoir quoi faire, quoi dire pour te faire du bien. Savoir qu'il va exactement savoir faire ce qu'il faut. ça te plait, parce que ça te montre à quel point votre relation est fusionnelle et tu aimes ça. Tu vas pas mentir, t'aimes ce que vous êtes.
"Je te fais confiance Jonas... Bordel, si tu savais comme j'ai confiance en toi... Et je l'espère, vraiment, qu'on finira par se dire qu'on a bien fait, qu'on a eu raison... J'espère que TU continueras de croire que t'as eu raison..."
T'es toujours pas sûr de ce qu'il dit, t'es toujours pas sûr que vous avez raison de faire ça. Mais à ces mots tu t'y accroches et tu tentes de te persuader qu'il a raison. Et puis tu te dis aussi que de toutes manières, il aurait bien fallut y arriver à ça un jour, il le fallait bien que vous finissiez par affronter vos familles, à leur dire que vous deux, vous tenez l'un à l'autre bien plus que comme des amis. T'espères vraiment que vous faite le bon choix, qu'il fait le bon choix. Parce que oui, ce que tu espères surtout, c'est que lui continueras de se dire qu'il a eut raison de faire ça. Toi, tu sais que d'une manière ou d'une autre tu l'aurais fais.
"Me demande pas l'impossible Jonas... J'ai jamais arrêté de m'inquiéter pour toi depuis que je te connais, pour tout... J'ai jamais pu m'en empêcher, tout simplement parce que je tiens à toi et que j'ai jamais pu m'empêcher de me sentir mal quand je te voyais mal, alors imagine aujourd'hui... Je me sens bien que quand je sais que ça va pour toi... Alors là, je peux pas m'empêcher d'avoir mal... Excuses-moi mon amour. Tu me le jures ? Merde... c'est d'un niais, mais jures moi que ça va pas nous séparer tout ça, au contraire.. Que même si c'est dur, on arrivera à garder tout ce qu'on a ? Qu'on arrivera à oublier et qu'enfin on pourra vivre, vraiment ! Sans continuer à se pourrir à cause de ces conneries. Bébé, je veux vivre, vraiment ! J'en ai marre de tout ça, je veux vivre vraiment être libéré de ces chaînes et vivre tout ce que j'ai à vivre avec toi... "
ça te rends un peu plus fort ce qu'il te dit. Il sait les mots qu'il doit utiliser pour te faire du bien, à vrai dire tu sais même pas s'il y réfléchit, il te donne juste l'impression de marcher sur auto-pilote quand il s'agit de te parler. Qu'il a pas besoin de réfléchir à ses mots, qu'il te les sorts et que ça fonctionne et c'est tout. Mais à vrai dire, encore une fois, y en a que trois que tu retiens vraiment "je t'aime" c'est les seuls mots que t'entends vraiment. Parce que tu les as tellement attendu, que tu peux pas passer à côté, que t'as envie qu'ils raisonnent dans ta tête. C'est ça, qui te fait aller mieux, c'est ça qui arrive à te calmer.
"N'est pas peur de ça mon coeur... Merde, tu es tout ce que je veux, tout. T'es mon meilleur ami depuis toutes ses années et depuis toutes ces années, les meilleurs moments de ma vie, c'est avec toi que je les ai vécu. Je suis tombé amoureux de toi, parce que t'es absolument tout ce que j'aime ! Et ne profite pas de ce que je vais te dire, mais même tes foutus défauts je les adores et je m'en passerais pour rien au monde ! Jonas, tu me donnes tellement déjà... Mais je te suivrais peu importe ce que ça me coûte... Parce que j'ai pas peur de dire à mes parents à quel point je tiens à toi... Et merde, s'ils sont pas foutu de comprendre, c'est qu'ils sont vraiment aveugles, parce que ça fais des années que tu es tout pour moi, s'ils sont incapable de le comprendre tant pis... Je crois que je suis capable de devoir leur dire adieu pour toi, mais certainement pas te dire adieu pour eux... pour qui que se soit d'ailleurs..."
Malgré tout, dans le fond, dans un monde parfait, t'espères que t'auras pas à leur dire adieu. Parce qu'ils restent tes parents, parce que même si t'acceptes pas ce qu'ils pensent, surtout ta mère, tu les aimes, ils t'ont élevés et tu tiens à eux... Mais tu te dis que Jonas, c'est rien à côté d'eux... Ouais, t'as même pas besoin de réfléchir deux secondes pour le savoir ça. T'as pas menti quand tu dis qu'il est tout pour toi. Il pourrait remplacer tout ce que tu vas perdre, mais rien ne pourrait le remplacer lui.
"Ok... Et s'il te plait, habille toi avant que quelqu'un arrive, j'ai pas envie que quelqu'un puisse te voir à poil..."
Tu lui souris, la peau de tes joues te tirent à cause des larmes séchés sur tes joues. Mais tu souris quand même et tu attrapes sa main pour pouvoir te relever. Et c'est à ce moment précis, que tu ressens à quel point il y a été fort tout à l'heure. En te levant, le gémissement de douleur qui quitte ta bouche à cause de certaines parties de ton corps qui te lancent, t'arrive pas à le retenir. Tu te retrouves debout, sur tes jambes qui chancellent quelques secondes, tu te tiens à lui avant d'être sûr de pouvoir tenir debout et ça te donne envie de rire, c'est contradictoire avec ton état actuelle. Mais t'as envie de rire, parce que t'as l'impression qu'on t'es passé dessus et finalement c'est pas totalement faux. Mais tu gardes bien ça pour toi, parce qu'il serait bien trop content de savoir dans quel état il a réussit à te mettre. Tu te contentes alors de le regarder, tu le trouves beau, t'essuies les quelques larmes encore sur ses joues et tu l'embrasses encore une fois.
'est a fleur de peau, violent, destructeur mais, c'est comme une malédiction, tu ne peux pas t'en échapper, sa te poursuis. Nils c'est l'age et le démon sur ton épaule, celui qui te pousse a faire quelques chose de bien, de vraiment bien sauf que cette chose en question elle fait aussi du mal autours de toi. Sa détruit tout sur son passage cet amour. T'aimerai te dire que t'es pas aussi dépendant que ça mais, plus tu souhaite ce genre de chose, plus tu t'rend compte que c'est trop tard. Depuis qu'il est venu te voir ce fameux jours quand t'était gamin, tout a basculer. Il est entrer dans ta vie et il n'en sortira plus jamais.
_ bébé … crois pas que j'tente de me persuader de quoi que se soit pour te faire plaisir, crois pas que j'te dit tout ça juste pour faire jolie … je ne regrette pas de tenir a toi, je ne regrette pas de l'assumer et meme si pour ça j'doit dire adieux a mes proches … je te l'est déjà dit que pour toi j'ferai valser l'monde entier, alors c'est ce que je vais faire, demain je le ferai … et meme si j'aurai la trouille je ne flancherai pas , j'en est pas l'droit d'ailleurs … demain je le dirai parce que j'en est besoin, parce que je n'est pas envie de me cacher et de finalement avoir honte de ce que je vie avec toi …
Tu le rassurer comme tu le peux, t'es pas forcement doué en général pour ce genre de chose mais, connement avec lui si. Tu le connais autant qu'il te connais, c'est fusionnel, passionné, s'en est presque flippant d'ailleurs. Tu ne peux pas le lâcher, c'est un amour égoïste, un amour violent, brutal, un amour qui donne envie de se tirer une balle parce que vivre comme ça, se sentir vraiment vivant en réalité sa ou des frissons qu'on ne contrôle pas. Vivre sa fait peut être meme plus peur que de mourir quand t'y pense.
_ je te le jure Nils … je te le promet que sa ne changera en rien comment je serai avec toi , et oui bébé meme si c'est niais de te dire ça je le sais, je fera tout pour que rien ne change , pour que ses cons ne nous empêches pas de vivre comme ont l'entend. Ce qui me tue c'est de faire enfin quelque chose de beau dans ma vie et que bien que j'ai merder toute ma vie, que j'ai fait les pires conneries possibles, ce qui est le plus monstrueux aux yeux de mes géniteurs c'est ça .. alors qu'on a rien fait de mal, absolument rien et rien qu'en me disant ça je le sais qu'on va les briser nos putains de chaînes …
tu te dit que Nils lui, peut être que ses parents l'accepterons, au moins un peu, peut être son père, peut être au moins lui. Toi tu le sais que c'est mort d'avance, que tu perd tout. Ta mère il ne faut meme pas y penser, elle est soumise a en crever et peut importe son opinion seul celui de ton paternel compte et tu le sais très bien que pour lui c'est contre nature ce que tu fais avec Nils. C'est digne de bête de foire comme il le dit si bien ce pauvre con.
_ D'accord bébé … c'est fou quand meme, y a que toi qui a l'droit d'me voir a poil maintenant !
Tu souris meme si c'est dur a faire la tout de suite. Tu pense a toutes ses filles que t'as sauter, et tu aurais presque envie de te marrer, parce qu'il y si peu de temps finalement, tu n'aurai jamais cru, meme pas une seconde, une chose pareil et surtout avec Nils. Tu le porte, tu le soutiens, t'es épuisé mais, tes dernières forces te serve a ça. Tu le sens trembler, tu le voit bien qu'il a du mal rien que pour tenir debout, alors tu l'aide comme tu le peux, allant jusqu'au chiotte ou vous venez … de faire l'amour il y a quelques minutes. Tu ne le lâche que pour te rhabiller. Tes gestes sont lent, faible, t'as l'impression de mettre des heures pour être enfin dans une tenu décente. Et puis tu regarde autours de toi. Non mais tu regarde VRAIMENT autours de toi et t'as un fou rire incontrôlable qui te prend c'est sûrement aussi nerveux mais, bordel tu ne tiens pas face a la scène.
_ Putain bébé ! Les femmes de ménages vont nous détester sur dix générations !
Tu ris parce que sans ça tu t'effondre encore. Et puis c'est vrai après tout. Vous en avais foutu partout, n'ayant pas chercher a voir ou vous vous êtes libérer juste avant. L'une des paroi aussi en a pris un coup, tu remarque meme une fissure qui viens de s'y créer. Tu te rapproche de lui, ton sourire ne te quitte pas, t'en a trop besoin pour avancer. Puis tu pose tes mains sur sa taille avant de l'embrasser avec une douceur infini.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mar 30 Sep - 16:41
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Jonas et toi, au bord d'un faussé, vous vous entraînez l'un et l'autre dans votre chute. Vous tombez ensemble quoi qu'il arrive, vous sombrez tout les deux. S'il va mal, tu vas mal, s'il fait une connerie, tu le suis, si tu veux quelques choses, il le fait. Ouais, vous êtes tous les deux au bord d'un faussé et vous vous apprêtez à sauter. Tu l'as entraîné dans cette merde que sont tes foutus sentiments, il t'entraîne à les assumer devant tes parents. Ouais, vous vous trouvez devant un faussé, vous allez sauté, mais t'espères que vos ailes vont se déployer et que vous allez réussir à voler. Parce que vous le méritez de vous envolez.
"Moi non plus j'ai pas envie d'avoir honte d'être avec toi, parce que c'est très loin d'être le cas... J'ai... J'ai plus honte d'être fou de toi, j'ai plus honte de ce que je ressens pour toi et j'aurai pas honte de le montrer à tout le monde, même à mes parents. Je m'en fou de ce qu'ils pourront penser, je veux qu'ils sachent à quel point je tiens à toi et à quel point je suis heureux de t'avoir dans ma vie... Je m'en fiche bien de ce qu'ils pourront penser ! Je peux tout perdre, sauf toi... Parce que tu pourras remplacer tout le reste, mais rien pourra te remplacer !"
T'es niais à en crever quand vous vous lancez dans de longs discourt... Non plutôt tu lui dis ce qui est vrai à tes yeux, ce que tu ressens vraiment pour lui. Et c'est juste beau... Parce que même si un amour comme le votre, ça fait mal à en crever. Parce que vous êtes capable de vous détruire, de vous faire mal à en crever. ça reste beau, parce que vous vous aimez, vous vous connaissez par coeur, vous vous supportez depuis tellement de temps, que ça n'a rien de banal, ça ne peut pas être autre chose que beau, même si ça fait mal. Mais l'amour fait mal, alors quand c'est vous deux... C'est encore pire.
"C'est eux qui devraient avoir honte s'ils sont pas capable d'accepter que leur gosse veulent juste être heureux... Faire ce qu'ils veulent ! Pas nous, t'as raison on fait rien de mal, on est juste en train de vivre comme on en a envie... Peut importe les conneries qu'on fera... On les fera ensemble, comme on l'a toujours fais et tant pis s'ils ne sont pas capable de l'admettre ! Je t'aime et j'en ai pas honte et ils peuvent me dire tout ce qu'ils veulent, ça ne sera jamais le cas ! Parce que leur bourrage de crâne, il n'a jamais marché pendant toutes ses années, c'est pas maintenant que j'ai la chance de t'avoir avec moi que ça va changer..."
T'espères au fond de toi que tes parents pourraient accepter, ou du moins ne pas totalement te rejeter. Mais tu sais que tu crois juste au père noël en te disant ça. Ta mère, elle acceptera jamais, pour elle, tu seras juste un monstre de plus. Tu la vois déjà supplier dieu de lui dire ce qu'elle a fait de mal pour que ces gosses finissent aussi mal... Pour ton père, t'as un peu plus d'espoir, parce que ta soeur qui c'est barré avec un type à l'opposé extrême de ce que tes parents voulaient pour elle, il a continuait à la soutenir. Mais toi t'es à un cran au dessus, alors tu sais vraiment pas s'il pourrait l'accepter et puis surtout. Contrairement aux parents de Jonas, toi c'est ton père qui ferme sa gueule et ta mère qui parle. Ton père, il se contente de vous aider, de vous soutenir dans l'ombre, mais il s'opposera jamais à ce que dira ta mère.
"Oui bah je trouve que déjà assez de monde t'as vu à poil, alors c'est pas la peine d'en rajouter..."
Tu lèves les yeux au ciel. Merde, t'es pas jaloux normalement... Bon ok, peut-être un peu en faite. Parce que ça t'énerves de te rappeler de toutes ces filles qui ont eut l'occasion de coucher avec Jonas et de le voir à poil aussi. ça t'énerves ouais, plus qu'avant, parce que même si t'aimais pas, tu supportais, parce que tu te disais que tu n'aurais jamais la chance de l'avoir comme ça pour toi un jour. Mais maintenant, t'acceptes juste pas d'entendre que t'es pas le premier à l'avoir, comme un con t'es jaloux et que quelqu'un ne vienne surtout pas te le rappeler, parce que ça aurait certainement le don de t'énerver ! Tu le suis avec difficulté jusqu'à l'entrée de la cabine où vous avez passé un long moment. Tes jambes te tiennent, mais ton corps tu le sens, putain il n'y est pas allé de mains morte sur toi, mais bon, t'as que ta bouche à fermer, parce que tu l'as réclamé. Tu te poses sur l'encadrement de la pièce, tu le regardes s'habiller. Autant profiter de la vue, il est long comme c'est pas permis alors tu te rinces l'oeil, t'aurais tord de t'en priver ! Et puis toi aussi tu regardes l'état de la cabine et tu te sens juste honteux. Tu gémis et tu fous ton visage dans tes mains.
"Oh non merde les pauvres... Putain Jo', je crois que t'auras réussi ton coup, je vais jamais pouvoir sortir de là sans me sentir con..."
Tu soupires, mais tu peux pas t'empêcher de rire à ton tour. Après tout, il te l'avait dit plus tôt qu'il voulait que tu hurles si fort que t'en ais honte de sortir de ces foutus chiotte, dans un sens, c'est un peu parie gagné pour lui... Tu continus de sourire et tu le regardes en passant ta mains dans tes cheveux et tu remarques qu'ils sont dans un état désastreux, collé entre eux... Et tu te rappelles d'un petit détails, juste avant qu'il te fasse l'amour.
"Putain Jo', moi aussi je vais te détester sur dix générations... T'as pas trouvé mieux que de t'essuyer dans mes cheveux..."
Tu lui lances un regard noir, mais ton sourire te trahis. T'arrives pas à t'empêcher de sourire quand il s'approche de toi, qu'il pose ses mains sur ta taille et qu'il t'embrasse de la manière la plus douce qu'il soit. Tu souris contre ses lèvres, prolonges le baiser et passe tes bras autour de son cou pour le rapprocher un peu de toi. Tu t'écartes finalement après un moment, seulement lorsque t'as besoin de reprendre ta respiration. Tu l'embrasses sur la joue et tu lui souris.
'as eu honte. Tellement honte au début. Honte de ne pas avoir vue que ton meilleure pote était amoureux de toi, honte de ce que tu lui a infliger quand t'as compris. T'as honte d'avoir eu honte , tellement que tout les soirs t'en pouvais plus, que tu pensais a lui, que t'avais envie de lui mais, rien que cette pensé t'obliger a passé une nuit blanche a tourner tout ça dans ta tete, encore et encore, a te ronger les nerfs. T'en pouvais plus d'avoir ses foutus pensées, d'voir que tu ressentais tout ça et que connement tu te disais que t'en avais pas le droit, que c'était quelque chose d'horrible, de tout simplement dégueulasse. Jusqu’à ce que tu te souvienne que ses discours la n'était pas les tiens mais, ceux de tes parents. Et surtout que Nils ne t'as jamais dégoûter et tu ne veux jamais que se soit le cas. Parce que tu tiens a lui, et que t'as craquer, t'as arrêté de te prendre la tete parce que dans la fond quand t'es avec lui t'es juste bien. Peu importe si c'est un mec que tu embrasse, a qui tu fais l'amour, t'en a rien a foutre de te dire que la personne que t'aimes est un homme.
_ je veux juste assumer, faire comme si s’étaie simple meme si ça ne l'est pas … j'ai envie de me dire que plus tard sa le sera, peut être qu'on se fera emmerder par des cons, par des gens comme nos parents aussi mais, j'en est rien a foutre parce que t'es la … et .. t'as raison mon cœur, milles fois raison que dans cette histoire ont ne devrais meme pas avoir honte moi la seule chose qui me dégoûte c'est de ne rien avoir vue pendant toutes ses années et me dire que t'as souffert en silence …
Oui ça par contre sa te pète le cœur, de savoir qu'il affronter ça tout seul, ces putains de discourt que meme toi tu pouvais tenir a certains moments. Oui meme toi tu lui a fait un mal de chien avec tes blagues a la con et tout ça sans en avoir conscience, si tu t'en veux bien de quelque chose c'est de ça. Pas d'avoir accepter ce qu'il est , ce que tu est aussi parce que tu ne peux pas te mentir t'aimes aussi les mecs. Quoi que. Peut être que t'aime juste les gens que tu doit aimer, tu t'en fou bien de ce qu'ils ont entre les jambes désormais. Tu le regarde, tu le sais qu'il est jaloux quand il te sort ça, t'hésite a sourire ou a faire une mine triste, au final tu fait un mélange des deux donnant un résultat un peu étrange, mignon aussi meme si t'as du mal a savoir pourquoi.
_ hé bébé fait pas c'te tete ! M'dit pas que t'es jaloux des filles que j'me suis fait avant d’être avec toi quand meme ?
Bon en fait tu le sais que c'est ça mais, tu le provoques un peu, tu trouve ça con qu'il le pense en réalité alors tu lui fait comprendre meme si c'est quand meme sous le ton du l'humour. Enfin au final, le rires prend plus de place que les larmes. C'est devenu vital.
_ Ho non moi j'trouve juste ça marrant, j'aimerai bien filmer leurs tete quand elle tomberons sur cette scène incroyable !
Le pire c'est que c'est vrai. Tu restes un petit emmerdeur quand tu t'y met, tu joue , et tu provoque ton monde. Toi sa t'fait juste rire d'assister a ça, d'voir l'état dans lequel vous avait foutu ses chiottes. Étrangement t'aura meme pas honte de sortir d'ici, meme pas un peu, tu le sais. Le regard de gens que tu ne connais pas t'importe peu par contre si le pote de Nils est encore la tu compte bien le chercher du regard rien que pour voir sa tete en regardant son pote. T'es sur que cette tete si tu la voit, elle va rester graver dans ta mémoire pour un bon bout de temps. Tu ris de plus belle lorsqu'il te sort ça parce que sur le coup, quand tu la fait t'y a pas vraiment pensé.
_ ben non désolé mon cœur j'ai pas trouvé mieux ! Mais, c'est pas grave, t'as tellement de cheveux que sa s'voit meme pas !
Tu lui sort ça lorsque tu rond ton baiser avant de passe ta main dans ses cheveux, tu sens vite fait l'endroit ou c'est un peu coller et ton sourire ne fait que grandir a ce moment. Ou tu te fou de sa gueule mais, c'est trop tentenat pour resister.
_ Moi aussi, … ont y va … ?
Sortir de ses putains de chiottes. T'espere quand meme que la musique a étais assez forte pour cacher la plupart des moments que vous avais passez ici. Que tout l'bar ne soit pas au courant quand meme. T'aimes bien avoir tout les regards sur toi mais, la pour le coup tu t'en passerai bien.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mer 1 Oct - 5:13
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
ça te fais mal de savoir qu'il s'en veut, qu'il a honte pour ça, pour n'avoir rien du des sentiments que tu pouvais avoir envers lui. Tu sais qu'il a pas à s'en vouloir. T'as tout fais pour qu'il puisse pas le voir de toute façon, tu as même tout fait pour ne pas le voir toi. Pendant longtemps t'as préféré te dire que si tu ressentais autant de chose quand il était là, quand tu pensais à lui, c'était uniquement parce que tu tenais vraiment à lui et que t'avais encore jamais eut l'occasion de rencontrer quelqu'un d'autre qui vaille le coup que tu t'y attaches autant. T'as mis du temps avant de comprendre que tu pourrais pas tenir à quelqu'un d'autre comme tu tiens à lui aussi facilement, simplement parce que tu l'aimais. Tu prends son visage entre tes mains, délicatement et tu le regardes le plus sérieusement du monde.
"N'ais pas honte de ça bébé... J'ai tout fais pour que tu ne puisses pas le voir jusqu'à... jusqu'à ce que tu finisses par me faire craquer. Je voulais pas que tu le saches, alors t'en veux pas de ne pas l'avoir vu et moi non plus je voulais pas le voir de toutes façons... J'ai bien été obligé de me faire une raison, mais crois-moi, je voulais pas l'admettre, parce que j'avais trop honte ! Vraiment Jonas, oublie ça, tu n'y es pour rien... Oublie ça !"
T'essayes un minimum de peser tes mots, d'y réfléchir un minimum, parce que la soirée où il a appris que tu l'aimais, elle reste difficile pour toi, pas vraiment l'un des meilleurs souvenirs de ta vie, loin de là même, rien ne s'est passé comme tu l'aurais voulu et t'as toujours du mal quand t'y repenses, même si c'est du passé. Parce que ouais, ses réflexions, que t'avais beau déjà avoir entendus un paquet de fois et ses gestes, t'as bien cru que ça allait terminer de te bousiller. Mais ça ne l'a pas fais, t'as bien cru que tu serais incapable de lui excuser tout ça, mais tu l'as fais, parce que depuis il a fait bien mieux !
"Je ne suis pas jaloux... Tu te fais qui tu veux... Enfin non ! Oh et puis merde..."
Tu croises les bras sur ton torses, tu te mets à bafouiller et à t'embrouiller comme un gamin. Là t'atteint un niveau de crédibilité bien plus bas que zéro. Tu rougis comme un idiot et tu détournes le regard. Ok t'aimes pas vraiment te rappeler le nombre incalculable de fille avec qui il a pu coucher... Mais bon t'as quand même finit par te faire une raison et puis tu t'accroches un peu au fait que toutes ces filles, elles ont jamais eut ce que toi tu as avec lui. Et ça, ça te fais plaisir, t'aimerais même bien aller leur dire à certaines, parce qu'il y en, qui t'ont énervé plus que d'autres... Tu te souviens très bien de celle qu'était venue te voir pour savoir si tu pouvais lui donner le numéro de ton meilleur ami et que t'avais envoyé chier comme une merde, avant de te dire avec un large sourire qu'elle au moins, elle aurait toujours plus de chances de coucher avec encore, alors que toi, ça ne se ferait jamais...
"T'es vraiment un monstre... T'étonnes pas si les générations qui vont te suivre on la poisse, se sera entièrement à cause de toi, qui aura tellement été maudit..."
Tu vois qu'il est plutôt fière de lui et t'essaies de prendre un air sévère toi, mais tu n'y arrives pas, son petit air d'emmerdeur collé sur son visage, même ça, ça te fais craquer. T'essaies juste de le cacher un minimum, parce que merde, même si quand il est comme ça, t'es fou de lui, t'as plus qu'à creuser ta tombe...
"Je te détestes un peu quand même là tout de suite !"
Tu le regardes en souriant et tu repasses ta main dans tes cheveux pour essayer de te recoiffer un peu. Ouais parce qu'en plus de ça, t'as l'air complètement débraillé, tu ressembles plus à rien, t'as du mal à faire un mouvement sans faire la grimace à cause de toutes les courbatures que tu peux avoir. Bref, si on s'attarde deux secondes sur ton allures, on a aucun mal à deviner ce que tu viens de faire et surtout comment tu viens de le faire... Alors en te dirigeant vers la porte, le miroir, tu l'évites soigneusement, pas que tu te trouves moches, juste que tu n'as pas envie de constater que c'est marqué "viens de se faire sauter correctement dans les toilettes" sur ton front.
"On y va, ouais..."
Tu l'entraînes avec toi vers la sortie, t'as pas trop envie d'y réfléchir longtemps à si on vous a entendu ou pas, parce que tu sais que sinon, tu vas rester dans ces chiottes encore un long moment. Alors la porte tu la pousses et t'es content de voir qu'il y a toujours autant de monde et surtout que la musique est toujours aussi forte. T'espère du fond du coeur qu'elle ne s'est pas arrêtée au moment où t'étais en train de gueuler à Jonas d'y aller plus fort...
'est plus fort que toi, tu t'en veux de lui avoir infliger tout ça. meme si il a tenter de tout te cacher pendant tout ce temps tu voudrais te foutre des baffes d'avoir étais aveugle a ce point, t'avais tellement peur de ce genre de chose que t'as meme pas imagier une seule seconde qu'il pouvais etre gay. sa t'fou la tête en vrac. T'es qu'un pauvre con quand tu t'y met, quand tu repense a cette nuit ou il t'as tout avouer, absolument tout et que tu te dit que face a ça t'as juste décider de lui faire encore plus de mal, de finir de la détruire alors qu'il n'en pouvais déjà plus toute ses années. Tu la provoquer bien plus que tu ne l'a jamais fait t'as étais trop loin cette foutu nuit et meme si tu voudrais faire comme si de rien n'était, juste oublier, meme si tu le veux plus que tout t'en est incapable.
_ Oui mais .. j'aurai du le voir et j'aurai du comprendre, ne pas t'infliger tout ça quand j'ai compris .. bordel ... j'ai jamais vraiment aimer mes parents mais, me dire qu'il nous force a souffrir autant, je crois que je ne pourrais jamais les porter dans mon cœur, meme pas un minimum ...
Ces discours, c'est a ça et seulement a ça que t'a pensais quand il t'as tout avouer. Quel connard bordel. Quel pauvre con d'y avoir cru, meme si ce n'étais pas tes mots, tes phrases, il ont tellement tourner en boucle dans ta vie que tu t'es persuader du contraire ,tellement de temps que meme encore aujourd'hui t'as du mal a t'y faire. Quand tu la toucher, vraiment toucher, que tu lui a fait l'amour pour la première fois t'as plus pu te regarder dans un miroir pendants des jours, comme pour te dépersonnalisé, comme pour te dire que ce n'étais pas vraiment toi qui avais fait ça.
_ Comment t'es jaloux en fait , un truc de taré ! Mais, c'est pas grave t'es mignon comme ça j'te pardonne ! .. et .. juste comme ça, t'en a conscience quand meme que je sauterai personne d'autre que toi ?
Tu lui souris amusé, tu le provoque une fois de plus, gentiment malgré tout, t'as pas envie de t'épuiser non plus. Connement en ce moment, t'a beau continuer de regarder le cul des trois quarts des filles qui passe devant toi, t'as pas envie de te les faire, t'as juste envie de Nils désormais et t’espère vraiment que sa durera le plus longtemps possible parce que le bousiller avec une connerie pareil c'est la dernière chose que tu souhaite.
_ Ouais j'sais mais, j'aime bien l’être ! Et ... p'tain j’espère pas quand meme, sa serais pas cool si j'ai des gosses un jour !
Oui t'aimes bien jouer au con, provoquer et emmerder ton petit monde, c'est plus fort que toi. Le coup des gosses, c'est un peu une provocation de plus, au final si t'es avec lui c'est sur que t'en aura pas. Quoi que. On sais jamais y a toujours l’adoption. Tu pense a ça jusqu'a ce que tu réalise que tu parle quand meme d'enfants. C'est truc que tu trouve juste con au possible. Connement tu te demande si lui il aimerai en avoir un jour. Tu secoue la tête pour te sortir cette idée de ton esprit.
_ Mais non voyons, et puis t'en sais rien, c'est peu etre une sorte de gel miracle, peu etre que demain t'aura des cheveux aussi soyeux que ceux d'une princesse Disney !
Tu éclate de rire comme un idiot.Tu remet un peu mieux tes fringues au passage, c'est asse flagrant ce que tu viens de faire mais, tu t'en fou, tu sais qu'a ce genre de soirée c'est un peu chacun pour sa gueule, juste deux trois couillons aurons le temps de vraiment se rendre compte de quelque chose. Et puis tu regarde Nils, qui fui carrément son image dans le miroir et sa te fais sourires a nouveau.
Tu le suis sans un bruit, les mains dans les poches, ton haut un peu déchirer et tes cheveux en bataille te trahisse, t'en a plus que conscience mais, t'en a rien a foutre. Tu prend meme Nils par la taille quand tu te trouve derrière lui, te dirigeant vers le bars une nouvelle fois, tu cherche son pote des yeux. Tu le voit finalement , il fixe Nils avec un air insistant, il ne le lâche pas, au moins quelqu’un a compris ce qui s'étai passez dans ses chiottes. Bon après c'est sur qu'entre voir deux mec s'embrasser et savoir qu'ils vienne violemment de s'envoyez en l'air c'est pas tout a fait pareil. Toi le seul truc que tu trouve a faire c'est lui fait un geste de la main pour le saluer avant d'éclater de rire.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mer 1 Oct - 13:51
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
ça te fais mal de repenser à cette soirée, parce que rien ne s'est passé comme tu l'aurais souhaitais. Mais t'essaies de l'oublier, parce que c'est pas l'image que tu veux garder de votre relation, c'est pas non plus l'image que tu veux garder de Jonas, parce que t'en a un millier d'autres qui sont bien plus belles de lui et surtout, c'est pas l'image que tu veux garder de la première fois qu'il t'a embrassé. Parce que ouais, quand tu te trouves seul, tu y repenses à ça, au fait que la première fois qu'il t'a embrassé, c'était juste pour te faire chier, te provoquer, qu'il n'en avait aucunement envie, c'était juste pour te pousser à bout. Et ça, ça te fais mal d'y repenser, parce que toi, ça t'as juste fais un putain de mal de chien au moment précis où il a posé ses lèvres sur les tiennes, alors que normalement, ça aurait juste du t'exploser le coeur, ça l'a fait, mais pas dans le sens que tu aurais souhaitais. Mais tu préfères oublier tout ça, oublier cette vision et te souvenir plutôt du fait que vous avez réussi à vous retrouver et que depuis, il a réussi à le réparer ton coeur...
"Arrête Jonas... Même toi tu pouvais pas le voir... Je sais que t'arrives à savoir tout ce qui me passe par la tête sans que j'ai besoin de te le dire, mais crois moi, à ce moment là, je le voulais pas et j'ai tout fais pour que tu ne le saches pas ! T'en veux pas pour ça... Et t'as beau ne pas porter tes parents dans ton coeur, ce qu'ils ont répétés pendant toutes ses années, t'as finis par l'entendre et par le croire... Alors on va dire que je veux bien comprendre ta réaction... J'aurai voulu que ça se passe autrement, crois-moi, je t'en ai voulu... Mais c'est fait et depuis t'as fais mille fois mieux alors arrête de penser à tout ça..."
Tu le regardes, t'aimerais vraiment qu'il te crois ! Qu'il arrête de s'en vouloir parce que t'as vraiment tout fais pour qu'il ne le sache pas, jusqu'à t'éloigner de lui à certain moment. Il te manquait dans ces moments là, tu peux pas le nier, mais au moins tu te sentais protégé ! Et tu sais que les discourt qu'il a entendu toute sa vie l'ont pas vraiment aidé à prendre bien les choses quand tu lui as tout dis, parce que t'as entendu les mêmes et que toi, pendant tout ce temps tu te trouvais horribles et ça, ça n'a fais que s'accentué quand tu as cru le perdre pour ça.
"Mais je suis pas jaloux arrête avec ça... Mais je vais pas te dire que tu peux sauter qui tu veux pour te faire plaisir... ça non t'as le droit qu'avec moi !"
Il te provoque et toi tu fonces droit dedans tête baissé. T'es vraiment trop facile à avoir pour ça, surtout avec lui. Et puis t'arrives à te décrédibiliser en moins de deux. Mais bon, tu te consoles en te disant que c'est pas être jaloux que de pas avoir envie que son mec aille se taper n'importe qui et puis en plus, qu'il regarde, tu t'en fous un peu, tout à l'heure ça t'étais égal, t'en as même joué avec lui. Ouais, du moment qu'il n'y a que toi dans ses bras, tu t'en fous !
"Les pauvres gosses... Maudit à vie parce que tu auras eu l'envie de t'envoyer en l'air dans des chiottes... Il faudra que tu leurs racontes quand même, qu'ils sachent pourquoi !"
ça te fais rire ta connerie et t'as déjà une vision plus que parfaite de ton meilleur ami en train d'expliquer à ces mômes pourquoi ils auront la poisse toutes leur vie et ça, ça termine de t'achever en beauté. Mais après tu t'y attardes pas plus que ça, tu veux pas aller aussi loin dans le futur, parce que d'une t'as du mal à croire que Jonas puisse penser à avoir des gosses un jour, tu le connais assez pour savoir que c'est pas vraiment son truc actuellement. Et puis surtout ça ne fait que te rappeler que vous, c'est peut-être éphémère parce que t'es pas sûr que quand il y pense, se soit avec toi. Mais tu t'enlèves vite cette idée de la tête, préférant te concentrer sur le moment présent.
"Tu sais quoi, si c'est le cas, je promets de t'en faire un masque la prochaine fois mon coeur !"
Tu lèves les yeux au ciel quand tu le vois éclater de rire comme un idiot et tu pars sans même l'attendre, tu fais semblant de lui en vouloir. Mais ça dure trois secondes, à peine, parce que quand tu le sens t'attraper la taille, tu peux pas t'empêcher de te tourner vers lui pour lui sourire. Une fois de retour dans le bar, tu te sens un peu mieux, parce que tu remarques que personnes ne portent son attention sur vous. Tu te dis que finalement personne n'a du le remarquer ce que vous étiez en train de faire. Tu te diriges vers le comptoir et puis tu croises le regard de Charly, il te regarde avec insistance et tu détournes bien vite le regard, parce que tu sais qu'il a compris et tu te sens juste un peu honteux... Et Jonas il t'aide pas vraiment à te calmer quand il lui fait un grand signe de la main.
"Jonas pitié arrête..."
Tu lui dis dans un gémissement avant de poser ta tête quelques secondes sur son épaule. Puis tu la relève et tu te diriges vers le comptoir, t'as vraiment besoin d'un verre là ! Alors tu y vas, tu te fais une place pour commander, tu te penches le plus possible sur le comptoir et tu commandes de verres de Jack's, tu lui demandes même pas son avis à Jonas, tu sais ce qu'il prend en général et toi même si t'as du mal avec les alcools trop fort, là t'en as besoin.
'en peux plus de tellement de chose, de ta connerie surtout, quand t'y pense, de tout ce que t'es capable de foutre en l'air parce que t'as peur, peur comme un gamin qui ne comprend rien de ce qui se passe dans sa putain de vie. t'as la trouille. T'es terrifié a l'idée de grandir , d'assumer tes choix, ce que tu comparer a des fautes il y a encore très peu de temps d'ailleurs. tu le regardes et tu ne sais même plus quoi lui dire, quoi faire, alors tu souris, un sourire triste qui fend ton putain de cœur, et peut etre meme le siens mais, bordel qu'est ce qu'il est sincère ce sourire. Qu'est ce que t'as envie d'y croire a cette foutu histoire meme si elle fou tout en l'air.
_ J'arriverai jamais a ne pas m'en vouloir bébé, jamais et sa m'tue de me dire ça, parce que ce fameux soir ce que je t'es fait, ce n'est pas pardonnable, c'est gravé en moi, tout comme le fait d'avoir était aveugle a ce point pendant tellement de temps mais, je me suis promis que meme si je ne peux pas oublier, je ferai tout pour que toi oui, pour te voir sourire, j'veux juste qu'un jour tu me regarde dans les yeux et que tu me dise que t'es heureux, vraiment heureux sans me mentir ...
t'aimes le voir comme ça au final, un peux jaloux, tu t'en fiche qu'il le soit, tu le sais que tu ne le trompera pas, que meme si tu continue de te retourner sur toutes les filles qui passe, tu ne veux que lui, Nils et juste Nils. Les autres importe peu quand il est la t'as pas envie de tout foutre en l'air , t'as pas envie de le bousiller une autre fois parce que t'es que le pire des connards a certains moments.
_ T'en fais pas bébé, j'toucherai a personne d'autre, en doute pas mais, tu l'sais très bien que c'est plus fort que moi de mater le cul des filles qui passe !
Bon la c'est sur tu t'paye sa gueule, tu le provoque et joue avec ses nerfs et ça , c'est vraiment plus fort que toi, bien plus que de regarder deux trois filles. des filles ... c'est fou mais, t'arrives pas a te dire que tu peu aussi etre attirer par des mecs ,ton cerveau se bloque quand tu pense a ça, il y a juste Nils, c'est une exception a la règle, tu te dit ça comme ça, connement surement.
_ t'en fais pas j'leurs dirais a nos pauvres gamins pourquoi ils seront maudits a vie !
t'as pas envie d'avoir d'enfants, en tout cas pas tout de suite, t'es assez paumé comme ça mais, par réflexe t'as dit que si tu devais en avoir un jour tu voudrais que ce soit avec lui. Tu ne t'en rend compte que lorsque tu lui dit ça. Tu ne te vois avec personne d'autre et ça, tu ne veux jamais que sa change, meme si vous êtes dans une belle galère tout les deux, ta pas envie d'lui tourner le dos, d'lui dire adieu, cette putain de vie tu veux continuer de la construire avec lui meme si sa fait un mal de chien.
_ J'aurai presque envie que sa marche, rien que pour t'voir te branler comme un con jusqu'a ce que t'en est assez pour m'faire un masque !
Tu éclate de rire, tu n'as pas envie de te prendre la tête, encore une fois la niaiserie avec toi sa ne dure qu'un temps souvent bien maigre. Tu peux etre doux, tendre mais, seulement si ce n'est pas que ça, tu souhaites aussi que sa restes ton pote avant tout, ce mec avec qui ta fait les pire conneries possible. Tu le nargue comme un idiot avec son fameux pote qu'il a laissez en plan pour , au final, péter un câble avec toi dans ses putains de chiottes.
Tu ne répond pas tout de suite. Et meme une fois au bars , ton verre de Jack en main, assis a coté de Nils, tu lance encore des sourire a son pote. Tu provoque Nils comme un con, sa t'amuses, t'as pas la forces d’être gêné, de ne pas assumer, t'as besoin que ce soit le cas pour avancer, pour ne pas sombrer.
_ Ben quoi bébé ? faut etre polie voyons, j'suis sur que ton pote doit s’inquiéter ... sérieux regarde sa tête ... j'suis sur qu'il est traumatisé a vie !
Bon t'en rajoute un peu mais, il ne peux pas nié que c'est assez vrai, que la tête a ce fameux Charly est plutot comique. Bon meme plus qu'un peu. Tu te colles contre Nils, posant sa tete sur son épaule, jouant au gamin innocent, ce qui n'est pas crédible deux seconde avec ton verre a la main et en regardant de plus pret un suçon que tu a du faire a Nils tout a l'heure.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Dim 5 Oct - 16:58
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Le sourire triste qu'il a sur les lèvres, tu le vois et il te fait mal. Il te dit qu'il veut que tu sois heureux et toi, c'est ce que t'as toujours voulu pour lui. Alors oui, ce sourire il te fend le coeur, parce que là tout de suite, tu sais que c'est pas le cas. Mais tu pourras pas lui enlever, tu pourras pas non plus lui faire changer d'avis, tout comme il ne pourra pas te faire changer d'avis. Vous êtes deux têtes de mules, ce qui explique sûrement le fait que la terre entière tremble quand vous vous mettez tout les deux à vous engueuler... Alors tu le prends juste dans tes bras et tu l'embrasses sur la joue, en te disant que tu feras tout pour être heureux, non en faite, s'il est à tes côtés, tu sais que tu seras heureux, tu l'es déjà un peu. Et tu te dis que lui aussi le sera, tu t'en fais la promesse, qu'un jour vous serez heureux à deux. Comme ces personnages de films de comédies romantiques que tu trouves pathétique et qui te donnent envie de vomir, mais que tu ne peux pas t'empêcher d'envier un peu.
"Bébé, te prends pas la tête pour ça... T'as un tas d'autres raisons pour te prendre la tête, alors oublies ça ! Et je serais heureux... Je le suis déjà ! Et ça m'énerve de te dire ça parce que ça prouve juste que tu as raison quand tu dis que je suis complètement niais... Mais je suis heureux quand je suis avec toi, vraiment ! Et rien ni personnes ne pourra le changer ça. "
T'aimes pas le voir comme ça, le voir sans vouloir pour ça. Mais au fond de toi, ça te rassures un peu quand même qu'il s'en veuilles. Que cette image de lui que t'essaies d'oublier le plus fort possible, il préférerait ne l'avoir jamais fais. Mais ça te fais mal, parce que toi, tu te rends compte que depuis, il a su se rattraper au moins en partie et t'es assez objectif, pour savoir qu'il a été génial avec toi du début à la fin. Même s'il est brute par moment, même s'il continu de te faire mal de temps en temps, il l'a jamais fais volontairement. Au contraire, ce qu'il a fait, c'était pour toi, juste pour toi et tu sais le reconnaître.
"Et c'est plus fort que toi de te foutre de ma tronche aussi... Mais c'est pas grave, fait le, je me gênerai pas de regarder ce qu'il peut y avoir à l'intérieur des pantalons d'autres mecs... Juste pour voir !"
Tu sais qu'il se payes ta tronche en te le disant clairement et tu sais aussi qu'il le fera d'ailleurs. Mais ça, ça t'importe peu, c'est pas le truc qui te plait le plus au monde, mais t'es pas jaloux au point de lui interdire de regarder autre part que dans ta direction, tu t'en fous qu'il le fasse du moment que t'arrives à voir que c'est toujours toi qui l'attire.
"Nos...? Ok je crois que je préfères que tu ne leurs dises rien alors..."
Ouais, connement, c'est ce mots là que tu retiens essentiellement dans sa phrase. Le fait qu'il vous associe tout les deux pour être ce qui ressemblerait à une famille... Même si c'est pas vraiment ce que tu veux avant un long moment, avec Jonas, t'as envie de tout faire et pas que votre relation est une durée limitée et tu pensais pas que c'était pareil pour lui. Alors même si c'est sortie inconsciemment de sa bouche, ce détail, il te fait sourire comme un con alors tu tournes la tête dans la direction opposée. Et tu lui dis que finalement, tu préfères qu'il ne le dise pas, parce que, que Jonas passe pour un cinglé auprès de ses gosses, ça t'amuses, mais si c'est les tiens aussi, ça change la donne... Tu veux pas que tes enfants, si t'en as un jour te prennent pour un fou !
"J'étais sûr que ça te plairait de me voir le faire... Et t'en fais pas, je penserais à toi tout du long..."
Ok t'arrives encore à te choquer quand tu parles comme ça, mais tu vois pas vraiment pourquoi tu t'en priverais alors que lui est loin de le faire. Et puis tu te dis que t'es mal placé pour jouer la prude quand tu vois comment t'es capable d'agir quand il s'agit de le rendre fou ou quand t'as envie de lui. Alors tu lui dis ça sans sourciller, tu lui adresses même un clin d'oeil et tu souris. Tu vois pas pourquoi tu te gênerais pour le faire chier après tout, vous l'avez toujours fais et c'est un nouveau sujet sur lequel vous pouvez vous défouler !
T'es maintenant assis au bar avec ton verre entre les mains et t'en bois une longue gorgée en regardant Jonas continuer son manège avec ton ami. Il t'exaspère, mais tu peux pas t'empêcher de le trouver amusant. T'as pas honte qu'on sache ce que tu viens de faire avec lui, enfin même si tu préfères que le bar entier ne le sache pas. Mais tu sais au regard de ton ami, qu'il va pas en rester là et que tu finiras par avoir le droit à quelques remarques sarcastiques.
"S’inquiéter de quoi ? Du fais que je ne puisses plus m'asseoir sans me souvenir de ce que tu viens de me faire avant plusieurs jours ? Ou bien que tu lui fasses de grands signes avec un sourire de psychopathe sur les lèvres depuis qu'on est revenu ici ? Et arrête de me fixer avec ce faux air de petit ange... C'est très loin d'être crédible quand on sait ce que tu faisais il y a une heure !"
Tu lui dis ça sans aucune méchanceté, juste pour le taquiner et tu ne perds pas une seule fois ton sourire quand tu le regardes. Même si là tout de suite son petit air innocent, il ne lui va pas du tout, tu le trouves quand même beau à en crever quand il le fait. Tu passes tes doigts sur l'endroit qu'il fixe dans ton cou et tu ressens une légère douleur à un moment, tu sais qu'il fixe une marque qu'il t'a fait qui ne doit absolument pas être discrète. Tu lèves les yeux au ciel exaspéré, avant de t'approcher de lui pour l'embrasser sur le bout du nez en riant et tu reprends une gorgée de ton verre. T'aimes bien quand c'est simple comme ça, quand c'est juste vous.
u te fais mal comme un con mais, c'est plus fort que toi, peut être que cette souffrance, cette putain de douleur tu cours inconsciemment après , parce que meme si t'en peux plus, meme si tu pète les plombs quand t'es comme ça, au moins tu te sens vivant. Vraiment vivant. T'es toujours aussi égoïste, toujours aussi manipulateur et con au possible mais, tu tentes du mieux que tu le peux de ne plus être un salaud, de ne pas jouer avec Nils meme si malmener ses nerfs reste l'une de tes foutus passions. T'en peux tout simplement plus de le voir aussi mal, de savoir qu'il a aussi peur que toi, qu'il est parfois dans un état pire que le tiens et ce que tu vie tu ne le souhaite a personne, toutes ses crises d'angoisses, et ses larmes. Non, tu ne voudrais que personne ne le vive mais, toi t'y fait face parce que tu sais très bien que ce n'est qu'une étape, que dans quelques temps tu n'en aura rien a foutre des moments ou plus rien n'allez.
_ Je … j'crois qu'en fait j'aime bien quand t'es niais, et non j'peux pas arrêter d'me prendre la tete avec ça comme tu le dit si bien, c'est plus fort que moi, que je le veuille ou non sa m … enfin bon … pardon mon cœur, j'veux pas t'faire chiez avec mes peurs a la con encore une fois !
Tu l'embrasses , et ton sourire se veux moins triste. Tu finis meme par rire le voyant réagir a tes provocation, tu le sais très bien qu'il n'ira pas voir ailleurs mais, c'est plus fort que toi, tu ne peux pas t'en passé de te moquer encore un peu de lui, de juste être léger pendant quelques instants.
_ Ouais c'est plus fort que moi ! Et … attend ... hors de question que t'aille tripoter d'autres mecs … en plus … sa te servirai a rien personne en a une aussi grosse que moi … et personne baise aussi bien aussi !
Tu lui tires la langue comme un enfant, meme si t'es bien loin du gosse innocent, surtout avec ce que tu viens de lui sortir, tu joue encore sur ton ego un peu sur-dimensionner a certain moment. T'as appris a te moquer de toi d'une certaine manière, parce que meme si t'aimes pas te le dire tu te doutes que t'as tort, que Nils pourrais tomber dans les bras d'une mec milles fois mieux que toi. Sauf que ça t'as pas forcement envie d'y pensé, tu t'fou d'la poudre au yeux en te disant qu'il restera toujours avec toi.
_ Ben ouais .. enfin j'voulais dire que … enfin si j'fait tout ça c'est pas pour te quitter demain idiot .. alors ben … j'en veux pas forcement mais, si j'ai des gosses un jour se sera avec toi … non ?
Tu t'embrouilles et t'as meme pas la force de sortir une connerie pour sauver un peu les meubles, non tu t'enfonces comme un idiot dans ta connerie, pendant quelques instants tu ne sais meme plus quoi faire ou quoi dire. Alors tu fui son regard. Honteux sans savoir pourquoi, t'as honte. Peut être que tout simplement lui ne se souhaite pas passez sa vie avec toi, qu'au final se sera Nils qui te laissera tomber et non toi. T'as beau regarder ailleurs t'as pas envies de le lâcher comme ça mais, l'espace d'une minutes tu doute de lui. Tu doutes du fait qu'on veuille bien passé une vie entière avec un connard fini .
Perdus dans tes pensée t'en oublies carrément de lui répondre, il te faut un deuxième verre avant de te remettre les idées en place avant de sourire vraiment et de continuer de le narguer avec son pote. Pote qui d'ailleurs n'a pas l'air au meilleur de sa forme, a détourner le regard toutes les trente secondes avant de finalement vous fixer a nouveau. Un léger rires se fait remarquer de sa part malgré tout, reste a savoir si c'est nerveux ou si c'est juste qu'il trouve la situation risible.
_ S’inquiéter des deux j'pense , en tout cas j'suis bien content de connaître tes potes, ils sont marrant et .. arrête j'suis un ange moi , plus innocent tu meurt !
Tu viens alors blottir ta tete dans son cou, y posant quelques baisers, c'est comme ça que t'aimes être avec lui, quand tout est simple, que t'as juste a faire le con dans le bon sens du terme, que vous passe votre temps a vous provoquer et a rires ensembles. C'est ça dont t'as besoin et qui te donne envie de tout foutre en l'air parce que ce genre de chose tu n'as pas la force d'y renoncer.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Lun 6 Oct - 5:38
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Encore une fois ensemble vous êtes capable du pire comme du meilleur. Pour me coup t'espères que qe sera le meilleur, parce que t'as besoin de lui pour faire face à tout ça, pour supporter cette galère. Et tu sais qu'il à besoin de toi aussi. Alors t'espères, tu pries pour que ça reste ainsi entre vous, pour que vous restiez aussi soudé ensemble. Parce que c'est comme ça que vous avez toujours fonctionné et t'as encore besoin de ça pour être rassuré, poir te montrer fort.
"Heureusement... ça m'arrive de plus en plus souvent de l'être et j'aime pas trop ça... Tu me feras jamais chier Jonas, crois pas ça, mais là je veux juste que tu oublies et que tu arrêtes de te prendre la tête, au moins ce soir ! Juste pour moi ! "
A ces mots tu le regardes avec un grand sourire, tu prends l'air le plus angélique possible. T'as la tête de l'emploie pour ça de toute façon et t'aimes bien essayer de l'amadouer comme ça. Tu le regardes rire et tu peux pas t'empêcher de le frapper sur l'épaule, légèrement, mais ça t'agaces qu'il arrive toi à t'embêter !
"Tu m'excuseras, mais j'ai pas vraiment de point de comparaison pour savoir si c'est bien toi ou non qui baise le mieux... Mais je suis pas sûr que je pourrais en supporter plus alors je vais devoir me contenter de toi... et puis j'ai pas dis que je voulais toucher, j'ai bien assez de la tienne pour me satisfaire...
Tu le regardes avec un grand sourire, ça t'énerves qu'il te provoque autant, mais t'es pas vraiment mieux tu passes ton temps à ça aussi. C'est vous, c'est comme ça. Et tu penses pas un mot de ce que tu dis, t'as envie d'aucun point de comparaison, parce qu'il pourrait être le pire coup qu'il existe sur cette terre, toi il a à peine besoin de te toucher, que t'es déjà fou, alors t'as aucune envie de savoir ce que ça pourrait donner avec quelqu'un d'autres. Non il y a que Jonas. Mais ça, lui dire clairement sans le faire chier un peu, tu le feras pas, son ego a pas besoin de toi pour être énorme...
"Tu sais que j'ai encore plus envie de te sauter dessus quand tu bafouilles comme ça ? Et si bébé, t'as le droit de le penser, mais dans ces cas là, oublies ce que je t'ai dis, je veux pas passer pour un psychopathe auprès de nos gosses... Toi c'est déjà bien assez !"
Tu le regardes faire tout son possible pour fuir ton regard et effectivement quand il est comme ça, t'as juste encore plus envie de lui sauter dessus. Parce que t'es vraiment accroc au Jonas normal, un peu timide et pas sûr de ce qu'il dit. Ça te rappelles pourquoi tu l'aimes. Tu le regardes prendre un autre verre alors que toi t'es toujours à ton premier et finalement tu t'approches de lui pour l'embrasser furtivement sur les lèvres et tu lui sors ton plus grand sourire idiot avant de reprendre une autre gorgée de ton verre.
T'essaies d'ignorer le regard de ton ami, de l'éviter, mais il te perturbe à toujours vous fixer comme ça, tu sais pas vraiment pourquoi il le fait. Il veut te donner mauvaise conscience ou quoi ? Il y arrivera pas ! Et ça se voit clairement sur ton visage que tu viens de coucher avec ton mec dans les chiottes alors tu voudrais juste qu'il arrête de te fixer comme s' il attendait que tu avoues.
"Alors je crois que je vais pas tarder à mourir moi... Et mes potes sont géniaux, mais s' il pouvait juste arrêter de nous fixer comme ça, ça serait bien ! Il me perturbe là !"
Jonas vient se blottir dans ton cou et ses baisers te font frisonner, tu souris comme un con, parce que t'aimes juste quand vous êtes comme ça et surtout quand il est comme ça. Tu passes tes bras autour de lui et pose tes mains sur son dos pour l'approcher un peu de toi, avant de l'embrasser et c'est exactement pour ce genre de situation que t'as envie de croire que ça peut marcher.
oi au final meme si t'as du mal a te l'avouer, t'aimes quand c'est niais, un peu con meme. Tu ne pourra tout simplement jamais te l'avouer. Tu veux changer, grandir mais, ce fait te fait toujours aussi peur, t'as peur de devenir un autre homme, un mec que tu ne connais pas. Que ta propre vie t'échappes. Alors tu le laisse s'occuper de cette douceurs, et toi tu joue, tu provoque, tu emmerde le monde entier pour lui parce que tu ne peux pas lui donner grand chose d'autre ce soir et tout les autres soirs.
_ D'accord mon cœur, j'y pense plus , promis !
Ce ne sera qu'un mensonge de plus, un péché parmi tant d'autres comme pourrais le dire tes parents mais, t'en a rien foutre, qu'on te brûle, qu'on t'arrache la langue, tu n'en pensera pas moins, qu'on t'enferme et t’écorche vif, tu t'en fou, t'aimera tout autant Nils, tu continuera de mentir de boire et de baiser jusqu'a ce que tu crève et surtout de pensé que ce que tu fait est juste.
_ Ben j'te dirais bien d'allez demander au filles du bahut mais, sa serais pas super classe ! Et ouais, pas touche, parce que j'mord moi, j'te jure que si quelqu'un te touche il va vite le regretter ! Enfin je ... enfin j'suis pas jaloux c'est juste que ... t'es a moi .. enfin non ... je .. j'veux pas que t'aille voir ailleurs .. et .... et puis MERDE !
Tu commence a prendre un ton qui te fou la trouilles parce que t'était vraiment a deux doigts de t’énerver pour deux bond au début de ta phrase, jusqu’à ce que tu te rende compte que t'avais l'air bien con. Alors tu t'embrouille, tu jure comme pour t'envoyer a la gueule que t'es qu'un idiot, que t'aurai pas du perdre tes mots comme ça.
_ Je ... j'comprend pas pourquoi , j'ai juste l'air con quand je m'embrouille ... et ... attend pourquoi sa devrais etre moi le taré dans les parents ? Enfin m'en fou, toi tu .. tu jouera la mère !
Ok c'est naze comme argument, t'arrives meme pas a te défendre correctement depuis tout a l'heure et tu te sens juste con au possible, tu ne comprend pas ce qui t'arrives jusqu'a ce que tu te rende compte que le verre que t'as face a toi va etre le quatrième de la soirée, ayant presque oublier ceux que t'as avaler avant de t'envoyez en l'air avec Nils. Tu te tourne vers lui et répond a son baiser, le prolongeant meme un peu, avant de sourire a ton tour.
_ Moi j'aime bien, j'trouve ça marrant d'le voir nous fixer comme ça !
Au final il vous souris , ne sachant surement pas quoi faire d'autre , et détourne le regard. Tu ne fais plus attention a la musique. Sauf quand une autre se lance, tu la reconnais des la première note, t'as appris par cœur toutes les chansons que ta mère t'as interdit d’écouter et tu la trouve plutôt comique vue ce que tu vie avec Nils. Alors tu t'met a te marrer tout seul avant de passez ton bras autours de sa taille et de couvrir ses joues de baisers, ton fou rire ne te quitte pas pour autant.
_ Sérieux il l'font exprès , quand je pense que ma mère ma interdit d’écouter ça , comme si un discours contre l'homophobie allez me rendre pédé ... enfin bon, elle c'est planter en beauté dans tout les cas, p'tain si elle savais se que j'viens de t'faire bébé, elle me tuerai sans regret j'pense !
La par contre tu ne mens pas, c'est horrible a dire, a lui avouer parce que oui, t'as jamais oser lui raconter que tes parents était taré a ce point mais, vue tes rires qui accompagne tes mot et ton air je m'en foutiste sa passe assez facilement. Sa deviens assez drôle meme, autant en rire après tout. Sinon t'a pas fini de chialer.
Tu descend ta main le plus bas possible, la passant sur le haut de ses fesses, tu ne fait rien de choquant, tu ne le tripote pas plus que ça d'ailleurs s'en est assez étonnant te connaissant mais, un mot se perd parmi tant d'autre derrière toi. "Ils devrais avoir honte". Un con. Juste un. Vous ne faite chiez personne, au final ce sont plus des sourires qu'on vous lance qu'autre chose, et puis tu t'prend la réalité dans la gueule. meme si pas mal de gens n'en non rien a foutre, meme si certains trouve juste ça mignon de vous voir et vous soutiendrons, meme si l'monde peut etre avec vous un maigre instant, vous allez devoir subir ça, autrement que de la part de vos parents. Un frisson. Tu te mord les lèvres, et blottis ta tête dans le cou de Nils avant de lui murmurer un appel a l'aide.
_ P'tain .. empêche moi de lui casser la gueule bébé ...
Un rire nerveux sort de tes lèvres. t'as pas envie de t'afficher, de faire de scandale mais, t'es un sanguin, tu joue avec les poings bien mieux qu'avec les mots. Et puis connement ce genre de pourriture te rappelle bien trop ce que tu a pu etre a certains moment. A dire une saloperie juste asse fort pour qu'on l'entende, pour faire rire les potes, pour péter l'coeur du concerner mais, pas assez pour que quelqu'un retoque quelque chose, comme si ses paroles allez se noyer dans la foule.
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mar 7 Oct - 10:37
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
Tu préfères te dire que t'es doux avec lui, pas niais, juste doux. Tu l'as toujours été avec lui, tu l'es en général, mais avec lui encore plus. T'as toujours eu le besoin de l'être. Tu sais qu'il en a pas vraiment l'habitude et que t'es le seul à l'être autant avec lui, mais tu changeras pas, pour rien au monde. Parce que toi tu veux bien te l'admettre, t'aimes la douceur et t'en as besoin. Vous êtes deux être complètement opposé, tu lui donnes la tendresse dont il a besoin et lui il te secoue et ça aussi t'en as besoin.
"Merci mon amour..."
Tu lui souris encore une fois et tu l'embrasses juste un peu sur les lèvres. T'es pas nez de la dernière pluie, tu sais qu'il te ment, qu'il ne vas pas arrêter d'y penser comme ça. Tu le connais bien, presque par coeur, tu le vois souvent quand tu mens, mais là tu ne dis rien. Après tout, toi aussi il t'arrive de lui mentir et puis tu te dis que tu arriveras bien à lui faire oublier dans la soirée. T'as juste horreur de savoir qu'il se prend la tête pour toi.
"Je confirme... c'est loin d'être classe ! Autant pour elle que pour moi d'ailleurs... j'ai pas envie de me rappeler où ta queue a traîné ! Et non t'es absolument pas jaloux bébé du tout... et bordel, moi je ne t'aime absolument pas quand t'es comme ça..."
Tu te retiens de rire pour ne pas le foutre en pétard. Non en faite ce que tu retiens le plus c'est de lui sauter dessus encore une fois. Parce que t'es bien obligé de te l'admettre, savoir qu'il pourrait être jaloux si on t'approchait, t'aimes ça. Un peu trop même. T'en serais presque à vouloir qu'un con le fasse, un con dont tu te fous complètement, mais juste pour pouvoir le voir vraiment jaloux. Mais ça, t'es sûr que tu pourrais pas le supporter et qu'il t'exciterait au point que t'en serais prêt à le supplier qu'il te prenne sur le bar. Ouais quand il s' agit de l'état dans lequel ce type te mets, tu contrôle absolument rien. T'as vraiment de quoi avoir honte quand tu y penses.
"Non t'es mignon, tu me donnes juste envie de t'embrasser encore et encore pour te faire taire ! Et c'est simplement parce que le plus taré de nous deux c'est toi... Et tu es au courant que c'est la repartie la plus nulle que j'ai jamais entendu ? "
Là tu peux pas t'empêcher de rire, de te moquer un peu de lui. Tu bois une gorgée de ton verre, tu n'en es qu'à ton deuxième et même si tu tiens plutôt mal l'alcool pour le moment elle te rends juste un peu plus joyeux que tu ne devrais l'être et puis Jonas n'arrange rien à ça. Il prolonge ton baiser et même contre ses lèvres t'as du mal à t'empêcher de rire bien longtemps.
"Tu sais que c'est bizarre ce que tu dis, tu donnes l'impression d'aimer qu'on te mate... Et arrête de regarder ton verre comme ça, c'est bien le quatrième oui et tu vas finir à terre avec tout ça !"
T'écoute la musique et tu la reconnais bien vite, tu la connais, tu l'aimes même celle là. Et t'écoutes Jonas te parler de sa mère et ce pincement au coeur il revient. Ses parents son pire que les tiens. Enfin ta mère est peut être égale à eux. T'en sais rien, t'essaies toujours d'éviter d'entendre son opinion. En faite tu la connais pas et elle te connait pas. T'es presque sûr qu'elle pourrait même pas dire qu'elle matière tu préfères.
"évite de lui raconter ce que tu m'as fais alors, j'ai vraiment pas envie qu'elle te tue..."
Tu dis ça le sourire aux lèvres, tu prends un air détaché, mais au fond ça t'inquiète toujours la réaction que pourraient avoir ses parents, surtout après ce qu'il t'a dis sur eux. Toi tu les vois toujours aimable et gentils, mais avec tout ce que t'as pu entendre tu sais qu'ils ne le sauront pas longtemps avec toi. Mais encore une fois tu t'en fiches bien de toi. T'espères juste, sûrement connement, que Jonas reste leur fils.
T'es bien avec lui, t'aimes la façon dont sa main descends dans ton dos, t'aimes la sentir là, t'aimes être avec lui comme ça. Mais ça ne peut jamais être aussi simple. Tu les entends aussi ces mots et tu te retournes vers l'endroit où tu les à entendu avant de reporter ton attention sur Jonas que tu as senti se crisper contre toi. Tu descends tes mains jusqu'au sienne et tu les attrapes toutes les deux.
"T'occupes pas bébé... reste ici s' il te plaît, je veux pas que tu fasses une connerie !"
Tu serres un peu plus ses mains dans les tiennes. A vrai dire ça te touche à peine tout ça. Des paroles à la con, des moqueries et t'en passes, t'as déjà eut ton compte alors ça te passes au dessus. Mais tu sais que c'est pas le cas de Jonas, qu'il est généralement celui quo se moque, pas celui dont on se moque. Et encore une fois t'as peur de sa réaction, alors tu te serres un peu plus contre lui.
ui ta gueule il vaux que tu la ferme, alors tu l'fais, sans en rajouter plus meme si tu t'en doute qu'il le sais que tu mens, que tu ne veux pas arrêter de t'en vouloir, de pensé a ce que tu ne devrais pas forcement. Ton cœur va lâcher a force, t'es pas prêt a faire face a tout ce qui se passe dans ta vie mais, il faut bien faire, meme si c'est douloureux a en crever.
_ Ou ma queue a .. traîner ? T'es sérieux Nils, j'les pas fourré dans les égouts non plus ! Et non j'suis pas jaloux j'ai juste pas envie qu'on te touche c'est tout , c'est normal non ? ... bébé ... arrête de me regarder avec c'te bouille on dirais un chaton c'est ... sa m'donne envie de devenir zoophile quand tu fais ça ...
Tu ris doucement, ton verra a la main, tes questions et tes angoisses tourne en boucle dans ta tête mais, tu fais avec, il faut bien après tout. Tu lui souris pour le rassurer, pour lui montrer que tout va bien meme si ce n'est pas le cas. Tu veux juste oublier le temps d'une soirée, juste etre avec lui et ne plus pensé a rien, tu n'y arrives pas mais, tu te mens a toi meme en montrant le contraire, tu arriverai presque a t'en persuader que demain sera une belle journée vue comment tu t'marres.
_ J'suis pas mignon ... et j'suis pas taré non plus d'abord ! Ouais j'avoue j'ai déjà fait mieux niveau repartit !
Tu divague un peu, surement l'alcool, ta le sang chaud et la tête dans les étoiles. La force de pensé fini finalement par te manquer, tu avale juste une autre gorgée de ton verre, bien poser face a toi, te tournant vers Nils. un sourire un peu con ne quittes pas tes lèvres , t'aimerai l'effacer mais, c'est plus fort que toi, tu ris de temps en temps, sa se voit que tu commence a etre bourré. T'as jamais bien tenu l'alcool et t'as parfois l'impression que c'est de pire en pire.
_ Mais , j'aime bien qu'on m'mate moi, c'est .. valorisant ! Bon après ton pote c'est pas mon genre, il est lui manque une paire de seins ! ... je .. n'importe quoi , j'suis pas une petite nature moi monsieur, c'est pas ça qui va avoir raison d'moi ... en tout cas t'en fais pas pour ma mère, j'lui donnerai pas les détails demain, enfin j'aurai pas le temps j'peu parier qu'elle fera un malaise avant ... bien fait pour sa gueule tiens, si elle pouvais s'casser un truc quand elle s'écroulera par terre sa m'fera des vacances ! ...
Tu fini ton verre et oui, la t'es un peu défait, ce n'est pas flagrant mais, lorsque tu parle, tu enchaîne les conneries, déjà que sobre t'es pas un anges mais, la c'est milles fois pire. Mais, au final t'es aussi venu la pour ça, pour boire , pour oublier comme un putain d'ivrogne, ne plus pensé a ce demain qui te glace le sang.
ce mec t'as juste envie de le prendre par le col et de lui faire regretter ses paroles, tu la connais cette violence silencieuse, celle de tout les jours, celle qui bousille, tout le monde la regarde, entend ses phrases mais, personnes ne fait rien. Tu la connais par cœur cette technique de merde , tu la bien trop utiliser et maintenant elle t'fait un mal de chien, sa te détruit de te voir dans ce mec. Tu ne veux pas faire de scandale pour autant meme si tu le sais très bien au fond de toi qu'un jour tu va craquer, que si t'es pas apte a entende ce genre de connerie, tu va tu va partir en vrille, tu te connais assez pour ne pas en douter.
_ Je ... il a de la chance , mon verre aurais bien aimer lui fendre le crane ... mais, d'accord bébé ... j'me tais ...
Tu te contiens, t'es pas un mec calme, tranquille, t'en est bien loin meme, toujours a provoquer ton monde, a gueuler , et désormais ça tu ne va pas t'en privée, tu t'es contenu de peur de tout perdre mais, maintenant que sa va arriver, hors de question que tu joue une seconde de plus les petits gosses parfait.
Nils Galbraith
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Sujet: Re: La vie est courte, il faut savoir en profiter - Jonas Mer 8 Oct - 10:25
Jonas & Nils > La vie est courte, il faut savoir en profiter
T'aimes pas qu'il te mente, d'un autre côté quand tu y penses, entre vous deux, c'est sûrement lui qui ment le moins, du moins à toi. Toi t'as passé des années à lui mentir et tu continus de le faire en plus, alors t'es pas vraiment bien placé pour parler. Et puis là, tu vois pas vraiment comment tu pourrais faire autrement que de l'accepter. Tu sais qu'il n'arrêtera pas de s'en vouloir en un claquement de doigts, même si c'est ce que tu voudrais. Mais tu veux pas le persuader pendant des heures, tu sais que tu n'y arriveras pas. La seule chose que tu as à faire, c'est de faire semblant de le croire et d'essayer de lui faire comprendre d'oublier.
"Encore heureux ! Et tu sais que personnes ne me toucheras Jo' ? En tous cas pas avec mon consentement... Y a que toi qu'en a la permission et tu le sais... Et désolé, j'arrête, mais tu me fais encore plus d'effet quand tu n'es absolument pas jaloux, alors ça va être difficile de faire une autre tête bébé..."
Tu le regardes et tu lui tires la langue, comme le gosse que tu es et qui aime le taquiner, un peu trop d'ailleurs. Puis tu finis ton verre d'une seule traite, parce que malgré tout et le fait que vous soyez si proche, ça te perturbe toujours un peu de lui dire tout ça. De lui dire que tu laisserais personnes te toucher à part lui et qu'il te fait de l'effet quand il est jaloux. Tu es toujours pas habitué à agir comme ça, alors par moment ça vient naturellement et à d'autres tu te rends comptes de ce que tu viens de dire. Alors là, t'avales ton verre, tu retiens une grimace parce que ça te brûle la gorge et te fais tourner la tête et tu continus de sourire, comme le con que tu es.
"Si tu l'es... Mignon et taré ! Désolé de te le dire, mais c'est le cas, mais ça te vas bien..."
Tu continus de sourire. L'enfoiré que tu es par moment profite de ses moments de faiblesses. Ouais, tu l'avoues t'as aucune honte de profiter des moments de faiblesses de la personne que t'aimes le plus au monde, pour la faire un peu chier. T'as pas honte parce qu'il ferait pareil. Alors tu profites qu'il soit pour le moment dans un état un peu plus critique que toi pour prendre l'avantage.
"T'es vraiment narcissique... Et il lui manque une paire de seins tu dis ? J'en ai pas moi... Et pourtant d'après ce que j'ai pu voir dans les toilettes et il y a quelques jours chez toi, je suis plutôt ton genre non ? Non ne lui donne pas... Laisse la s'imaginer ce qu'elle veut ! Enfin... Je suis pas sûr que se soit une très bonne chose non plus..."
Tu le regardes toujours en souriant et tu passes ta main dans ses cheveux qui tombent sur son front pour lui remonter. Vos verres sont à peine vide que le barman vient vous les remplir... Il a comprit qu'il avait deux bons clients ce soir... Tu ne touches pas tout de suite au tient et écartes un peu celui de Jonas pour ne pas qu'il le renverse et surtout pour qu'il l'oublie un peu. T'as pas non plus envie qu'il finisse malade et puis la dernière fois que tu l'as vu bourré, c'est pas vraiment un bon souvenir...
Tu le regardes un moment ce mec qui c'est bien arrangé de parler assez fort pour que vous puissiez l'entendre. Tu le regardes jusqu'à ce qu'il se tourne vers toi et tu détournes aussitôt les yeux. Parce que t'es pas du genre à chercher la merde et surtout tu sais que c'est Jonas qui partirait au quart de tour. Tu t'écartes un peu de lui et tu le regardes, t'essayes comme tu peux de le calmer alors tu lui parles.
"Se serait gâcher un verre pour pas grand chose... Enfin regarde le Jo', il a rien pour lui ce type on dirait un tableau de Picasso ! Il a juste la haine de savoir que toi et moi on a le droit à du très bon sexe quand on veut, alors que lui n'a que sa main droit pour se satisfaire !"
Tu jettes un nouveau coup d'oeil au mec. T'es sûr que ta pas tout à fait tord sur ce que tu viens de dire et ta connerie, elle t'amuse. Mais ce que tu veux principalement, c'est faire oublier ce type à Jonas. Tu veux pas qu'il ait de problèmes à causes d'un pauvre mec et puis tu laisserais personnes le toucher.